Hé oui j’ai des poils aux jambes et même de gros mollets !!!!

Et avoir les deux, c’est très très ch…ant quand il faut mettre des bottes de moto.

Les miennes (de bottes) montent à mi-mollet et les poils de mes jolies gambettes (mais néanmoins viriles) se coincent juste aux bords des fermetures éclaires des dites bottes de moto.

Et ça fait mal, ça m’irrite le mollet (pourtant délicatement galbé), ça m’échauffe et la peau et les nerfs (que j’ai encore très vifs malgré mon âge).

Donc la solution !!!! mettre des chaussettes hautes.

C’est pourtant simple. Peut-être pour vous ,petits veinards, mais pas pour moi.

Soit elles sont trop fines et ne résistent pas longtemps , ça me coûte cher et nuit à mon sens de l’esthétisme « les trous c’est pas beau »

Soit elles sont trop épaisses et ne rentrent plus dans les bottes.

Soit l’élastique serre de trop et ça coupe la circulation.

Soit l’élastique ne serre pas assez et les fumantes sont aux bouts des bottes après 10 km.

Soit elles sont vertes et je n’aime pas le vert.

Soit elles sont rouges et ma femme n’aime pas le rouge.

Soit elles sont trop chaudes, trop froides bref ça ne va pas .

Les gens n’ont pas conscience des problèmes des motards, ils croient qu’on ne pense qu’à rouler comme des fous, ou à frimer avec des filles en petites tenue, ou être pleines de tatouages bizarres.

Non et non, le problème du motard, c’est les chaussettes.

Que la vérité soit enfin rendue publique (comme la raie).

Mais la lecture assidue de notre revue préférée (Moto Magazine) m’a apporté la solution miracle.

La chaussette de rugby!!!!

Géniales , les fumantes des rugbymens.

Elles tiennent bien sur toutes la jambe, elles serrent juste ce qu’il faut sans glisser au fond des bottes, elles favorisent l’évacuation de la transpiration, elles ne sont ni trop fines ni trop épaisses, elles montent assez haut pour ne pas m’arracher les poils des jambes avec cette put1 de fermeture éclaire, et elles ne sont ni verte ni rouge, le pied quoi (ouarf que je suis drôle !!!!).

Même ma femme n’a rien trouvé à redire , c’est dire !!!!

Et oui, c’est grâce à Moto Magazine que ma vie de motard en chaussette c’est transformée.

Si fallait une bonne raison pour vous abonner, en voilà une.

Mais non je n’ai pas l’esprit tordu!!!!



Garage Varinot :

Garage Varinot, entretien et réparation de véhicules toutes marques!



Espace Pro Monternoz
24 rue Thioudet
01960 PERONNAS



Tel : 04 74 21 29 85



Email : contact@garage-varinot.fr

 



Horaires Lundi au Vendredi : 9h-12h 14h-19h

 

Début de saison , début de plaisir avec le Sunday Ride Classic les 16 et 17 avril prochain au circuit du Castellet

11 courses, un salon, des parades, des vedettes, le championnat d’europe d’endurance classic les side- cars classiques et modernes un weekend à en avoir mal aux yeux, pensez aux lunettes et pas que pour le soleil

pour se loger c’est simple notre partenaire »Le camping de Ceyreste »  vous propose un accueil de motards y serez bien reçu et la route qui mène au circuit propose quelques beaux virages histoire de se mettre dans l’ambiance.

« 40 millions d’automobilistes » lance le Grand Référendum pour la mobilité en Île-de-France

Publié(e) par 40 millions d’automobilistes le 14 mars 2016 à 10:24
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Mardi 07 mars 2016, TF1 diffusait dans son journal de 20h le bilan de la mairie de Paris après deux ans de baisse de la limitation de vitesse sur le boulevard périphérique parisien. Un bilan plus que mitigé, que « 40 millions d’automobilistes » avait prévu dès l’annonce de la mesure en 2013 et qui renforce les doutes de l’association quant à la pertinence de la politique de mobilité menée dans la capitale. Et pour cause : force est de constater que la mairie de Paris a lamentablement échoué dans ses objectifs de réduction des nuisances sonores pour les riverains et d’amélioration de la qualité de l’air. L’association « 40 millions d’automobilistes » invite tous les habitants et usagers d’Île-de-France à s’exprimer grâce au Grand Référendum pour la mobilité : http://referendum.40ma.org/mobilite-paris.

