L’assemblée générale de la FFMC 01 se déroulera le samedi 17 janvier 2015 à l’auberge Sancho Plancha à Saint Rémi (01310) .

Le rdv est donné à 16h30 pour procéder aux émargements , distribution des bulletins de votes , … Vous aurez aussi la possibilité d’adherer ou renouveler votre adhésion FFMC sur place . 
L’assemblée débutera par le retour sur l’année écoulée puis la présentation des actions et la direction prise pour l’année à venir , s’en suivra les differents votes et l’élection du nouveau bureau .

La réunion se terminera par un apréro offert par votre FFMC préférée et le repas de cloture (15E) avec au menu  une potée .


Pour une meilleure organisation , il est preferable de s’inscrire pour le repas sur le doodle : http://doodle.com/ukuhhc76qskbyiwc
Merci de confirmer aussi votre présence par mail a ffmc01@ffmc.fr

Aucun paiement par CB ne sera possible , pour ceux qui veulent regler par cheque :
Adhesion 39E minimum à l’ordre de FFMC
Le repas 15E à l’ordre du restaurant .

N’oubliez pas que votre antenne vit et fonctionne grace à une poignée de bénévoles qui pour certains perdent petit à petit de leur motivation . Voutre presence et soutien les aiderai à en retrouver un peu et pourrai aider ceux qui veulent s’investir à franchir le pas .
La FFMC reste encore le pricipal barrage aux abberations de nos politiques et defendre les interets des motards pour nous permettre de vivre notre passion librement !

 


 

« Adhérer à la FFMC, ça m’apporte quoi ? »





Cette question, combien de fois les militants de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) l’entendent-ils ? Les plus impliqués dans nos actions, des dizaines de fois sans doute. Bien sûr, il est facile de répondre qu’adhérer permet de « soutenir la cause », qu’il y a des salariés à rémunérer, d’expliquer pourquoi une association comme la nôtre ne peut fonctionner uniquement avec des bénévoles, qu’il faut bien payer les frais de fonctionnement. Ou, de façon plus terre à terre, et bien plus individualiste, qu’adhérer à la FFMC vous donne droit à un tarif réduit sur votre abonnement à Moto Magazine, sur votre stage de perfectionnement Association pour la Formation Des Motards (AFDM), que vous bénéficiez des informations de la commission Juridique, voire de remises chez les concessionnaires locaux partenaires.





Ou à l’inverse, on peut essayer d’imaginer. Quel serait le monde moto actuel si la Fédération n’avait pas été créée, il y a plus de 30 ans maintenant, par quelques utopistes bien décidés à sauver la pratique de la moto ? Et si depuis, tel le village gaulois résistant à l’individualisme galopant de notre société, nous n’avions pas quelques milliers d’adhérents continuant à verser leur obole pour que la FFMC continue d’exister pour l’intérêt de tous ?





Tout d’abord, sans la FFMC, jamais la Mutuelle des Motards n’aurait pu voir le jour. Et sans elle, ceux qui circulaient déjà à moto à la fin des années 70 le savent bien, les tarifs d’assurance délirants continueraient à être d’actualité. Impossible donc pour les jeunes motards de s’assurer. Et sans jeunes motards, les vieux motards auraient fini par disparaître, la bête isolée étant bien plus facile à abattre. Demandez à nos cousins du Québec comment cela se passe, avec leur système de plaques à payer tous les ans, mix de la vignette et de l’assurance prohibitive contre lesquels les motards se sont mobilisés aux origines de notre association.





Sans la FFMC, à l’origine de la création du « Pavé dans la mare » (devenu Moto Magazine) et de la commission Stop Vol, qui testerait de façon indépendante les produits dont le consomotard a besoin pour pratiquer le 2 roues ? Devrions-nous nous contenter des publi-reportages fournis par les fabricants eux-mêmes ?





Sans la FFMC, pas de tarifs réduits sur les autoroutes pour les 2 roues. Pas de gratuité des péages négociée à l’occasion des grands évènements moto. Plein pot, comme les automobilistes, peu importe qu’avec nos 300 kg nous ne soyons pas responsables de la dégradation du réseau routier. Ce qui compte, c’est de plumer le pigeon.





Sans la FFMC, pas de Relais Motards Calmos, pas d’interventions de motards dans les établissements scolaires (Éducation Routière de la Jeunesse), finies les opérations de prévention diverses auprès des usagers de la route. De la répression uniquement, et à un niveau tel que la situation actuelle paraitrait être le paradis en comparaison. Ou au mieux, de la prévention avec un discours lénifiant pour expliquer aux ados à quel point le 2 roues, c’est le mal absolu.





Sans la FFMC, au menu, ce serait contrôle technique tous les ans, gilet airbag (et fluo) obligatoire, procédure « véhicule endommagé » permettant d’immobiliser arbitrairement les véhicules, plaques format A4, et accès rendu plus difficile au permis moto. Bref, tout ce qu’il faut pour mettre tout ce petit monde au pas, et écrémer en interdisant la pratique du 2 roues aux plus modestes.





