Cette année comme tout les ans désormais , votre FFMC préférée organise deux collectes de sang à l’hopital Fleyriat .
La première de l’année se déroulera le 13 MAI de 8H à 12H , A noter d’urgence sur vos agendas !
😉
Cette année comme tout les ans désormais , votre FFMC préférée organise deux collectes de sang à l’hopital Fleyriat .
La première de l’année se déroulera le 13 MAI de 8H à 12H , A noter d’urgence sur vos agendas !
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Il aura fallu la publication d’une enquête de Moto magazine (Editions de la FFMC) le 29 mars 2017 sur la privatisation annoncée des radars embarqués pour que les candidats soient invités à s’exprimer sur leur vision de la Sécurité routière. Avant la publication de cette enquête et les interviews des candidats, la Sécurité routière, pourtant érigée en « grande cause nationale » par nos dirigeants politiques depuis des années ne semblait pas tellement préoccuper les prétendants à la fonction suprême.
Avant ces interviews, la FFMC a étudié les programmes des onze candidats accessibles dans les médias et sur Internet… en activant une recherche à partir des termes « sécurité routière », « radars », « deux-roues motorisés », « mobilités », c’est le grand vide ! Rien ou presque, du moins pour la moitié des candidats annoncés à plus de 10% d’intentions de vote par les instituts de sondage. C’est à se demander si oui ou non c’est une « priorité nationale » comme ils le proclament si facilement une fois élus. D’autant que ces questions de sécurité et de répression routière, c’est quand même un sujet récurrent dans tous les foyers et entreprises du pays, sans parler des usagers de la route qui ne peuvent plus échapper aux boîtes grises qui jalonnent les bas-côtés ou qui se demandent quelle énième restriction de circulation va leur tomber dessus dès qu’ils s’installent au volant ou au guidon… Bref, tout le monde y pense, tout le monde a un avis, sauf nos prétendants à l’Élysée, si on en s’en tient à leurs professions de foi.
En revanche, si un média leur tend le micro, là, en vieux politiciens rompus à l’exercice, ils se réveillent et avancent leurs analyses et leurs propositions. Oh, rien de bien révolutionnaire toutefois, ils reprennent les tendances générales en adaptant leurs arguments au courant politique qu’ils incarnent. Leurs réponses sont à lire sur le Site de Motomag
Allez, on va regarder ça de plus près, dans l’ordre alphabétique…
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière, ne fait aucunement référence à ces questions dans son projet présidentiel. Interrogée par Moto-magazine, elle dénonce clairement la privatisation du contrôle des vitesses et prône une sécurité routière relevant du service public. Elle regrette que pour les dirigeants en place, il y a loin des paroles aux actes et elle déplore que l’état des routes soit traité avec les « moyens du bord » tandis que les sociétés privées des autoroutes engrangent des profits sur le dos des usagers. Pour cette prof’ d’économie à Aubervilliers qui utilise sa voiture comme « monsieur et madame Tout le monde », la « conduite dangereuse », c’est d’abord celle du capitalisme. Sur la question de la mobilité des gens, Mme Arthaud défend le développement des transports en commun.
François Asselineau, ancien haut fonctionnaire n’a pas répondu à l’enquête de Moto-Magazine. Dans son projet présidentiel, il n’y a rien à propos des questions de sécurité routière… tout juste dénonce-t-il les embouteillages tout en proposant de favoriser les transports en commun et les « modes doux (fluvial et rail) ».
Nicolas Dupont-Aignan se dit scandalisé par la privatisation des radars, tout comme il dénonce la privatisation des autoroutes. Il parle de « racket par l’Etat à l’encontre des automobilistes et des motards ». En répondant à Moto-Magazine, il reprend en bloc la plupart des motifs de fâcherie des usagers, promet un allégement du dispositif « permis à points » et il propose de faire passer le permis de conduire aux jeunes dans le cadre d’un service civique de trois mois.
