Suite aux attentats du 13 novembre dernier à Paris et à la mise en place par les pouvoirs publics de l’état d’urgence, le Bureau national de la FFMC a pris la seule décision qui lui semblait adaptée sur le moment : appeler ses militants à ne pas entraver l’action des forces de l’ordre mobilisées sur le terrain par des manifestations ou actions dont les tenants et aboutissants pouvaient paraître bien dérisoire en un pareil moment.

Or depuis, la FFMC constate un « état d’urgence » qui permet, sous couvert de lutte contre le terrorisme, de tracer, surveiller, interpeller et emprisonner des militants de la société civile, quels que soient leurs domaines d’action.

Par conséquent, au nom de ses statuts en faveur de la Liberté et des solidarités, le Bureau National de la FFMC appelle chacun à agir selon sa conscience et non selon les ordres d’un état policier qui en tant que tel, bafoue les valeurs républicaines dont il se prétend le dépositaire et le garant.

La FFMC considère plus que jamais nécessaire de reprendre le cours de ses actions dans le strict respect de ses statuts (extrait ci-dessous).

 « La FFMC agit également pour promouvoir les valeurs de solidarité, d’égalité et de liberté, visant à permettre au plus grand nombre la pratique du deux ou trois roues motorisés (du cyclo au gros cube) dans un esprit de responsabilité et d’entraide.

 Elle se prononce contre le racisme et tout ce qui tendrait à instaurer des discriminations, que ce soit l’origine ethnique, le niveau social, les choix politiques ou religieux, l’âge, le sexe ou les préférences sexuelles.

 Elle fonde son action sur la responsabilisation et la tolérance. »

Le Bureau national

Bonjour,

Une fois n’est pas coutume, la FFMC appelle ses antennes à la retenue quant aux actions de terrain et autres mobilisations fortes suite aux attaques terroristes qui ont secoué la France et le monde ce vendredi 13 novembre 2015.

Si ces dernières semaines, le National encourageait les militants à se mobiliser contre le contrôle technique moto et les interdictions de circulations, l’actualité récente doit nous inciter à une certaine retenue et à mettre de côté, du moins temporairement, certains modes d’actions, dont les manifestations de terrain que juridiquement, l’état d’urgence rendraient de toute façon pratiquement impossibles.

De plus, les médias sont focalisés sur ce drame et ses conséquences. L’opinion publique est profondément touchée et scandalisée, et les motards en colère doivent prendre leurs part de responsabilités et pour ne pas ajouter ce qui pourrait être considéré comme du chaos et de l’affolement à une situation déjà très compliquée.

A circonstances exceptionnelles, décision exceptionnelle. Cela ne signifie pas du tout que la FFMC est paralysée, mais que pour les prochains jours, elle se concentrera plutôt vers les institutionnels. La FFMC continue à œuvrer pour la défense des usagers de 2 et 3 RM, mais elle est avant tout solidaire d’une actualité lourde et dramatique.

FEMME et MOTARDE. Nouveau, c’est le premier magazine féminin dédié à la pratique de la moto et du scooter… Pour toutes celles qui rêvent de franchir le pas comme pour celles qui roulent depuis longtemps.

Les femmes conduisant un deux-roues motorisé sont de plus en plus nombreuses et ça se voit partout sur la route et dans le monde. Conscients de cette tendance, les équipementiers et constructeurs se sont pencher sur la question alors que les acteurs du milieu cosmétique loupent le coche pour le moment…

Dans ce numéro 1 de FEMME et MOTARDE, découvrez cette féminisation du monde du deux-roues motorisés au travers de conseils pratiques, de pages mode, d’essais de machines mais aussi de portraits et témoignages de femmes passionnées, anonymes ou non.

Ce numéro a été réalisé avec la participation de plusieurs utilisatrices de scooters et passionnées de motos. Elles ont largement contribué à enrichir ce numéro et apportée une aide précieuse à nos rédactrices et rédacteurs.