A la FFMC, nous considérons que la solidarité motarde ne se limite pas à faire un signe quand on croise un de nos semblables. Nous soutenir en participant à nos manifestations, c’est bien, mais cela ne suffit pas pour que la FFMC soit pleinement efficace. Alors, que vous soyez en scooter, en roadster ou en trail ; en allemande, en américaine ou en japonaise ; en cyclo, en 125 ou en gros cube ; jeune motard ou pratiquant depuis plusieurs décennies : si vous avez envie de prendre en main votre destin et défendre cet espace de liberté, dans le respect des autres, que représente le 2 roues, adhérez à la FFMC. Plus nombreux, plus forts.
Comment adhérer ?

Pour adhérer à la FFMC ou réadhérer, 3 possibilités :





– En ligne : http://gael.ffmc.fr/

– En nous contactant : ffmc01@ffmc.fr

– Par courrier : téléchargez le bulletin d’adhésion et retournez-le nous accompagné de votre règlement par chèque à l’ordre de la FFMC.

—>  Bulletin 2015(pdf)

Un décret paru au journal officiel samedi 2 novembre offre enfin aux détenteurs du permis A2 un choix plus large de motos. Dorénavant, ces jeunes conducteurs, qui représentent un tiers des nouveaux permis moto, n’auront plus à choisir entre du neuf et du très ancien.
Une ancienne limite trop restrictive

Depuis le 19 janvier 2013, les titulaires du nouveau permis progressif dit permis « A2 » ne pouvaient conduire que des motos bridées à 47,5 chevaux maximum à la condition que la puissance d’origine du véhicule ne fût pas plus de deux fois supérieure à la puissance bridée. Cette limite interdisait aux nouveaux conducteurs l’accès à nombre de motos d’occasion bridées à 34 ch (limite de puissance en vigueur avant la réforme de 2013), obligeant ces derniers à se tourner vers des motos plus récentes, et donc plus chères…

Heureusement pour eux, elle vient d’être supprimée par décret (décret n° 2014-1295 du 31 octobre 2014 portant diverses dispositions en matière de sécurité routière). Une nouvelle puissance max plus cohérente

Grâce à cette modification de texte, les titulaires du permis A2 accèdent à toute une gamme de moyenne cylindrée bridées à 34 chevaux très présente sur le marché de l’occasion à des tarifs abordables.


La suite sur le site de la FFMC Nationale => http://www.ffmc.asso.fr/spip.php?article4105

[Diaporama Kizoa : Ralentisseurs->http://www.kizoa.fr/diaporama/d7613495k5646506o1/ralentisseurs][Diaporama->http://www.kizoa.com]

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Nous contacter

Si vous connaissez une zone à risque, merci de nous donner le plus de renseignements, on fera remonter !

À sa création en 2007, la commission se nommait ERJ2RM et signifiait Éducation Routière de la Jeunesse au 2 Roues Motorisé. Pour plus de lisibilité, elle est devenue Éducation Routière de la Jeunesse, ERJ en 2011.

La Commission permanente « Éducation Routière de la Jeunesse » (ERJ) est née, lors des Assises 2006 de la FFMC, de la volonté commune des structures de son Mouvement (FFMC, FFMC-Loisirs, Assurance Mutuelle des Motards, Association de Formation Des Motards, Éditions de la FFMC) de promouvoir ensemble le développement d’une politique d’éducation à la sécurité routière cohérente.

En effet, depuis la création de la FFMC en 1980, chacune de ses structures a investi le domaine de la sensibilisation et de l’éducation de la jeunesse au travers de ses propres activités. Au sein des antennes FFMC, des militants sont régulièrement intervenus auprès d’adolescents en collège pour leur présenter leur vision du partage de la route et de la prévention du risque routier, en appuyant leurs interventions sur « Rouler n’est pas jouer », fascicule pédagogique conçu et réalisé par les Éditions de la FFMC en collaboration avec l’AFDM.

La Commission ERJ est transversale. Elle permet à des militants issus de chaque structure du Mouvement FFMC, experts en leur domaine de compétence, de travailler ensemble sous la conduite du Bureau National de la FFMC. Le financement de son fonctionnement est assuré par les cotisations versée par chaque structure. Sa première tâche a été l’élaboration d’un projet pédagogique propre à la FFMC et à son Mouvement, basé sur ces expertises respectives et prenant appui sur nos valeurs (solidarité, partage, tolérance, laïcité).

L’ambition d’ERJ est de pouvoir proposer à chaque tranche d’âge scolaire, de la maternelle au lycée, un ensemble d’actions de sensibilisation à la sécurité routière cohérentes et adaptées. Compte tenu de l’expérience acquise depuis 30 ans, il a été décidé que le premier public visé serait constitué par les jeunes scolarisés et/ou en apprentissage. Cette formation a d’ailleurs été soumise à une demande d’agrément formulée auprès du Ministère de L’Education Nationale qui a rendu positif en mai 2010 Arrêté du 10-06-2010 (NOR : MENE1000568A)

Pourquoi eux ? Ce sont les moins formés à la sécurité routière, ils n’ont pas encore de permis de conduire et, très souvent, ils roulent en cyclomoteur… De plus, ils sont malheureusement fortement représentés dans les statistiques d’accidents de la circulation, ce que reprochent les pouvoirs publics à l’ensemble de la communauté des motards.

