Nous pouvons constater que nous sommes en plein dans l’application de la stratégie de Chomsky, enseignée à l’’ENA.
Et ça marche : lucide le bonhomme !
Les membres de la PROMOTION VOLTAIRE étaient d’excellents élèves (Hollande & Co).
On peut constater que cette « stratégie » est largement employée depuis des décennies… et malheureusement, que ça marche !
ET NOS POLITIQUES de gauche, du centre et de droite ont les mêmes profs !
UN COURS LARGEMENT ENSEIGNE A L’ENA ET DONT LES ANCIENS ELEVES TIRENT LE PLUS GRAND PROFIT.
Le philosophe nord-américain Noam Chomsky, activiste et penseur politique, professeur de linguistique au Massachusetts Institute of Technology où il a enseigné toute sa carrière, a fondé la linguistique générative.
Il s’est fait connaître du grand public, à la fois dans son pays et à l’étranger par son parcours d’intellectuel engagé.
Il a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les médias.
Elle couvre un large éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation et en allant jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.
1/ LA STRATEGIE DE LA DISTRACTION :
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.
La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.
Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.
Garder le public occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux.
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles » (Le foot, les jeux olympiques, Johnny, etc) [« Panem et circenses » « Donnez leur du pain et des jeux ! »].
2/ CREER DES PROBLEMES, PUIS OFFRIR DES SOLUTIONS :
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ».
On crée d’abord un problème, une « situation », qui est définie pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.
Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. (Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.).
3/ LA STRATEGIE DE LA DEGRADATION :
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.
C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990.
Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement. (Baisse des retraites et allongement de la durée du travail).
4/ LA STRATEGIE DU DIFFERE :
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.
Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite.
Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité.
Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. (L’augmentation importante de la pression fiscale ne s’est pas faite avant les élections de 2012).
5/ S’ADRESSER AU PUBLIC COMME A DES ENFANTS EN BAS AGE :
La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental.
Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant.
Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ».
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles » (Les français sont trop gros, trop gros, trop gros. Les boissons sucrées sont surtaxées : nous les paierons plus cher).
6/ FAIRE APPEL A L’EMOTIONNEL PLUTOT QU’A LA REFLEXION :
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.
De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements (La Terre se réchauffe dangereusement du fait des seules activités humaines (sic), ce sera terrible pour nos enfants : les carburants sont encore plus taxés).
7/ MAINTENIR LE PUBLIC DANS L’IGNORANCE ET LA BETISE :
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.
« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures ».
Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »(80 % des élèves des universités ou des grandes écoles sont issus des classes moyenne ou supérieure).
8/ ENCOURAGER LE PUBLIC A SE COMPLAIRE DANS LA MEDIOCRITE :
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte (voir certaines émissions de TV particulièrement populaires).
9/ REMPLACER LA REVOLTE PAR LA CULPABILITE :
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.
Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution ! (vous êtes au chômage par manque de formation : suivez un stage et tout ira mieux).
10/ CONNAITRE LES INDIVIDUS MIEUX QU’ILS NE SE CONNAISSENT EUX-MEMES :
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.
Grâce à la biologie, la neurobiologie et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement.
Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. (Pourquoi croyez-vous que les grands politiques utilisent et payent largement des instituts importants des sciences humaines ou des grandes sociétés de publicité ce qui revient au même).
PEU IMPORTE LA COULEUR POLITIQUE, VOILA COMMENT NOS CHERS DIRIGEANTS NOUS MANIPULENT !
Question sur le contrôle technique à Emmanuel Barbe
sur le projet de contrôle technique, à 10 jours des manifestations de la FFMC.
Alors que la mobilisation promet d’être massive, l’homme reste sur ses positions : « Si nous n’avions que des motards responsables comme le sont ceux de la FFMC, nous n’aurions pas besoin de contrôle technique.
CE qui signifie que si vous adhérez à la FFMC vous êtes un bon motard, les autres… pouah .
les motards peuvent rouler avec des pneus lisses, un feu stop défectueux, sans clignotants ou sans rétroviseurs.
C’est bien pour ça qu’ils emmènent leur moto régulièrement chez leur concessionnaire celui-ci en plus de l’entretient vérifie l’ensemble de la machine et propose des solutions, ce qui est aussi dans son intérêt bizness
Ils se mettent alors en danger.
Non !!! et ils ne le savent pas s’ils ne sont pas adhérents ffmc !!! les cons
Pourtant ils sont souvent de bonne foi
Ah bon ça me rassure
et nous indiquent avoir acheté la moto en l’état sans savoir qu’elle ne respectait pas la réglementation.
Sont vraiment cons alors !!
C’est pour cela que nous pensons qu’un contrôle technique à la revente d’une moto d’occasion sera bénéfique en termes de sécurité ».