Le projet du Gouvernement : la mise en place d’un contrôle technique à la revente
Le 2 octobre 2015, le Comité interministériel de la sécurité routière, présidé par le Premier ministre Manuel Valls, a présenté 22 mesures dont l’objectif revendiqué est de réduire le nombre de morts sur les routes pour descendre sous la barre des 2000 tués en 2020.
Ce « plan d’action interministériel en faveur de la sécurité routière » intervient alors que, après douze années de baisse continue, la mortalité routière, toutes catégories confondues, a augmenté de 3,5 % en 2014 et de plus de 4% en 2015.
Dans ce contexte, et bien que les usagers de 2 et 3 roues motorisés (2 et 3 RM) aient connu une baisse de 11% de leur mortalité depuis 2010, 3 mesures les visent spécifiquement, officiellement pour « mieux les protéger ».
Parmi elles, la mesure n°13 consiste à instaurer, dans les 2 prochaines années, un contrôle technique lors de la vente des 2 et 3 RM d’occasion pour « sécuriser le parc d’occasion et protéger l’acheteur ».
Une mesure sans lien avec la sécurité routière
Calée sur ce qui existe déjà pour les voitures de plus de 4 ans, la mesure n’a pas vocation à protéger le conducteur de 2 ou 3 RM en tant qu’usager de la route mais simplement en tant qu’acheteur d’un véhicule. On est alors très loin des objectifs affichés par le gouvernement au point de se demander ce qui a motivé une telle décision.
La question est d’autant plus légitime que la présentation de cette mesure ne s’est accompagnée d’aucun élément concret, d’aucune statistique, qui aurait permis d’en comprendre l’intérêt.
Pour la FFMC, ce contrôle technique à la revente n’a aucun sens puisqu’il se bornera à effectuer, contre rémunération, une vérification visuelle des éléments de sécurité du véhicule que l’usager un peu informé peut tout à fait réaliser lui-même, gratuitement.
Il apparait clairement que cette mesure vient satisfaire l’appétit des enseignes de contrôle technique qui lorgnent depuis 10 ans sur l’importante source de profit que représenteraient les 3 millions de 2 et 3 RM aujourd’hui en circulation.
Une mesure qui cache un futur contrôle technique périodique
Il y a fort à parier que, dès que le réseau de centres de contrôle sera en place, ce même lobby obtiendra, toujours au prétexte de la sécurité routière, l’instauration du contrôle technique périodique pour le rentabiliser.
C’est aussi contre ce futur contrôle technique périodique que la FFMC se mobilise dès à présent en refusant ce qui en est les prémisses : le contrôle technique à la revente.
Par le passé, elle a déjà démontré que le contrôle technique périodique des 2 et 3 RM serait sans effet sur leur accidentalité.
Le rapport MAIDS (Motorcycle Accident In Depth Study), publié en 2005 après une étude approfondie de près de 1000 accidents de 2RM dans 5 pays d’Europe, a clairement établi que seul 0.7% de ces accidents avaient été directement causés par une défaillance technique du véhicule.
En 2007, le Conseil général des Ponts et Chaussées reconnaissait également, dans un rapport officiel sur le contrôle technique des 2RM, qu’il était « difficile d’établir une corrélation entre l’état du véhicule et la survenance des accidents ».
Au contraire, les chiffres de l’ONISR (Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière) établissent que ce sont les véhicules les plus récents, et donc ceux qui sont en bon état, qui sont les plus impliqués dans les accidents de la circulation. Cela n’a rien d’étonnant lorsqu’on sait que la majorité des accidents impliquant des 2RM ont pour origine des défaillances humaines.
De fait, un contrôle périodique de l’état des 2 et 3 RM s’avèrerait complètement inutile du point de vue de la sécurité routière. Ce serait une mauvaise réponse à une question qui ne se pose même pas !
Mobilisons-nous !
Dans un contexte économique de plus en plus difficile, les usagers de 2 et 3 RM refusent de payer, même quelques dizaines d’euros, une prestation dont ils n’ont pas besoin pour assurer leur sécurité. Et si le contrôle technique devait maintenir l’activité, et donc la rentabilité, des grandes enseignes de contrôle, elle condamnerait à terme celle de tous les préparateurs et accessoiristes moto puisque leurs clients ne pourraient plus « personnaliser » leur véhicule, même pour lui apporter des améliorations, qu’elles soient techniques ou esthétiques. Ce serait alors la fin de la « culture moto » telle qu’on la connait depuis toujours.
Pour qu’elle survive, mobilisons-nous, en signant la pétition et diffusant notre message sur les réseaux sociaux : stop au contrôle technique !