Jacques Cheminade s’oppose également à la privatisation des radars et déplore une vision « punitive » de la sécurité routière, préférant faire appel à la « responsabilisation des usagers », par la prévention et une meilleure formation en auto-école. Sur son site Internet, il n’y a rien sur le thème de la sécurité routière et de la mobilité des gens, sauf quand il dit qu’il faut « cesser de faire la guerre aux automobilistes » avec des « radars qui leur font les poches ».
Dans le projet présidentiel qu’il a publié, les questions de sécurité routière n’apparaissent pourtant pas, tout juste annonce-t-il le retour de la gratuité des autoroutes déjà rentabilisées et il veut « remplacer les 10 millions de véhicules les plus polluants » sans d’autres précisions.
François Fillon… alors lui, on le connaît bien, il a été le 1er ministre de Nicolas Sarkozy de 2007 à 2012. Durant cinq ans, l’actuel candidat du parti Les républicains a porté une politique de sécurité routière qui a généré la multiplication des radars, la privatisation des autoroutes, la criminalisation des usagers et en ce qui nous concerne, on se souvient de son Conseil Interministériel de la Sécurité routière entré dans les annales en mai 2011, avec son florilège de mesures répressives, notamment l’obligation pour les motards de porter en permanence un gilet de haute-visibilité (mesure abrogée après l’élection du Président F. Hollande). Au rayon habillement, pas besoin de lui tailler un costard, il en a un tout prêt ! D’ailleurs, il n’a pas voulu répondre aux demandes de Moto-Magazine… peut-être qu’il est fâché avec les journalistes ? Quant à son programme accessible en ligne, aucune recherche sur les mots relatifs au domaine de la sécurité routière n’a donné quoique ce soit de significatif, tout juste le mot « routes » apparaît-il dans une phrase où M. Fillon assure les avoir sillonné.
Chez Benoît Hamon, sorti en tête de la primaire de « La belle alliance populaire », la sécurité routière n’est pas non plus un sujet très actif dans son programme présidentiel : les termes récurrents ne font sonner aucune occurrence, sauf celui des « mobilités » où il dit qu’il veut développer « des alternatives à la voiture individuelle, confier la gestion d’un système d’écotaxe aux régions et favoriser le développement ferroviaire ». Toutefois, interrogé par Moto-Magazine, il a dû se faire plus précis sur la question de la sécurité routière et ses réponses semblent venir tout droit de chez l’actuel délégué interministériel à la Sécurité routière, ce qui n’a rien d’étonnant puisque c’est le boulot d’Emmanuel Barbe en poste depuis deux ans. Sans surprise, Monsieur Hamon nous ressert donc les éléments de langage habituels, sur fond de sévérité compréhensive, mais fermeté quand même, en défendant bien sûr le système des radars automatiques et pourquoi pas privés si ça peut soulager le travail des Forces de l’ordre.
Jean Lassalle n’a pas répondu aux questions de Moto-Magazine. C’est assez cohérent puisque sur son site Internet, il n’y a rien de relatif aux questions de sécurité routière.
A chaque fois que la question est posée à Marine Le Pen, la candidate d’extrême-droite ne se gêne pas pour dire tout le mal qu’elle pense des radars et de la politique des gouvernements passés et actuel sur le domaine de la sécurité routière qu’elle estime relever du régalien. Pourtant, sur son site Internet, son programme ne dit rien sur ces enjeux. Seule la question des routes et autoroutes nous renseigne sur son vœu de réinvestir dans les premières et de renationaliser les secondes. Au micro de Moto-Magazine, elle reprend ses arguments contre la « chasse aux automobilistes », elle dénonce la privatisation des radars et elle délivre un discours semblable à ceux de messieurs Dupont-Aignan et Cheminade. Comme pour d’autres questions de société, Mme Le Pen touille sa soupe avec le mécontentement des gens et concernant la sécurité routière, le gisement de mécontentement est quasiment inépuisable.
