« Nous nous sommes aperçus que le conducteur avait un rôle majeur sur l’utilisation des technologies de réduction des émissions », a déclaré Gaëtan Monnier, directeur du centre de résultats transports de l’Ifpen.

L’IFPEN, IFP Énergies Nouvelles (ancien Institut Français du Pétrole), a réalisé une étude visant à qualifier le style de conduite et son rapport avec les émissions polluantes. Cette étude montre que si les cycles de vitesse ne paraissent pas si différents, il y a une grosse différence d’émissions polluantes entre une conduite « agressive » et une conduite « apaisée ». Pour gagner très peu de temps, on pollue beaucoup plus !
Fort de ce premier constat, l’IFPEN est allé plus loin avec 36 conducteurs et 7 véhicules, qui ont effectué un trajet urbain de façon « habituelle ». Les résultats sont hallucinants : « Le style de conduite est un levier majeur pour la réduction des NOx : à même véhicule et même trajet, les émissions de NOx peuvent varier jusqu’à 400 %, et celles de CO2 jusqu’à 20 %. ». Gaetan Monnier, qui a piloté l’étude, affirme : « Quelqu’un qui n’a pas la chance de pouvoir changer de véhicule et de s’équiper des dernières technologies peut donc tout de même être bien positionné en termes d’émissions. »
En résumé, le comportement, facteur humain, compte davantage que l’âge du véhicule, facteur technique. De quoi contredire par les résultats de cette étude le choix fait de la classification Crit’Air, qui ne prend en considération qu’un facteur secondaire !
A la FFMC, devant le résultat de cette étude, nous aurions souligné l’urgence de former les conducteurs à l’éco-conduite, considérant que résoudre les comportements agressifs, qu’on savait déjà accidentogènes et qu’on sait également plus polluants, est la solution logique ! C’est d’ailleurs en ce sens que l’éco-conduite fait partie du programme des formations dispensées dans le Mouvement FFMC !
Bien entendu, technocratie oblige, ce n’est pas la position de l’IFPEN, qui a aussitôt breveté un système d’application connectée à une vignette Crit’Air qui qualifierait « en temps réel » une conduite plus ou moins polluante !
Quand tous ces technocrates vont-ils comprendre qu’un problème humain trouve sa résolution dans un remède humain ?

Source : IFPEN, IFP Énergies Nouvelles (ancien Institut Français du Pétrole)

Voir en ligne : IFPEN via Flotauto

Salut à tous, depuis quelques temps déjà nous devons faire face à une politique axée sur une répression à outrance mais surtout sur la privation d’une de nos libertés fondamentales, le droit de circuler librement avec des véhicules parfaitement homologués et assurés le tout sous couvert d’une pseudo écologie !
En tant qu’usagers de la route, citoyens, contribuables mais surtout motards nous DEVONS nous faire entendre !
Ce printemps vous nous avez accompagné à Bourg en Bresse et à Lons le Saunier , cette fois c’est au tour de Ffmc Rhône d’organiser sa manif régionale, les antennes départementales d’Auvergne Rhône-Alpes ainsi que certaines de Franche Comté se donnent rendez vous à Lyon le 30 SEPTEMBRE .
Cette fois ci il ne sera pas question d’une balade bucolique dans les rues avec un max de bruit, il va falloir frapper fort mais pour cela nous avons besoin de VOUS les motards de l’Ain , se déplacer à 50 ou même 70 ne sert à rien, 1090 personnes « aiment » la page et 131 adhérents …

Rendez vous donc le 30 Septembre sur le parking en face de R’Bike à Peronnas a partir de 11H .

L’antenne du Jura nous rejoindra avant de partir pour les abords de Lyon vers midi .

Nous serons rejoints par l’antenne 74 à Beynost au niveau du rond point d’entrée sur l’autoroute ou se déroulera une oprération de sensibilisation avant de rentrer dans la ville par l’A42.

Vignettes contre « l’obsolescence réglementaire »

Pour celles et ceux qui cherchent comment se procurer les vignettes de Ludovic Grden « Je suis écolo je garde ma vieille auto » ou « je suis écolo je garde ma vieille moto », vous cliquez sur le lien ci dessous,

Parce que œuvrer pour l’écologie et le développement durable c’est aussi savoir préserver son patrimoine sans détruire et reconstruire… Ne vous laissez pas étiqueter, osez sortir du troupeau !

http://tpag.fr/vignettes

BONUS gouvernemental et VOITURE JETABLE ?