C’est trop gentil, après faut pas penser , faut aussi réfléchir
Un point de vue démenti par le rapport MAIDS qui indique que l’état du véhicule n’est responsable que de 0,3 % de l’accidentalité des usagers de 2RM.
Un chiffre que conteste M. Barbe : « Ces statistiques ne prennent pas en compte l’ensemble des accidents. Si l’on considère également les sinistres sans décès, le taux d’accident dû à une défaillance mécanique monte à 5 %.
La magie des chiffres
Nous allons donc cibler l’intégralité du parc deux-roues. Le véhicule devra être analysé par un tiers neutre avant d’être vendu en seconde main ».
Bien fait ils n’avaient qu’à adhérer à la FFMC
Pascal Dunikowski poursuit, inversant au passage l’ordre des événements : « Le Premier ministre a annoncé son souhait d’imposer le contrôle technique. Nous n’allons pas nous opposer à sa volonté ». En réalité, c’est Emmanuel Barbe qui a conseillé à Manuel Valls d’instaurer le contrôle technique…
Et menteur en plus !!!
Voila vous savez maintenant pourquoi il faut manifester contre toute cette hypocrisie
propos recueillis le 07 avril au matin porte de Vincennes à Paris lors d’une » opération de contrôle pédagogique » (en vérité de verbalisation appelons un âne un âne) en présence du scootériste E. Barbe qui c’est fait enfler à ses dires lors de l’achat de son burgman* , comme quoi s’il avait adhéré à la ffmc il se serait pas fait avoir et du chargé de mission deux-roues motorisé son conseiller
* C’est 2 mois après qu’il c’est aperçu de l’usure de ses pneumatiques ?? doit pas faire souvent le tour de son engin
La totalité de l’article est visible sur motomag.com dans rubrique défense des motards
Hé oui j’ai des poils aux jambes et même de gros mollets !!!!
Et avoir les deux, c’est très très ch…ant quand il faut mettre des bottes de moto.
Les miennes (de bottes) montent à mi-mollet et les poils de mes jolies gambettes (mais néanmoins viriles) se coincent juste aux bords des fermetures éclaires des dites bottes de moto.
Et ça fait mal, ça m’irrite le mollet (pourtant délicatement galbé), ça m’échauffe et la peau et les nerfs (que j’ai encore très vifs malgré mon âge).
Donc la solution !!!! mettre des chaussettes hautes.
C’est pourtant simple. Peut-être pour vous ,petits veinards, mais pas pour moi.
Soit elles sont trop fines et ne résistent pas longtemps , ça me coûte cher et nuit à mon sens de l’esthétisme « les trous c’est pas beau »
Soit elles sont trop épaisses et ne rentrent plus dans les bottes.
Soit l’élastique serre de trop et ça coupe la circulation.
Soit l’élastique ne serre pas assez et les fumantes sont aux bouts des bottes après 10 km.
Soit elles sont vertes et je n’aime pas le vert.
Soit elles sont rouges et ma femme n’aime pas le rouge.
Soit elles sont trop chaudes, trop froides bref ça ne va pas .
Les gens n’ont pas conscience des problèmes des motards, ils croient qu’on ne pense qu’à rouler comme des fous, ou à frimer avec des filles en petites tenue, ou être pleines de tatouages bizarres.
Non et non, le problème du motard, c’est les chaussettes.
Que la vérité soit enfin rendue publique (comme la raie).
Mais la lecture assidue de notre revue préférée (Moto Magazine) m’a apporté la solution miracle.
La chaussette de rugby!!!!
Géniales , les fumantes des rugbymens.
Elles tiennent bien sur toutes la jambe, elles serrent juste ce qu’il faut sans glisser au fond des bottes, elles favorisent l’évacuation de la transpiration, elles ne sont ni trop fines ni trop épaisses, elles montent assez haut pour ne pas m’arracher les poils des jambes avec cette put1 de fermeture éclaire, et elles ne sont ni verte ni rouge, le pied quoi (ouarf que je suis drôle !!!!).
Même ma femme n’a rien trouvé à redire , c’est dire !!!!
Et oui, c’est grâce à Moto Magazine que ma vie de motard en chaussette c’est transformée.
Si fallait une bonne raison pour vous abonner, en voilà une.
Mais non je n’ai pas l’esprit tordu!!!!
Début de saison , début de plaisir avec le Sunday Ride Classic les 16 et 17 avril prochain au circuit du Castellet
11 courses, un salon, des parades, des vedettes, le championnat d’europe d’endurance classic les side- cars classiques et modernes un weekend à en avoir mal aux yeux, pensez aux lunettes et pas que pour le soleil
pour se loger c’est simple notre partenaire »Le camping de Ceyreste » vous propose un accueil de motards y serez bien reçu et la route qui mène au circuit propose quelques beaux virages histoire de se mettre dans l’ambiance.