Le bilan des deux ans du boulevard périphérique à 70 km/h

C’était le 10 janvier 2014. Le boulevard périphérique parisien passait de 80 à 70 km/h, dans le but de « fluidifier le trafic » et de « réduire la pollution ». Deux ans après la mise en place de la mesure, les bénéfices de cet abaissement de la vitesse maximale autorisée sont plus que mitigés : l’observatoire du bruit en Île-de-France, Bruitparif, a mesuré une diminution du volume sonore moyen de seulement -0,6 dB (soit une baisse de 83,6 à 83 dB du bruit de la circulation), un changement « imperceptible pour l’oreille humaine » selon les spécialistes interrogés. Le seuil de recommandation de l’Organisation mondiale pour la Santé, fixé à 70 dB, reste quant à lui franchi en permanence.

Côté accidentalité, difficile de se faire une idée précise : les statistiques pour 2015 ne sont pour l’instant pas arrêtées et les chiffres disponibles sont tellement faibles que les variations semblent démesurées : une baisse de -15% de l’accidentalité générale avait été enregistrée en 2014 par rapport à 2013 et une hausse de +75% de la mortalité (en réalité, une augmentation du nombre de personnes tuées de 4 à 7 usagers). Impossible donc d’interpréter des données aussi minces.

Dernier aspect, et non des moindres dans la mesure où il constituait le principal argument d’Anne Hidalgo pour imposer aux usagers la baisse de la limitation de vitesse sur le périphérique (mesure à laquelle 59% des Parisiens étaient opposés) : la pollution atmosphérique. Mais sur ce sujet, en deux ans, la mairie de Paris n’a pas jugé bon de demander une étude d’impact à Airparif, l’association de surveillance de la qualité de l’air en Île-de-France : on se demande quelles peuvent être les réelles motivations d’une municipalité qui ne s’intéresse même pas aux conséquences des mesures qu’elle met en œuvre !

Face à l’absence de résultat, « 40 millions d’automobilistes » demande le retour de la limitation à 80 km/h

La mairie de Paris ne fait pas de la mobilité, mais seulement de la politique. Avec ce bilan à deux ans, nou ssavons déjà que la baisse de la limitation de vitesse sur le boulevard périphérique est une mauvaise mesure. Les objectifs visés n’ont pas été atteints. Pire, si la nouvelle limitation de vitesse ne change strictement rien aux conditions de circulation le jour en raison de la congestion permanente, elle est totalement inadaptée la nuit, lorsque le trafic est fluide. C’est ainsi que le nombre de flashs des radars implantés sur le boulevard a été multiplié par 3,5 entre 2013 et 2014. « 40 millions d’automobilistes » demande donc à ce que la limitation de vitesse à 80 km/h sur le périphérique soit rétablie.

Le Grand Référendum de la mobilité en Île-de-France pour redonner la parole aux usagers

Pour redonner la parole aux usagers de la route en Île-de-France, l’association met en ligne aujourd’hui le Grand Référendum pour la mobilité (http://referendum.40ma.org/mobilite-paris) et appelle tous les Franciliens qui se sentent concernés par les enjeux de mobilité à exprimer leur avis en répondant aux 20 questions qui leur seront soumises.

Tous les aspects de la politique de mobilité d’Anne Hidalgo sont évoqués : abaissement de la limitation de vitesse sur le périphérique, bien entendu, mais aussi voies réservées aux bus et taxis sur les itinéraires des aéroports, projet d’abaissement de la vitesse à 30 km/h dans Paris intra-muros, réaménagement des voies sur berges et des places emblématiques de la capitale, piétonisation, restrictions de circulation, circulation alternée… La mairie de Paris a imposé à plus d’1,3 millions d’usagers quotidiens une nouvelle réglementation sans prendre la peine de solliciter leur opinion. Grâce aux réponses apportées à ces questions, nous aurons au moins un indicateur de l’assentiment de la population à la politique menée par la Mairie et nous
espérons qu’elle aura le bon sens d’en tenir compte à l’avenir.

Contrôle technique moto : la FFM, la FFMC et le CODEVER appellent
à manifester les 16 et 17 avril pour protester contre ce projet

Fermement opposées à la mise en œuvre d’un contrôle technique moto, les trois associations d’usagers de deux et trois-roues motorisés (2/3RM), la Fédération Française de Motocyclisme, la Fédération Française des Motards en Colère et le Codever appellent à une mobilisation nationale les 16 et 17 avril prochains.