Publié le 14 juillet 2010 par frico-racing

Une triple escroquerie !

Inventée par un esprit tordu, (pas tant que ça) il y a quelques années, la prime à la casse a baissé en 2010, mais nombreux sont les constructeurs qui proposent des primes complémentaires, pour nous fourguer leurs bagnoles (dont les prix, à l’inverse des « frigos » et autres « écrans plats », sont maintenus artificiellement hauts pour le plus grand profit des constructeurs ainsi « subventionnés » par nos impôts).prime-a-la-casse1

De mon temps (et il n’y a pas si longtemps), on détruisait les voitures inaptes à rouler, ce qu’on appelait des épaves. Il y avait en effet une certaine logique : « c’est très vieux, ça ne marche plus, c’est pas réparable—> Épave—> destruction, casse, récupération, pièces d’occasion etc »…

La prime à la casse du gouvernement, c’est quoi ?

On donne du fric aux constructeurs pour détruire ta voiture si elle a plus de 10 ans !… « plus de 10 ans » ? si on suit ce raisonnement, à 9 ans et 364 jours, t’as une voiture, et le lendemain, t’as une épave ! Détruire quelque chose qui fonctionne, qui a été validé par le contrôle technique, pourtant de plus en plus draconien, quelque part, ça me gène (moi à qui on a appris la valeur des choses).

Les constructeurs, déjà bien « relancés » par cette prime  » (payée avec nos impôts) en rajoutent une couche : désormais, vous pouvez « épaviser » votre voiture qui roule à merveille dès qu’elle a atteint l’âge de 8 ans !

Alors là, excusez-moi, mais je ne peux que dire « bravo » ! Quelle riche idée que de broyer un véhicule qui marche encore bien !

Gâchis organisé et casse du marché de l’occasion !

Il n’y a pas si longtemps, les garages reprenaient votre ancien véhicule, ils le retapaient et le revendaient en occasion, avec en général une garantie de trois ou six mois.

Avec cette prime à la casse, allez donc chercher une voiture d’occasion !

« Allez un p’tit crédit ! »

On oblige désormais les petits revenus, les chômeurs, les étudiants, les nouveaux permis à acheter du neuf. C’est proprement scandaleux et antisocial.S5-htm-55482-htm-55482-copie-1

Et l’écologie dans tout ça ?

Cette destruction généralisé génère des tonnes de déchets dont on aurait pu se passer, car ces véhicules roulaient encore sans danger ni pollution excessive (contrôle technique et CO2 tous les deux ans).

La prime à la casse est donc une triple escroquerie : -1)L’argument écologique est bidon et démontré ci dessus.

 2)Elle aurait sauvé, parait-il, deux ou trois mille emplois dans l’industrie automobile, elle en a détruit en réalité quinze mille dans les petits garages de réparation.

En fait la prime à la casse a surtout profité aux usines délocalisées des constructeurs français et aux constructeurs étrangers eux-mêmes.

Parmi les huit voitures dont les ventes ont le plus progressé en France au premier semestre, on en trouve six assemblées hors de l’hexagone.

Ainsi, la Renault Twingo, dont les ventes ont bondi de 65%, sort de l’usine Renault de Novo Mesto, en Slovénie.

Les Citroën C1 et Peugeot 107, dont les ventes ont, respectivement, progressé de 55 et 44% sont produites en République tchèque.

 3)D’un coté, ils paupérisent la population en bloquant les salaires, de l’autre, avec cette prime, (en réalité payée nos impôts), ils « arrosent » les constructeurs, pour maintenir leur Taux de profits.

La prime à la casse une bonne affaire pour qui ?

La prime à la casse va coûter à l’Etat 390 millions d’euros au lieu des 220 millions prévus. De quoi agrandir le gouffre de « la fameuse dette publique »…Devinez qui au final va payer ?

On a pas encore tout vu !

Renault et d’autres constructeurs…Général Motors en particulier planchent sur « la voiture jetable » SI SI !