Fidèle à sa posture de bienveillance sur-jouée, Emmanuel Macron souffle le tiède plutôt que le chaud et froid. Le candidat du mouvement « En marche » qui ne se positionne ni vraiment à gauche ni trop à droite répond à Moto-Magazine avec des arguments qui semblent, tout comme chez monsieur Hamon, tout droit sortis des bureaux de la Direction de la Sécurité routière. Ainsi, il approuve la privatisation de radars, mais en mode « expérimental » et il finit son interview par la vulnérabilité des usagers de deux-roues motorisés en reprenant les arguments habituels de la propagande gouvernementale qui répète inlassablement que les motards représentent 2% du trafic pour 22% des tués. Rien de neuf donc, pour ce chantre de la modernité ! Pour notre part, on se souvient de monsieur Macron quand il était ministre de l’économie du président Hollande et du gouvernement Valls qui n’ont rien fait pour limiter la rapacité des sociétés d’autoroutes et qui ont produit cette fameuse « Loi Macron » qui a dérégulé (entre autres) l’enseignement à la conduite et lâché des lignes d’autocar à bas coût sur nos routes. Curieusement, ces « succès » de notre golden-boy ne sont pas mentionnés dans son projet présidentiel par ailleurs totalement vide sur les questions de sécurité routière.
Jean-Luc Mélenchon se proclame candidat de « la France insoumise ». Ça alors, il y a enfin d’autres insoumis que les Motards en colère dans ce pays ? Et la sécurité routière, les radars, les deux-roues motorisés ? Rien ne se rapporte à ça dans son projet baptisé « l’Avenir en commun » cogéré avec ses camarades. Par contre, il présente le programme le plus détaillé sur la question des « mobilités » : il veut d’ailleurs « repenser les mobilités individuelles », supprimer le diesel, développer le co-voiturage, les transports en commun (qu’il envisage même gratuits), le ferroutage, il veut électrifier les « flottes captives », taxer le carbone et favoriser les circuits courts… bref, ses propositions reprennent celles des écologistes, reste à savoir si ça va se faire au détriment des grosses sociétés ou des usagers. Si ça se passe comme à Paris, on connaît déjà la réponse : ce sont les usagers qui trinquent ! Concernant les autoroutes vendues au secteur privé, monsieur Mélenchon veut les renationaliser. OK, mais la sécurité routière, dans tout ça ? Interrogé par Moto-Magazine, il s’oppose farouchement à sa privatisation, domaine qu’il estime comme devant relever de la responsabilité de l’Etat et non de sociétés privées. Ensuite, il détaille assez précisément sa vision de la sécurité routière qu’il veut basée sur l’éducation et la prévention dès l’école, autant que dans le cadre d’un service citoyen où l’accès au droit de conduire serait gratuit. Quant à la vitesse (qui n’est pas une valeur positive selon lui), il la combat au point d’envisager le bridage des véhicules pour qu’ils ne puissent plus dépasser 130 km/h, tant pour des raisons de réduction des risques routiers que pour prétendre limiter les émissions polluantes. Sur les deux-roues motorisés en général et la moto en particulier, notamment leur accès en ville, il ne dit rien… on peut toutefois supposer qu’il en reconnaît l’utilité dans les déplacements en milieu urbain puisque selon nos propres sources, nous savons que Monsieur Mélenchon qui n’a pas le permis de conduire est un fervent abonné des moto-taxis. Faudra quand même lui rappeler que même si une Gold-Wing ne roule pas au gasoil, son six-cylindres est largement capable de propulser l’eurodéputé à plus de 130 à l’heure !
Philippe Poutou est le candidat du Nouveau Parti anticapitaliste. Ancré bien à gauche, cet ouvrier et syndicaliste salarié dans une usine d’automobiles n’a pas développé de thématique relative à la sécurité routière dans son programme politique. En parcourant son projet en ligne, il n’y a rien sur ces questions, si ce n’est qu’il se proclame pour un « droit à la mobilité pour chacun », qu’il se prononce pour la réduction de la place de la voiture et pour le développement des déplacements à vélo et à pieds. Conformément à ses engagements politiques, il est contre le déploiement de nouvelles infrastructures de transports comme les autoroutes et les aéroports, citant le projet controversé de Notre-Dame-des-Landes. Interrogé par Moto-Magazine, il dit « qu’évidemment, nous sommes opposés à la privatisation des radars qui va dans le sens de l’ultra-libéralisme », tout comme il dénonce toutes les privatisations qui amènent toujours les usagers à payer l’addition au final. Sur la sécurité routière en particulier, tout en s’opposant à la répression, il se range à l’idée que les réglementations et les progrès techniques ont amené à la réduction des tués sur la route. Quant à la formation, il propose que le permis de conduire soit porté par le système scolaire en apprentissage continu et validé à la fin de la terminale. On ne sait pas quels sont ses rapports avec la moto et les motards, mais d’après sa déclaration de patrimoine, on sait qu’il possède une voiture, ce qui laisse à penser qu’il s’en sert pour se déplacer, comme tout le monde.