Le 2 octobre 2015, lors du Conseil Interministériel de Sécurité Routière (CISR), Manuel Valls annonçait la mise en place d’un contrôle technique lors de la vente pour les deux ou trois roues motorisés d’occasion en fin d’année 2017. Cette annonce, contraire aux recommandations du Conseil National de Sécurité Routière (CNSR), provoque une nouvelle fois la colère des usagers de 2 et 3 RM. La FFM, la FFMC et le CODEVER regrettent que le gouvernement continue d’agir dans l’intérêt des lobbys économiques au lieu d’investir dans la sécurité des usagers de la route.

Aucun impact sur la sécurité routière
Les pouvoirs publics justifient cette mesure au prétexte d’une plus grande sécurité routière. Faux ! L’étude MAIDS contredit cet argument et indique que l’état du véhicule n’est en cause que dans 0,3 % des cas d’accidents. Par ailleurs, dans son enquête « 2-roues » la Confédération Française des Experts Automobiles (CFEA) n’a constaté aucun défaut sur les éléments de sécurité de 4500 2RM accidentés .
Enfin, les statistiques de ces quinze dernières années montrent que la mortalité des motards a chuté de 38% en France (sans contrôle technique !) tandis que la baisse n’est que de 31% en Allemagne alors que ce pays impose un contrôle technique périodique.

Aucun intérêt pour la protection consommateur
Ce projet de contrôle technique ne sera pas une protection réelle pour le consommateur. En effet, l’immense majorité des vices cachés sont du domaine mécanique et nécessitent une intervention plus poussée que le simple contrôle visuel avancé par le Délégué à la sécurité routière, Emmanuel Barbe. Assurer l’inverse relève de la contre-vérité, d’autant qu’aucune étude ne permet de corréler une meilleure protection du consommateur avec l’instauration d’un contrôle technique .

Des taxes pour les uns, des bénéfices pour les autres
Le projet propose de mettre en place un contrôle technique transactionnel qui risque de devenir rapidement périodique afin de permettre aux opérateurs de dégager des profits et de se développer avec un marché potentiel de plus de 100 millions d’euros. La conséquence pour l’usager de la route est une taxe supplémentaire et inutile de 50€ à 70€, sans aucune valeur ajoutée pour les usagers.

La FFM, la FFMC et le CODEVER combattent depuis des années les tentatives de mise en place d’un contrôle technique moto en France et en Europe. Afin de dire « Stop » à ce nouveau projet de contrôle technique, nous appelons à une mobilisation d’ampleur les 16 et 17 avril prochains.

Informations pratiques : www.stopcontroletechnique2rm.fr

La révolte gronde chez les motards

Gilet jaune obligatoire, sur des motos dépourvues d’emplacement approprié , alors que le warning disponible sur toutes nos motos n’est pas reconnu ??

Des radars leurres, des drônes des radars de stop,de passage piétons à chaque jour sa nouvelle invention , mais maintient des zones dangereuses, absences de lisses sous les glissières etc..

Le rétrofit qui risque de passer à la trappe malgré les engagements pris

Le contrôle technique sortie par la porte, qui revient par la fenêtre

L’interdiction des motos d’avant 2000 en ville, voir celles de 2007

Les motards disent : ça suffit , la révolte gronde, préparons nous à le faire savoir à nos élus qui se moquent de nous.

Chantre de l’écologie, Hollande explose son bilan carbone

Alors que le chef de l’État s’envole pour Tahiti, la Polynésie française et l’Amérique latine, l’empreinte carbone de ce voyage fait grincer des dents. Publié le 21/02/2016 à 18:46 | Le Point.fr Chantre de l’écologie, Hollande explose son bilan carbone. © AFP/ MARTIN BURE

C’est un fait : depuis quelques quelques mois et la tenue de la COP21 à Paris, François Hollande semble s’être véritablement converti à l’écologie.

Celui qui n’accordait que peu d’intérêt à ce dossier il y a encore quelques années, apporte désormais une attention toute particulière à la lutte contre le réchauffement climatique.

Mais entre les discours et les faits, il y a parfois un fossé.

Alors que le président de la République s’envole ce dimanche pour Tahiti, la Polynésie française et l’Amérique latine, Metronews a calculé l’empreinte écologique de ce voyage présidentiel.

« Des déplacements qui vont contribuer allègrement au réchauffement climatique que le Président veut combattre », note le site d’informations.

Une délégation importante Pour son périple de 45 000 kilomètres en l’espace d’une semaine, le chef de l’État va consommer 26,3 tonnes de CO2, rapporte ainsi Metronews.

Pour réaliser son calcul, le site s’est basé sur un voyage en avion de ligne pour une seule personne. Pourtant, le président sera accompagné d’une délégation importante.