Pour GM, c’est une « voiture » à 1100$

L’Indien TATA annonce une voiture à 2200$

Jusqu’à l’aberration

De qualité médiocre on s’en doute, aucun entretien, tu la balanceras à la ferraille à fin de la première vidange ou si tu as les freins ou pneus à changer…pour caricaturer, « Lorsque le cendrier sera plein », l’exemple ci dessous témoigne de ce qui nous attend !

Trouvé sur le net (un internaute)

« En recherchant des pièces moteur d’occasion pour ma Mégane 1.5dci 105 de 2006 sur le net, je tombe sur des internautes qui vendent leur Mégane en pièces uniquement parce que le moteur est HS. Parfois des modèle 2006 voire 2007!!!
Chercher vous verrez que je n’invente pas.
Pourquoi ne pas remplacer le moteur plutôt que de les vendre en pièces?
Supposons mon turbo lâche et provoque un emballement moteur jusqu’à destruction (en général un bielle finit par passer au travers du carter). Bien sur hors garantie !!!
Je cherche un moteur d’occasion sur le Net et dans les casses : néant, voiture trop récentes ou moteur HS.
Je m’informe des prix chez Renault et là tout devient plus clair :
Il n’existe ni moteur ni turbo en échange standard pour ce type de moteur k9k732.
Moteur neuf: 4500€ HT
Turbo neuf : 1400 HT
Le tout posé vous revient au bas mot à 8000/9000€ TTC
C’est plus cher que le prix de la voiture!!!
Résultat j’achète une Mégane équivalente d’occasion (6000/7000€) et je mets en vente la première pour pièces. Vu qu’il y en a beaucoup à vendre pour pièces (pour les mêmes raisons que la mienne), les pièces se vendent très mal donc très peu cher; on trouve des phares à 30€ et des pare-chocs avant à 50€!!!
En sachant qu’il n’y a que cela qui se vend, votre voiture ne vaut plus rien…vous la jetez!
Une voiture (Une Renault) de 2006 qui n’a pas encore 3 ans!!!
Elle est belle la société de consommation… »

Et dire qu’ils nous culpabilisent (la pub et les « infaux »)… Nous ferions trop de déchets ?

frico

Un article copié sur le site motoservice .com qui illustre la façon dont une maire utilise à son profit électoraliste , les problèmes de circulation et de pollution.

Ne croyez surtout pas , chers amis de notre beau département, que nous ne sommes pas concernés.

Un jour ou l’autre , si on laisse faire à Paris , un maire ou un élu de notre département nous sortira une connerie de ce genre. !!!!!! bonne lecture

Circulation à Paris : Les chiffres inquiétants de la suppression des voies sur berge
La mobilité à Paris devient un enfer

Il faut toujours se méfier des chiffres avancés par les politiques, un milieu où certes le silence est d’or mais où le trafic des statistiques peut devenir un pont d’or. C’est donc avec cette retenue qu’il faut lire les chiffres ci-dessous, issu d’un rapport du Comité régional de suivi et d’évaluation des impacts de la piétonnisation des voies sur berge. Comité mis en place par la région Ile-de-France, présidée par Valérie Pécresse (LR)…

On sait que la suppression des voies sur berges à Paris est une c… sans nom, une imbécilité idéologique sans aucune réflexion, sans aucune consultation ni des usagers ni des riverains, mesure faite à l’envers d’ailleurs, ce qu’il eût fallu c’est au contraire désengager le haut des berges et laisser rouler les autos en bas, où ça ne gêne pas grand monde.

Cette voie est importante pour les Parisiens, pour aller d’ouest en est on dispose de cet axe-là, ainsi que du Boulevard St-Germain, qui du coup aujourd’hui est congestionné, et au nord, l’axe Courcelles/Batignolles/Clichy/La Chapelle, où l’on ne roule plus depuis trente ans, même en scooter ça ne passe pas. 