« 40 millions d’automobilistes » lance le Grand Référendum pour la mobilité en Île-de-France
Publié(e) par 40 millions d’automobilistes le 14 mars 2016 à 10:24
.
Mardi 07 mars 2016, TF1 diffusait dans son journal de 20h le bilan de la mairie de Paris après deux ans de baisse de la limitation de vitesse sur le boulevard périphérique parisien. Un bilan plus que mitigé, que « 40 millions d’automobilistes » avait prévu dès l’annonce de la mesure en 2013 et qui renforce les doutes de l’association quant à la pertinence de la politique de mobilité menée dans la capitale. Et pour cause : force est de constater que la mairie de Paris a lamentablement échoué dans ses objectifs de réduction des nuisances sonores pour les riverains et d’amélioration de la qualité de l’air. L’association « 40 millions d’automobilistes » invite tous les habitants et usagers d’Île-de-France à s’exprimer grâce au Grand Référendum pour la mobilité : http://referendum.40ma.org/mobilite-paris.
Le bilan des deux ans du boulevard périphérique à 70 km/h
C’était le 10 janvier 2014. Le boulevard périphérique parisien passait de 80 à 70 km/h, dans le but de « fluidifier le trafic » et de « réduire la pollution ». Deux ans après la mise en place de la mesure, les bénéfices de cet abaissement de la vitesse maximale autorisée sont plus que mitigés : l’observatoire du bruit en Île-de-France, Bruitparif, a mesuré une diminution du volume sonore moyen de seulement -0,6 dB (soit une baisse de 83,6 à 83 dB du bruit de la circulation), un changement « imperceptible pour l’oreille humaine » selon les spécialistes interrogés. Le seuil de recommandation de l’Organisation mondiale pour la Santé, fixé à 70 dB, reste quant à lui franchi en permanence.
Côté accidentalité, difficile de se faire une idée précise : les statistiques pour 2015 ne sont pour l’instant pas arrêtées et les chiffres disponibles sont tellement faibles que les variations semblent démesurées : une baisse de -15% de l’accidentalité générale avait été enregistrée en 2014 par rapport à 2013 et une hausse de +75% de la mortalité (en réalité, une augmentation du nombre de personnes tuées de 4 à 7 usagers). Impossible donc d’interpréter des données aussi minces.
Dernier aspect, et non des moindres dans la mesure où il constituait le principal argument d’Anne Hidalgo pour imposer aux usagers la baisse de la limitation de vitesse sur le périphérique (mesure à laquelle 59% des Parisiens étaient opposés) : la pollution atmosphérique. Mais sur ce sujet, en deux ans, la mairie de Paris n’a pas jugé bon de demander une étude d’impact à Airparif, l’association de surveillance de la qualité de l’air en Île-de-France : on se demande quelles peuvent être les réelles motivations d’une municipalité qui ne s’intéresse même pas aux conséquences des mesures qu’elle met en œuvre !
Face à l’absence de résultat, « 40 millions d’automobilistes » demande le retour de la limitation à 80 km/h
La mairie de Paris ne fait pas de la mobilité, mais seulement de la politique. Avec ce bilan à deux ans, nou ssavons déjà que la baisse de la limitation de vitesse sur le boulevard périphérique est une mauvaise mesure. Les objectifs visés n’ont pas été atteints. Pire, si la nouvelle limitation de vitesse ne change strictement rien aux conditions de circulation le jour en raison de la congestion permanente, elle est totalement inadaptée la nuit, lorsque le trafic est fluide. C’est ainsi que le nombre de flashs des radars implantés sur le boulevard a été multiplié par 3,5 entre 2013 et 2014. « 40 millions d’automobilistes » demande donc à ce que la limitation de vitesse à 80 km/h sur le périphérique soit rétablie.
Le Grand Référendum de la mobilité en Île-de-France pour redonner la parole aux usagers
Pour redonner la parole aux usagers de la route en Île-de-France, l’association met en ligne aujourd’hui le Grand Référendum pour la mobilité (http://referendum.40ma.org/mobilite-paris) et appelle tous les Franciliens qui se sentent concernés par les enjeux de mobilité à exprimer leur avis en répondant aux 20 questions qui leur seront soumises.