L’analyse de la FFMC
Clairement, la sécurité routière et le quotidien des usagers de la route n’est pas une préoccupation majeure des candidats… ce serait d’ailleurs plutôt rassurant si l’on pense qu’un président de la République a quand même d’autres chats à fouetter en regard des troubles planétaires et des crises auxquels les chefs d’Etat sont confrontés… comment parler de liberté de rouler en évoquant les radars quand des gens meurent de misère dans et hors de nos frontières, quand des murs s’élèvent pour parquer des populations entières et quand le fracas des armes couvre le bruit de la disparition définitive de tant d’espèces vivantes sur notre planète ? Toutefois, la liberté de se déplacer avec ou sans véhicule doit rester fondamentale et cette liberté est inscrite dans la devise républicaine, au côté des mots fraternité et égalité. Quant aux restrictions de circulation prévues pour les vieux véhicules, bizarrement, personne n’en parle !
A travers ces questions de sécurité routière, quelle est réellement l’appréhension de ces notions pour ceux qui prétendent à la fonction suprême ? On le voit, leurs réponses sont d’abord le résultat de leurs propres usages, de leur sens du Bien commun et de celui des réalités auxquelles sont confrontés tout-un-chacun. Pour les politiciens professionnels habitués aux voitures et aux privilèges de leurs fonctions (les cinq candidats crédités de +10% d’intentions de vote), les arguments développés ne sont finalement pas très… développés. En tout cas moins que leurs promesses.
A la FFMC, nous voyons que, quelle que soit la couleur (affichée) des gouvernements qui se succèdent, le prétexte de sécurité routière sert trop souvent de laboratoire aux idées les plus pourries en matière de restrictions des libertés publiques. Et le système très arbitraire du « contrôle-sanction-automatisé » bientôt délégué au privé va encore dans ce sens-là.
PV transfrontaliers, la traque s’élargit à la Hongrie et la Slovaquie
Deux nouveaux pays viennent de signer avec la France un accord d’échanges transfrontaliers d’informations sur les infractions routières. Il s’agit de la Hongrie et de la Slovaquie.
Ces accords permettent de poursuivre les propriétaires des véhicules qui commettent des infractions routières sur le territoire français. Réciproquement, les ressortissants français commettant des infractions routières sur les routes hongroises et slovaques pourront être poursuivis par les autorités de ces deux pays.
Au cours des 12 derniers mois, les véhicules immatriculés en Hongrie ont déclenché 39 394 fois les radars automatiques en France. Pour les véhicules slovaques, le total est de 26 443 sur la même période.
35% des infractions Hongroises et 46% des infractions slovaques sont des excès de vitesse commis par des poids lourds et constatés par des radars discriminants.
Désormais, ce sont donc 12 pays qui sont concernés par ces accords transfrontaliers: Hongrie, Slovaquie, Belgique, Espagne, Allemagne, Pays-Bas, Pologne, Roumanie, Italie, Luxembourg, Autriche et Suisse.
En 2015, les contrevenants étrangers ont payé 64 millions d’euros d’amende issues de radars automatiques. Ce chiffre sera encore en hausse en 2016 notamment avec la verbalisation des véhicules immatriculés en Italie…
Vignettes contre « l’obsolescence réglementaire »
Pour celles et ceux qui cherchent comment se procurer les vignettes de Ludovic Grden « Je suis écolo je garde ma vieille auto » ou « je suis écolo je garde ma vieille moto », vous cliquez sur le lien ci dessous,
Parce que œuvrer pour l’écologie et le développement durable c’est aussi savoir préserver son patrimoine sans détruire et reconstruire… Ne vous laissez pas étiqueter, osez sortir du troupeau !
http://tpag.fr/vignettes
BONUS gouvernemental et VOITURE JETABLE ?