Cet axe le long de la Seine est aussi très important pour les gens qui viennent de banlieue et y rentrent, il est donc très fréquenté. Donc on cherche d’autres voies de sortie…

Bilan, les périphériques, déjà surchargés depuis qu’ils sont construits, deviennent un enfer. La mobilité à Paris est devenue un enfer.
Etudes d’impact

Il ya donc bagarre entre la région, qui représente les banlieusards, qui est dirigée par Valérie Pécresse, et la ville, dont Anne Hidalgo est devenue l’égérie verte. La Mairie de Paris a sorti à l’époque de la fermeture des berges une étude d’impact d’où il ressortait que les conséquences seraient minimes sur la circulation.

On a juste oublié de calculer les conséquences sur les autres axes cités en début de reportage, mais enfin, officiellement, ça ne gênait personne. C’est évidemment d’une malhonnêteté sans nom, mais habituel quand l’enjeu est le pouvoir et non le bien des gens qui vous élisent.

Valérie Pécresse, que je ne connais pas, dont je ne suis ni le communicant ni le flagorneur ni le déglingueur, j’utilise seulement ses infos, vient de publier quelques chiffres effroyables. Je ne les prends pas comme du tout cuit, dans le domaine politique la parité femmes/hommes est absolue, elles mentent autant que ces messieurs.

Mais c’est un peu comme les chiffres des manifestants, on divise par deux le nombre annoncé par les organisateurs et on multiplie par deux celui de la police et on a une idée de ce qui s’est vraiment passé.

On applique le même principe ici, et même divisés par deux, les chiffres annoncés par la région font carrément peur. Les statistiques sont quand même validées par le médecin chef du SAMU de Paris, qui doit en effet savoir comment évaluer une situation de circulation. Airparif, chargé de la surveillance de la pollution dans la capitale, est aussi dans le coup.
Les chiffres effroyables, même diminués de moitié…

C’est simple, l’accroissement des temps de parcours entre la Concorde et le port de l’Arsenal (à la hauteur de la gare d’Austerlitz) est de 39 % le matin, 73 % le soir ! La mesure du bruit sur les berges hautes, c’est 60 à 125 % de plus, ce qui montre que la mairie de Paris n’em… pas que les banlieusards mais aussi les riverains de cet axe.

Les émissions de polluants, parties fines et NOx ont augmenté de 50 %…

Il est évident qu’il faut rouvrir la partie sur berges en laissant très peu de sorties vers le haut, ce qui protègera effectivement les riverains… et les touristes (le Châtelet, Notre-Dame, la Conciergerie, la Sainte-Chapelle, l’île Saint-Louis, Le Louvre sont voisins, rien que ça…).

Donc, même si l’on diminue ces chiffres en fonction du principe édicté ci-dessus et du fait que le parti de l’une veut évidemment récupérer la ville de l’autre, on reste sur des valeurs effroyables !

Les propositions de la région n’ont aucune valeur puisque les berges sont du ressort exclusif de la mairie. Et d’ailleurs je n’en ferai pas le détail, mais bien sûr elles reposent sur une reprise du trafic sur les berges du bas, avec sorties peu nombreuses vers le haut. Le reste est un dosage savant voulant surtout satisfaire un électorat vert qui n’existe en fait nulle part (en France en tous cas), tout le monde est conscient de la nécessité d’améliorer l’environnement, de là à en faire un dogme limite stalinien, niet…

Pendant ce temps, la mairie de Paris fait plein de travaux sur l’ex voie sur berges pour qu’un éventuel réaménagement coûte une blinde.

Bref, les Parisiens et les habitants de la banlieue sont pris en otages dans une lutte qui ne concerne que l’envie de pouvoir et non le bien être des gens. Pour le reste je ne suis pas naïf, je sais que les engagements, la phrase est de Chirac, n’engagent que ceux qui y croient. Mais il est clair que la réouverture, peut-être partielle, des voies sur berge est une priorité absolue. Si on veut absolument bloquer la voie le dimanche pour la laisser aux piétons et aux cyclistes, pourquoi pas…. Un monde serein est fait de négociation, pas de coups de massue.
Et moi, et moi et moi…

J’ajoute à tout cela ma contribution et mon témoignage perso de motard parisien (depuis un milliard d’années, le problème de la circulation ne date pas d’hier)… Auparavant, pour que je n’arrive plus à passer aux endroits qui fâchent, il fallait qu’il y ait au moins une grève simultanée de métro, de RER et de bus.