Tous les aspects de la politique de mobilité d’Anne Hidalgo sont évoqués : abaissement de la limitation de vitesse sur le périphérique, bien entendu, mais aussi voies réservées aux bus et taxis sur les itinéraires des aéroports, projet d’abaissement de la vitesse à 30 km/h dans Paris intra-muros, réaménagement des voies sur berges et des places emblématiques de la capitale, piétonisation, restrictions de circulation, circulation alternée… La mairie de Paris a imposé à plus d’1,3 millions d’usagers quotidiens une nouvelle réglementation sans prendre la peine de solliciter leur opinion. Grâce aux réponses apportées à ces questions, nous aurons au moins un indicateur de l’assentiment de la population à la politique menée par la Mairie et nous
espérons qu’elle aura le bon sens d’en tenir compte à l’avenir.
La révolte gronde chez les motards
Gilet jaune obligatoire, sur des motos dépourvues d’emplacement approprié , alors que le warning disponible sur toutes nos motos n’est pas reconnu ??
Des radars leurres, des drônes des radars de stop,de passage piétons à chaque jour sa nouvelle invention , mais maintient des zones dangereuses, absences de lisses sous les glissières etc..
Le rétrofit qui risque de passer à la trappe malgré les engagements pris
Le contrôle technique sortie par la porte, qui revient par la fenêtre
L’interdiction des motos d’avant 2000 en ville, voir celles de 2007
Les motards disent : ça suffit , la révolte gronde, préparons nous à le faire savoir à nos élus qui se moquent de nous.
Chantre de l’écologie, Hollande explose son bilan carbone
Alors que le chef de l’État s’envole pour Tahiti, la Polynésie française et l’Amérique latine, l’empreinte carbone de ce voyage fait grincer des dents. Publié le 21/02/2016 à 18:46 | Le Point.fr Chantre de l’écologie, Hollande explose son bilan carbone. © AFP/ MARTIN BURE
C’est un fait : depuis quelques quelques mois et la tenue de la COP21 à Paris, François Hollande semble s’être véritablement converti à l’écologie.
Celui qui n’accordait que peu d’intérêt à ce dossier il y a encore quelques années, apporte désormais une attention toute particulière à la lutte contre le réchauffement climatique.
Mais entre les discours et les faits, il y a parfois un fossé.
Alors que le président de la République s’envole ce dimanche pour Tahiti, la Polynésie française et l’Amérique latine, Metronews a calculé l’empreinte écologique de ce voyage présidentiel.
« Des déplacements qui vont contribuer allègrement au réchauffement climatique que le Président veut combattre », note le site d’informations.
Une délégation importante Pour son périple de 45 000 kilomètres en l’espace d’une semaine, le chef de l’État va consommer 26,3 tonnes de CO2, rapporte ainsi Metronews.
Pour réaliser son calcul, le site s’est basé sur un voyage en avion de ligne pour une seule personne. Pourtant, le président sera accompagné d’une délégation importante.
D’ailleurs sur le site d’Europe 1, Arnaud Dore de la société Ecoact dresse un bilan bien plus catastrophique pour la planète. Considérant que 150 personnes participeront au déplacement, le voyage présidentiel devrait émettre 1 400 tonnes d’équivalent (teq) par CO2, « soit 138 tours de la Terre en voiture, 541 allers-retours Paris-New York ou les émissions de gaz à effet de serre annuelles de 115 Français », écrit le site de la radio, tout en précisant que ces chiffres sont à prendre avec beaucoup de précautions.
Comble de l’ironie, le président se rendra au Pérou mardi afin de « saluer » le concours de ce pays au succès de la COP21.
Le chef de l’État avait déjà été épinglé pour des voyages très coûteux en termes d’empreinte carbone. À l’occasion des élections régionales, François Hollande avait fait un aller-retour express en avion pour se rendre dans son fief de Corrèze, provoquant l’ire des internautes.
Et on veut m’interdire d’utiliser ma moto qui date de 2001 au prétexte qu’elle pollue !!!
L’interdiction de circuler en ville va concerner motos et scooters d’avant 2007
Salut,
les technocrates qui inventent ces règlements sont des imbéciles… des imbéciles instruits dans les plus grandes écoles, mais des imbéciles quand même ! Et même des imbéciles de concours puisqu’ils ne savent pas combien ce qu’ils produisent est imbécile.
Au départ, on a des politiciens élus (souvent par défaut ou rejets des politiciens concurrents) qui font des « annonces »… ils ont commencé par des promesses qu’ils ne peuvent pas tenir, mais ils tentent de les prolonger par des annonces tout aussi intenables. Et c’est là que ça devient grave :
Ils demandent à leurs staffs de technocrates (des ingénieurs, des dir’com’, des dir’cab’, des énarques, des polytechniciens et autres « savants » tous formatés dans le même moule) de rendre « possible » leurs annonces… par exemple, la consigne va être de réduire le niveau d’émissions polluantes.
Les mecs commencent par ….. la suite
http://www.motomag.com/spip.php?page=sujet-redaction&id_article=29792?debut_forums_fils=@112710#forum112710