Plus de 50 000 manifestants contre les interdictions de circulation des 2RM
Le 10 octobre 2015, la FFMC organisait 34 manifestations qui ont rassemblé plus de 50 000 personnes venues protester contre les interdictions de circulation des deux-roues motorisés (2RM) dans les villes.


Ségolène Royal : « il faut sortir de ce problème par le haut et essayer de trouver des solutions tous ensemble »

En déplacement dans le Puy de Dôme, la ministre de l’Écologie Ségolène Royal a commenté, dans le quotidien La Montagne, les manifestations de la FFMC : « Les motards manifestent un peu partout, oui, mais il ne s’agit pourtant pas de prôner l’extinction des deux-roues. Pour réduire la pollution, tous les moteurs doivent s’améliorer, y compris ceux des deux-roues même s’ils ne sont pas les plus polluants. Au lieu de manifester, il faut sortir de ce problème par le haut et essayer de trouver des solutions tous ensemble », a estimé Ségolène Royal.


La FFMC demande à être reçue par la ministre de l’écologie

Nathanaël Gagnaire, délégué général de la FFMC, se réjouit de cette déclaration. Il indique : « bien que les spécificités deux-roues motorisés soient rarement prises en compte dans les plans de déplacement urbain (PDU), nous souhaitons que cela évolue et qu’une réelle concertation ait lieu afin de trouver des solutions pour lutter, avec toutes les parties prenantes, contre les problèmes de pollution dans les villes ».
Il ajoute, « malgré une demande de rendez-vous envoyée en février dernier, qui a visiblement été ignorée, nous restons prêts à discuter avec Madame Royal afin de trouver une issue positive à ce problème. Si elle le souhaite, nous sommes dès à présent à sa disposition pour convenir d’un rendez-vous ».


Pour une réelle prise en compte des 2RM

Pour conclure, Nathanaël Gagnaire déclare : « si Madame Royal accepte de nous rencontrer, […] nous serons vigilants à ce que cette discussion avec la ministre de l’Écologie ne tourne pas au simulacre de concertation, comme celui que nous avons subi ces dernières années avec le ministère de l’Intérieur en matière de sécurité routière. »

 

Les dernières mesures annoncées par le CISR du 2 octobre confirment des méthodes politiques indignes d’une démocratie. En annonçant un contrôle technique des deux-roues motorisés, le port obligatoire des gants et un énième durcissement du permis moto, le gouvernement de M. Valls vient de s’asseoir sur trois années de concertation avec les représentants de la FFMC que l’actuel locataire de Matignon était pourtant allé chercher pour légitimer la remise en selle du Conseil national de sécurité routière (CNSR).

Les commissions du CNSR auxquelles participe la FFMC ont examiné et retoqué ce qui vient d’être annoncé lors du CISR du 2 octobre qui nous ressort par la fenêtre ce qui avait été gentiment reconduit à la porte du CNSR. Alors qu’il devient vital d’associer durablement les usagers de la route aux enjeux de sécurité routière, le gouvernement fait un pas de plus dans une surenchère réglementaire et punitive qui ne fait qu’éloigner les gens non seulement des questions de sécurité routière, mais plus grave, de la politique en général en ce qu’elle peut avoir de plus noble.

A l’heure ou M. Valls et ses conseillers nous annoncent des « radars leurres », on voit déjà que les concertations et autres « tables rondes » avec eux sont aussi des leurres… c’est en tout cas le message que ce CISR nous envoie et les Motards en colère ont reçu le message 5 sur 5.