Pour mieux sensibiliser ces ados, la commission ERJ s’est engagée à former les militants du Mouvement FFMC pour mieux les préparer à intervenir dans les collèges. Cette formation est dispensée au cours de deux sessions de deux jours (en weekend) accessibles à tout adhérent volontaire de la FFMC et de son Mouvement présenté par son antenne locale ou par une structure du Mouvement FFMC. La formation est dispensée par des enseignants à la conduite qui sont d’abord des animateurs de l’Association pour la Formation Des Motards (AFDM). Le stage de formation (animateurs, hébergement, repas) est pris en charge par la FFMC. Une participation symbolique de 50€ (par candidat présenté) est demandée à l’antenne FFMC ou la structure de référence. De son côté, l’Assurance Mutuelle Des Motards, qui joue un rôle moteur au sein de la commission depuis l’origine du projet, prend en charge la formation de ses délégués bénévoles motivés par l’éducation routière de la jeunesse.

Le contenu de cette formation n’a pas pour but de fournir aux futurs intervenants une valise d’outils calibrés. Il s’agit avant tout de comprendre les mécanismes parfois subtils de l’animation de groupes d’adolescents, l’art de leur transmettre un message et celui d’être davantage à l’écoute, pour mieux les responsabiliser. Car la démarche ERJ repose avant tout sur le dialogue et la libre expression : permettre au jeune d’exprimer sa vision personnelle de la route ou de la rue, la confronter à celle des autres et l’amener à s’interroger sur les solutions les plus pertinentes aux problématiques rencontrées.

Une fois formés, les motards passent à la phase active de leur programme en proposant et en réalisant des interventions auprès des adolescents. Il ne s’agit pas de remplacer le professeur mais d’apporter une vision complémentaire à l’enseignement du « vivre ensemble » sur la route et de renforcer, sur la base de leur propre expérience d’usagers du 2-RM, un message de prévention des risques portant autant sur la manière de conduire que sur l’importance de se protéger soi-même tout en développant les principes de bon sens fondés sur le respect d’autrui et la richesse qu’on retire du partage. Il va sans dire que pour capter l’attention de leur jeune public, les motards militants profitent de l’excellente image dont ils jouissent auprès de celui-ci et de l’attrait exercé par leurs machines. Ils s’expriment avec le franc-parler imagé qui leur est propre, en apportant leur vécu, leur expérience, tout en se gardant de donner des leçons et de faire la morale. Ils tiennent un discours franc et sincère généralement bien ressenti par les adolescents.

En 2009, 81 intervenants ERJ ont été formés, répartis sur tout le territoire. Mais les besoins augmentent sans cesse car la réputation des interventions réalisées se répand d’un collège à l’autre, d’un département à l’autre. De nouveaux stages de formation sont programmés au fur et à mesure que les antennes FFMC expriment le besoin de renforcer leurs équipes.

L’ensemble des intervenants constitue désormais un véritable réseau où chacun peut compter sur les autres. Un premier séminaire s’est tenu en avril 2010 afin que les intervenants formés puissent se rencontrer, échanger sur leurs expériences et leurs projets et aider à l’évolution d’ERJ et de ses formations.

Car ERJ est désormais plus qu’une commission permanente et transversale. C’est aussi un ensemble de militants unis dans l’action autour d’un projet qui forme l’un des piliers les plus intangibles du Mouvement FFMC depuis sa naissance : le continuum éducatif pour former les citoyens de demain sur la route.

En 2011, la ffmc dispose de 150 intervenants formés sur le territoire.

Dans le département de l’ain, 5 intervenants sont formés pour intervenir en milieu scolaire: Patrick, Loïc, Thibaud, Mattéo, Pascal et d’autres sont en cours de formation.

L’A.F.D.M. est à l’origine de la mise en place de stages de perfectionnement à la conduite moto dès le début des années 80. De nombreux motards, même prudents, roulent en ayant peur car ayant déjà été victimes d’une situation qu’ils n’ont su analyser et gérer correctement. Certains, très expérimentés, se posent des questions sur leur pratique. D’autres encore débutent et sont conscients de leurs lacunes et des limites d’une formation initiale bien courte et parfois bâclée. Un complément de formation, quel que soit l’âge et l’expérience, est donc toujours le bienvenu.

R’Bike


Concessionaire Kawasaki et Peugeot Scooters 

651 av de lyon

01960 Peronnas

Tel : 04 75 52 10 25


Ouvert du mardi au samedi de 9h à 12h et 14h à 19h (18h le samedi)