Aujourd’hui, sauf à prendre les contre voies des autobus qui roulent en face, ce qui est illégal et brutal (bus contre tarmo = fanny !) Saint Germain ne passe plus, mais vraiment plus. Les quais finalement un peu mieux car les gens connaissent le piège mais durant les heures de pointe c’est bloqué sur toute la longueur de la traversée de Paris. L’axe nord est bouché depuis une éternité, c’est donc pire que pire.

Reste le périph, où les autos n’ont pas encore réussi (quoique…) à rouler sur cinq files, et où l’on peut donc se faufiler un peu en deux roues, en respirant la mort d’ailleurs, mais ce qui est dramatique, ce sont les entrées de périph, on ne passe que par les trottoirs, ce qui est totalement illégal, j’ai même vu des encombrements de motos sur les trottoirs !
Devenir intelligent c’est possible ?

Bref, ce truc est débile, et en plus, la mairie dit clairement que sa priorité n’est pas la fluidité du trafic. Or les ayatollahs verts doivent savoir qu’un trafic bloqué est terriblement polluant. Sont-ils élus pour faire du mal aux gens ou du bien ?

En TV, il y a l’audimat, ça ne dit pas si l’émission est de qualité mais qu’elle a fait plaisir. Sur le net, le nombre de clics ne signifie pas que l’on a réécrit le cinquième concerto de Beethoven ou redessiné la Sixtine, mais on sait que ce qui est écrit intéresse les gens. Il devrait exister une sorte d’audimat pour nos édiles, là il y a vraiment des économies à faire, puisque c’est paraît il à la mode…

Bon vite, on rouvre les berges ! Quant à nos lecteurs de province, ils n’en ont rien à battre, ils ont raison d’ailleurs. Cela dit si un jour vous venez dans la capitale, si votre taxi enfile les hauts de berge, ou choisit un autre itinéraire sur le même axe, vérifiez que vous avez beaucoup d’argent sur vous…

6000 emplacements aménagés spécialement pour les radars chantiers

Dans les prochaines semaines, vous allez commencer à apercevoir de nombreux aménagements en bord de route, retenez bien ces emplacements car il y a de fortes chances qu’ils soient aménagés spécifiquement pour pourvoir accueillir un radar chantier ou plutôt, selon l’appellation officielle, un radar autonome.

En effet, le ministère de l’Intérieur vient de signer un marché public pour l’aménagement d’environ 6000 emplacements pour la pose de radars autonomes en France métropolitaine au cours des quatre prochaines années.

L’objectif est de pouvoir déployer les radars autonomes aléatoirement sur 12 000 emplacements notamment dans les zones de contrôles leurres par panneau. Or ce n’est pas le cas actuellement car pour pouvoir être installé en sécurité, le radar autonome doit être posé en retrait de la route à une distance de plusieurs mètres calculée en fonction de la vitesse autorisée. Cela nécessite donc la présence d’un large bas-côté ou d’une zone de stationnement

Radars embarqués invisibles : bientôt la privatisation !


Magnifique démonstration !!! Exemples simples :

Pourquoi y a-t-il 1 flic (de toute sorte) pour 270 citoyens dans le domaine public, et 32 FOIS MOINS (1 pour 8500 salariés environ) dans le monde du travail ???
Pourquoi la délinquance financière, qui coûte pourtant a elle seule PLUS QUE TOUTES LES AUTRES, n’est pas poursuivie avec la même assiduité que les autres ???
Pourquoi les sanctions prévues en matière de circulation routière sont-elles systématiquement appliquées voire automatisées, alors que dans d’autres domaines qui troublent largement plus l’ordre public elles sont carrément ignorées ???
.
Dans le domaine de la circulation routière, on est toujours dans la démarche « quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage ». Il est facile de déployer toutes les névroses obsessionnelles répressives émanant des différents décideurs et membres d’ organismes concernés. Et c’est ce qui se passe. C’est avant tout le défouloir absolu des malades du contrôle absolu…

un membre du forum motomag.com

Faire chier le peuple avec tout et n’importe quoi pour le dominer et faire passer des horreurs…là est l’objectif de ces restrictions, obligations et interdits qui pullulent

La soit disant lutte contre « l’insécurité routière » et la « délinquance routière » au même titre que « l’écologie punitive » et « l’obsolescence réglementaire » (interdiction des véhicules anciens), ou le port des gants (moto)…, joue le même rôle… »Utiliser le contrôle de la « santé » pour prendre le contrôle des corps ! »

« Emmerder chaque jour le peuple avec tout et n’importe quoi, pour qu’il perde de vue les fondamentaux qui font son existence »…Et la société qu’ils nous préparent !