La suite, on la verra dans la rue, rendez-vous le 10 octobre dans plusieurs villes de France.

Opposés à la mise en œuvre dogmatique des plans de lutte contre la pollution à Paris et dans les autres grandes villes de France, la FFMC et la FFM appellent les usagers à manifester le 10 octobre 2015 pour que les deux-roues motorisés puissent accéder aux zones à circulation restreinte.

Le 17 aout dernier, la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a été adoptée et a permis aux communes de mettre en place des zones à circulation restreinte. La ville de Paris a déjà annoncé son plan de lutte contre la pollution en intégrant les deux-roues motorisés au dispositif de restriction au même titre que les voitures. La FFMC et la FFM regrettent cette manière dogmatique de lutter contre la pollution atmosphérique au regard du faible impact de ces véhicules dans la pollution et des impacts sociaux négatifs engendrés.

Une politique mal ciblée
Pour la FFMC et la FFM, interdire les 2RM en ville est un non-sens étant donné la faible part de ces derniers dans la pollution atmosphérique urbaine et compte tenu que ce mode de transport contribue à la fluidité de circulation et à l’optimisation de l’espace urbain dédié au stationnement. Ce constat est partagé par le Parlement européen qui a rappelé récemment l’intérêt des 2RM pour la mise en place d’une mobilité durable.

Une politique trop contraignante
La pollution atmosphérique a été occultée durant de nombreuses années par les pouvoirs publics. Ils ne peuvent aujourd’hui vouloir rattraper leur retard en restreignant de manière disproportionnée les libertés des usagers. Aussi, pour le trafic routier, des progrès notables sont déjà là grâce à l’évolution des normes antipollution, permettant au renouvellement naturel du parc de véhicules d’avoir un effet très positif sur la qualité de l’air.

Une politique antisociale
Le besoin de mobilité des personnes ne peut être sacrifié sans une réflexion en amont sur l’organisation économique et sociale des territoires. La mise en place de zones à circulation restreinte, basée sur l’année de mise en circulation des véhicules, discrimine les plus bas revenus qui ne pourront pas se payer de véhicule neuf alors qu’ils ont un besoin vital de se déplacer.

Toutes les informations sur les lieux et horaires de rendez-vous très prochainement.

Contacts presse :
Fédération Française des Motards en Colère – 01 48 18 03 20
Fédération Française de Motocyclisme – 01 49 23 77 24

Le 2 octobre 2015, se réunira le Conseil interministériel de sécurité routière (CISR). Il ne s’était plus réuni depuis mai 2011 et c’est dans l’urgence que le gouvernement prépare des annonces à la suite de la publication des derniers chiffres de l’insécurité routière. A la clé, des annonces déconnectées des réalités. La FFMC redoute des mauvaises réponses à de bonnes questions.


Accidents : le motard n’est pas responsable dans 65% des cas

Les usagers de deux et trois-roues motorisés (2RM) sont dans la ligne de mire des Pouvoirs publics puisqu’ils sont une des catégories de victimes les plus impactées par la sinistralité routière, tout comme les piétons et les cyclistes… La principale explication de cette sinistralité tient à l’exposition aux risques routiers des usagers non protégés par une carrosserie. Si l’été 2015 a été mauvais pour la sécurité des usagers à moto, rappelons que la baisse de la mortalité des motocyclistes, au cours des cinq dernières années, est de -11%. Dans les accidents de moto contre un autre véhicule, le motard n’est pas responsable dans 65% des cas.

Des mesures inadaptées

Depuis 35 ans, les bénévoles de la FFMC travaillent à réduire les causes des accidents de moto alors que les responsables de la Sécurité routière empilent les réglementations pour tenter de limiter les conséquences de ces accidents, en commençant par tenter de dissuader les gens à la pratique des 2RM. Depuis ces dernières années, la marotte des technocrates de la sécurité routière consiste à vouloir imposer le port des gants et instaurer un contrôle-technique, deux mesures sans aucun effet sur les causes des accidents dont sont victimes les usagers en 2RM.