D’ailleurs sur le site d’Europe 1, Arnaud Dore de la société Ecoact dresse un bilan bien plus catastrophique pour la planète. Considérant que 150 personnes participeront au déplacement, le voyage présidentiel devrait émettre 1 400 tonnes d’équivalent (teq) par CO2, « soit 138 tours de la Terre en voiture, 541 allers-retours Paris-New York ou les émissions de gaz à effet de serre annuelles de 115 Français », écrit le site de la radio, tout en précisant que ces chiffres sont à prendre avec beaucoup de précautions.

Comble de l’ironie, le président se rendra au Pérou mardi afin de « saluer » le concours de ce pays au succès de la COP21.

Le chef de l’État avait déjà été épinglé pour des voyages très coûteux en termes d’empreinte carbone. À l’occasion des élections régionales, François Hollande avait fait un aller-retour express en avion pour se rendre dans son fief de Corrèze, provoquant l’ire des internautes.

Et on veut m’interdire d’utiliser ma moto qui date de 2001 au prétexte qu’elle pollue !!!

L’interdiction de circuler en ville va concerner motos et scooters d’avant 2007

Salut,

les technocrates qui inventent ces règlements sont des imbéciles… des imbéciles instruits dans les plus grandes écoles, mais des imbéciles quand même ! Et même des imbéciles de concours puisqu’ils ne savent pas combien ce qu’ils produisent est imbécile.

Au départ, on a des politiciens élus (souvent par défaut ou rejets des politiciens concurrents) qui font des « annonces »… ils ont commencé par des promesses qu’ils ne peuvent pas tenir, mais ils tentent de les prolonger par des annonces tout aussi intenables. Et c’est là que ça devient grave :
Ils demandent à leurs staffs de technocrates (des ingénieurs, des dir’com’, des dir’cab’, des énarques, des polytechniciens et autres « savants » tous formatés dans le même moule) de rendre « possible » leurs annonces… par exemple, la consigne va être de réduire le niveau d’émissions polluantes.
Les mecs commencent par ….. la suite

http://www.motomag.com/spip.php?page=sujet-redaction&id_article=29792?debut_forums_fils=@112710#forum112710

Le sénateur Hervé Maurey (UDI-UC) a déposé une proposition de loi destinée à rendre obligatoire le port du casque pour les cyclistes.

Le Comité interministériel pour la sécurité routière (CISR) avait prescrit en octobre 2015 l’obligation du port d’un casque homologué pour les enfants de moins de 12 ans, sans généraliser cette mesure à l’ensemble des cyclistes.

Mais pour M. Maurey, « le port du casque ne saurait être limité aux seuls enfants de moins de 12 ans alors que plus de 85 % des cyclistes tués ont plus de 18 ans ».

L’élu de l’Eure, également président de la Commission de l’Aménagement du territoire et du développement durable du Sénat, souligne que « les cyclistes, circulant sans protection, restent très vulnérables ». « Les accidents, même mineurs, une simple chute par exemple, peuvent entraîner des conséquences majeures, telles qu’un traumatisme crânien », écrit-il dans sa proposition de loi.

159 cyclistes tués en 2014

Il précise que « le risque d’être tué par heure passée sur la route est trois fois plus important pour un cycliste que pour un automobiliste. Celui d’être blessé est huit fois plus important. Lors d’un accident à vélo, la tête est touchée une fois sur trois et la majorité des accidents corporels de cyclistes n’implique pas de tiers ».

En 2014, 4 438 accidents corporels ont impliqué un cycliste et 159 cyclistes ont été tués, un chiffre en hausse de 8,2 % par rapport à 2013.

Pour pouvoir entrer en vigueur, cette proposition de loi devra d’abord recevoir un feu vert en commission avant d’être examinée en séance. Si le Sénat à majorité de droite l’adopte, elle devra ensuite être votée dans les mêmes termes à l’Assemblée.

Pourquoi dire contre Vélib ?

Les gestionnaires des parcs de location de vélos, ne pourront fournir de casques pour différentes raisons
Déjà la gestion des casques à fournir lors de chaque vélo loué, le vol de ceux ci inévitables et ensuite Je vois mal qui que se soit mettre sa tête dans un casque à la suite d’un autre usagé, bonjour l’hygiène quant à trimballer son casque perso toute la journée, je demande à voir

mettre une charlotte : quelle horreur, mes cheveux vont être tout aplatis sans compter qu’il faudra en avoir à disposition

Si l’intention est louable attendons de voir qui l’emportera de la sécurité des cyclistes ou des loueurs de vélos