L’individu, contre le collectif


Le 11 mai à Paris, près de cinq mois après avoir annoncé 26 mesures pour la sécurité routière, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, s’est à nouveau exprimé sur ce sujet qu’il place au plus haut de ses préoccupations : « à mes yeux, la sécurité routière constitue une priorité du même ordre que le combat contre le terrorisme, la lutte contre la délinquance, ou encore les secours apportés aux populations frappées par des catastrophes »…Rien que ça !

Ils enfoncent le clou avec un test 80 kmh sur certaines routes (jusqu’en 2017 ??).

Voici les trois tronçons sur lesquels cette limitation sera expérimentée : la Route Nationale 7, dans la Drôme (sur 18 km), la RN 151, dans la Nièvre (sur 17 km) et dans l’Yonne (sur 32 km) la RN 57, en Haute-Saône (sur 14 km).

Cela représente un total de 81 km de route concernée ! « Un dispositif d’évaluation permettra de suivre, sur ces tronçons, l’évolution du comportement des conducteurs. Nous maintiendrons la fréquence actuelle des contrôles routiers. Ni plus, ni moins »…

Alors que la vitesse sur route ne joue qu’un rôle limité dans l’insécurité routière, que pour l’essentiel, les progrès obtenus en matière de baisse de la mortalité sont dû à l’amélioration :
•De la sécurité passive des véhicules (ceinture, freinage, ABS, airbag, etc…)
•Du réseau routier (ronds points notamment, etc…)

Alors pourquoi cette obsession de la vitesse ?


Tout simplement parce que ça rapporte beaucoup et facilement, mais aussi parce qu’elle pénalise les comportements individuels, en isolant et en culpabilisant « l’individu ». C’est en cela que la politique de répression routière (sur la vitesse en particulier, mais pas seulement (voir le dernier texte plus bas) est plus que suspecte et contestable. Celle-ci a en réalité d’autres finalités, au même titre que « l’écologie punitive » et « l’obsolescence réglementaire » (interdiction des véhicules anciens) jouant le même rôle !

Si le gouvernement voulait vraiment notre bien, il prendrait par exemple également les décisions suivantes :

 Nationalisation des autoroutes et gratuité puisque ce sont les routes les plus sûres

 Interdiction des OGM

 Limitation des pesticides dans l’agriculture

 Il favoriserait le ferroutage (au lieu de fermer des lignes)

 Contrôles renforcés pour limiter les accidents du travail

 Ils ne réduirait pas le budget de la santé, il ne la marchandiserait pas…etc etc

Insidieux et vicieux, la peur qui paralyse !

Les usagers de la route sont en permanence « sous pression » …Les yeux rivés sur le compteur et le bord de la route, guettant le képi ou le radar, redoutant l’amende, le retrait de points, l’annulation du permis. Le système est bien rodé, personne ou presque n’y échappe ! (sauf ceux qui ont un chauffeur), cette répression permet de culpabiliser et fragiliser la population ordinaire non délinquante. Cette menace permanente restreint ses capacités de prise de conscience, de mobilisation collective et d’action sur des sujets plus graves (comme ses conditions de vie, par exemple)…Cette répression conduit en fait au repli sur soi et à la passivité.

La criminalisation des infractions routières


Le vocabulaire employé est soigneusement choisi. Les usagers en excès de vitesse sont présentés par les pouvoirs publics les « associations » (Périchon) et par les médias aux ordres comme des « délinquants »…Des expressions comme : « délinquance routière », « mise en danger de la vie d’autrui », « violence routière » sont jetés en pâture au public, le moindre fait divers en la matière fait la une des journaux et JT.

La pression exercée par « la peur du flic », les amendes, les retraits de points et les annulations de permis, participe de la guerre psychologique que mène l’oligarchie pour conserver le pouvoir et continuer à mener les politiques conformes à ses intérêts. Qu’on ne s’y trompe pas, la répression routière, par ses effets déstabilisants, et anesthésiants, joue un rôle non négligeable dans l’apathie et la résignation ambiantes.