Des solutions pourtant évidentes

Cet entêtement est d’autant plus aberrant que dans le cadre de toutes les concertations auxquelles les représentants des usagers en 2RM ont participé depuis ces cinq dernières années, la FFMC a mis en évidence l’inefficacité de tels projets d’obligations tout en expliquant que les enjeux d’amélioration pour les 2RM étaient ailleurs, à commencer par :
– la formation de tous les usagers à la coexistence avec les 2RM,
– la lutte contre les distracteurs au volant,
– la conception d’infrastructures routières moins agressives en cas de chute.

Les spécialistes en conviennent, mais les politiques et les responsables gouvernementaux restent sourds…

Les 2,3 et 4 octobre prochains aura lieu la manche française du championnat du Monde Superbike sur le circuit de Nevers Magny Cours. À l’occasion de ce grand rassemblement sportif, les antennes de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) organisent cinq « Relais Motards Calmos » pour inciter les motards à faire une pause sécurité sur la route de Magny Cours. Expression d’une chaîne de solidarité motarde, ces relais visent donc à améliorer les conditions de sécurité de cette grande migration motocycliste.


Des relais à des emplacements stratégiques

Implantés sur deux axes majeurs menant au circuit, ces « Relais Motards Calmos » proposent un large choix de services : distribution gratuite de boissons, information routière, assistance technique, vente de carburants, restauration, couchage, etc.
Les grands événements moto génèrent d’importants flux de circulation de deux-roues motorisés. Les déplacements en groupe peuvent surprendre des automobilistes pas forcément habitués à gérer une cohabitation avec un grand nombre de motards. Du côté de ces derniers, la fatigue due à des grandes distances peut altérer les réflexes et diminuer la vigilance. Grâce au dispositif déployé par la FFMC, des messages de prévention sont diffusés aux motards et aux autres usagers de la route. Les « Relais Motards Calmos » contribuent à une conduite apaisée ainsi qu’au respect mutuel de tous les usagers et au partage de la route.

Une action inscrite dans la durée

À chaque grand événement moto, et ce depuis 1992, la FFMC organise des actions de sensibilisation sur le terrain, pour inviter les passionnés à encore plus de prudence sur la route.


Liste des Relais Motards Calmos

Yzeures (03)
Horaires : du vendredi 2 octobre 14h au dimanche 4 octobre 18h.
Lieu : site de Millepertuis à Yzeures. RN7, sortie n°46 / accès RD12
Coordonnées GPS : 46°32’19’’ N et 3°22’44’’ E
Services gratuits : atelier mécanique, restauration, café.

Saint-Germain (10)
Horaires : le vendredi 2 octobre 14h au samedi 3 octobre 12h. Le dimanche 4 octobre de 10h à 18h.
Lieu : RN77 (Route de Troyes), parking près du stade de football
Coordonnées GPS : 48°15’20.90’’N et 4°1’45.97’’ E
Services gratuits : atelier mécanique, restauration, café.

Bourges (18)
Horaires : du vendredi 2 octobre à 11h au dimanche 4 octobre à 20h.
Lieu : lieu-dit « les carrières », direction Moulins RD 2076, 18000 Bourges.
Coordonnées GPS : 43° 03’ 13,29’’ N – 2° 25’ 56,71’’ E.
Services gratuits : atelier mécanique, restauration, café, couchage.

Varennes-Changy (45)
Horaires : le dimanche 4 octobre, de 8h à 18h.
Lieu : A77, Aire du Jardin des Arbres
Coordonnées GPS : 47°51’07.3’’N et 2°41’02.2’’ E
Services gratuits : atelier mécanique, restauration, café.

Courson-les-Carrières (89)
Horaires : le vendredi 2 octobre, de 10h à 19h. Le samedi 3 octobre de 8h à 15h. Le dimanche de 4 octobre de 10h à 20h.
Lieu : N151, garage Citroën au 23 Route De Clamecy, 89560 Courson les Carrières.
Coordonnées GPS : 47°36’43.638″ N et 3°30’7.329″ E.
Services gratuits  : atelier mécanique, restauration, café, information sur le trafic.