Cherchez l’erreur…

Alors que la mortalité routière s’élève aux alentour de 6%, pour 60% par maladies cardio-vasculaire et cancers, vous noterez qu’on privilégie plus les radars que les scanners ou IRM…

La loi n’est pas la justice !


Dans le même temps, la loi (la justice ?) n’est pas la même pour tous… « Le code civil » pour les nantis, « le code pénal » pour les autres. On fait « chier » sur la route le citoyen lambda et la « délinquance en col blanc » – (grands patrons, ex présidents, députés en vue, etc.) – est épargnée…

Tous surveillés et délinquants potentiels !


C’est en cela que la politique dite « de sécurité routière » est instrumentalisée et détournée de son objet et utilisée comme une diversion paralysante. De même qu’un enfant battu devient craintif et aboulique, les usagers de la route, (hormis les motards ?) loin de protester, se font une raison et courbent l’échine…

La répression routière fut et reste le banc d’essai d’un système répressif qui ignore de plus en plus les principes fondamentaux du droit – droits de la défense et non rétroactivité des lois en particulier… La violation de ce dernier principe ayant été même sous VICHY (!) ce qui fit quelque peu hésiter certains magistrats à soutenir la création des « Sections Spéciales » de sinistre mémoire…

De même il est bon de constater que la déréglementation se fait continuellement au profit des personnes morales (surtout celles du CAC 40) tandis que les libertés des individus sont de plus en plus restreintes et que leur surveillance se fait de plus en plus pesante…

Face à l’appareil répressif et la peur, fragilisé culpabilisé et démuni, chaque citoyen est conduit (individuellement et collectivement) à accepter passivement la multitude d’autres attaques dont nous sommes aussi l’objet – (surveillance, dégradation des conditions de vie et de travail, précarité, reculs sociaux permanents, casse du service public, « Etat d’urgence » Europe, etc…) – sans se révolter ou remettre en cause les choix et décisions prises…Sans remettre en cause L’ORDRE ETABLI !!

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MOBILITÉ – Le gouvernement va accorder une subvention à ceux qui veulent effectuer leurs déplacements en vélo électrique. Le coup de pouce, d’ores et déjà effectif, sera valable jusqu’à fin janvier 2018.

L’aide concerne toute personne qui fait l’acquisition ou qui loue un vélo à assistance électrique (VAE).

Similaire au bonus écologique, la subvention s’élève à 200 euros, et ce quel que soit le montant d’achat du vélo. Le décret d’application de cette mesure a été publié au Journal officiel samedi 18 février.

Pour en bénéficier, il suffira de présenter la facture d’achat ou de location à l’Agence de services et de paiement qui organisera le remboursement, comme l’explique Le Figaro. Un site Internet sur lequel il sera possible de faire sa déclaration devrait être actif dans quelques semaines , selon le ministère de l’Environnement.

Ségolène Royal avait annoncé la mise en place de la mesure dans la semaine, via un message sur Twitter. Ce bonus ne pourra être perçu qu’une fois par la même personne, quand bien même elle achèterait plusieurs vélos.

 DES TARIFS ÉLEVÉS –

Dans les faits, les vélos électriques ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Leur prix peur varier de quelques centaines à plusieurs milliers d’euros. En France, le prix moyen d’un appareil est de 1.060 euros, selon une étude du bureau d’études 6T, repérée par Le Figaro.

En 2015, 100.000 vélos à assistance électrique ont été vendus dans l’Hexagone. Jusqu’à présent, seules les mairies ou les collectivités offraient un coup de pouce aux personnes qui souhaitaient changer leurs habitudes de transport et s’orienter vers des modes de déplacement plus écologiques.

Au total, une quarantaine de villes proposent actuellement une aide à l’achat, selon Le Figaro. La Ville de Paris subventionne ainsi 33% du prix d’achat d’un vélo électrique, dans la limite de 400 euros.

Et …pour les vélos non électriques…( vous savez , ceux qui ne consomme pas d’électricité nucléaire quand on les recharges ) …il y a prime ?