Une manifestation sera organisée par la FFMC le samedi 10 octobre 2015 pour protester « contre les interdictions de circulation des deux-roues motorisés en ville ». Aux quatre coins de France, des cortèges seront portés par le slogan « Le deux-roues motorisés est une solution, pas une pollution » !

Par cette manifestation d’envergure nationale, qui vient en soutien de la manifestation francilienne, la FFMC entend faire suite aux « politiques environnementales » qui souhaitent interdire les motos d’avant 2000 (puis celles des années suivantes, à très court terme), dans les grandes villes de France, dont Paris. Problématique d’autant plus amplifiée par la loi sur la transition énergétique votée récemment et qui donne tous les outils aux collectivités pour appliquer des zones à circulation restreinte, intégrant le deux-roues motorisés dans ces restrictions. Cela constituerait une exception européenne !

Les rendez-vous prévus

*01 – Peronnas à 12h, Face à R’Bike. Ce cortège rejoindra celui de Lyon (69).

*03 – Ce cortège rejoindra celui de Clermont (63) à 13h30. Il comprend trois étapes :
– Départ de Moulins parking Intermarché de La Madeleine à 12h.
– On rejoint les autres motards à Saint Pourçain/Sioule sur le parking à la sortie sur la route de Gannat en face de Mac Do pour un départ à 12h45.
– à Gannat pour ceux de la région de Vichy sur le parking à la sortie de Gannat sur la route de Riom.

*08 – Warcq à 14h, boulevard Lucien Perquin (devant l’église).

*12 – Ce cortège rejoindra celui de Montpellier (34) à 13h. Il comprend trois étapes :
– Villefranche de Rouergue à 9h devant la halle (Allée Aristide Briand)
– Rodez à 10h au parking du Drive Leclerc au carrefour Saint Eloi.
– Millau à 11h, au rond point du McDonald’s.

*28 – Ce cortège rejoint celui de Paris.
Chartres à 11h, sur le parking du Carrefour. Départ pour Paris à 11h45.

*30 – Nîmes à 12h45, Stade des Costières. Ce cortège rejoindra celui de Montpellier (34).

*37 – Ce cortège rejoint celui de Paris.
Chartres à 11h, sur le parking du Carrefour. Départ pour Paris à 11h45.

*39 – Deux rendez-vous :
– 11h30 devant le local FFMC (5 avenue Jean Moulin) à Lons le Saunier
– 11h30 devant TIM Moto (3 rue de Bruxelles) à Tavaux.
Ces deux cortèges se retrouverons ensuite à l’entrée de Chalon.

*42 – Roanne à 11h, place de la Loire.
Ce cortège rejoindra celui de Saint-Etienne (43).

*43 – Deux rassemblement :
– Saint-Etienne à 13h30, parking Auchan Villars.
– Clermont à 14h, place du 1er mai.

*44 – Nantes à 14h, sur le parking du Maillé-Brézé, quai de la Fosse.

*45 – Ce cortège rejoint celui de Paris.
Orléans à 09H30, place du Théâtre. Départ vers Paris à 10h « via un parcours visible orléanais,
laissant la liberté à ceux qui ne veulent pas rejoindre Paris de nous quitter au Nord de l’agglomération »

*59 – Lille à 14h, Grande Place.

*63 – Clermont à 14h, place du 1er mai.

*68 – Mulhouse à partir de 13h30, Gare du Nord au 196 rue Josué Hofer. Départ du cortège à 14h30.

*72 – Ce cortège rejoint celui de Paris.
Chartres à 11h, sur le parking du Carrefour. Départ pour Paris à 11h45.

Restez mobilisés, restez informés !
Nous diffuserons prochainement les lieux et heures de rendez-vous des cortèges sur notre site internet… à très bientôt !

La page dédiée du site national –> ICI

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