Publié le 14 juillet 2010 par frico-racing
Une triple escroquerie !
Inventée par un esprit tordu, (pas tant que ça) il y a quelques années, la prime à la casse a baissé en 2010, mais nombreux sont les constructeurs qui proposent des primes complémentaires, pour nous fourguer leurs bagnoles (dont les prix, à l’inverse des « frigos » et autres « écrans plats », sont maintenus artificiellement hauts pour le plus grand profit des constructeurs ainsi « subventionnés » par nos impôts).prime-a-la-casse1
De mon temps (et il n’y a pas si longtemps), on détruisait les voitures inaptes à rouler, ce qu’on appelait des épaves. Il y avait en effet une certaine logique : « c’est très vieux, ça ne marche plus, c’est pas réparable—> Épave—> destruction, casse, récupération, pièces d’occasion etc »…
La prime à la casse du gouvernement, c’est quoi ?
On donne du fric aux constructeurs pour détruire ta voiture si elle a plus de 10 ans !… « plus de 10 ans » ? si on suit ce raisonnement, à 9 ans et 364 jours, t’as une voiture, et le lendemain, t’as une épave ! Détruire quelque chose qui fonctionne, qui a été validé par le contrôle technique, pourtant de plus en plus draconien, quelque part, ça me gène (moi à qui on a appris la valeur des choses).
Les constructeurs, déjà bien « relancés » par cette prime » (payée avec nos impôts) en rajoutent une couche : désormais, vous pouvez « épaviser » votre voiture qui roule à merveille dès qu’elle a atteint l’âge de 8 ans !
Alors là, excusez-moi, mais je ne peux que dire « bravo » ! Quelle riche idée que de broyer un véhicule qui marche encore bien !
Gâchis organisé et casse du marché de l’occasion !
Il n’y a pas si longtemps, les garages reprenaient votre ancien véhicule, ils le retapaient et le revendaient en occasion, avec en général une garantie de trois ou six mois.
Avec cette prime à la casse, allez donc chercher une voiture d’occasion !
« Allez un p’tit crédit ! »
On oblige désormais les petits revenus, les chômeurs, les étudiants, les nouveaux permis à acheter du neuf. C’est proprement scandaleux et antisocial.S5-htm-55482-htm-55482-copie-1
Et l’écologie dans tout ça ?
Cette destruction généralisé génère des tonnes de déchets dont on aurait pu se passer, car ces véhicules roulaient encore sans danger ni pollution excessive (contrôle technique et CO2 tous les deux ans).
La prime à la casse est donc une triple escroquerie : -1)L’argument écologique est bidon et démontré ci dessus.
2)Elle aurait sauvé, parait-il, deux ou trois mille emplois dans l’industrie automobile, elle en a détruit en réalité quinze mille dans les petits garages de réparation.
En fait la prime à la casse a surtout profité aux usines délocalisées des constructeurs français et aux constructeurs étrangers eux-mêmes.
Parmi les huit voitures dont les ventes ont le plus progressé en France au premier semestre, on en trouve six assemblées hors de l’hexagone.
Ainsi, la Renault Twingo, dont les ventes ont bondi de 65%, sort de l’usine Renault de Novo Mesto, en Slovénie.
Les Citroën C1 et Peugeot 107, dont les ventes ont, respectivement, progressé de 55 et 44% sont produites en République tchèque.
3)D’un coté, ils paupérisent la population en bloquant les salaires, de l’autre, avec cette prime, (en réalité payée nos impôts), ils « arrosent » les constructeurs, pour maintenir leur Taux de profits.
La prime à la casse une bonne affaire pour qui ?
La prime à la casse va coûter à l’Etat 390 millions d’euros au lieu des 220 millions prévus. De quoi agrandir le gouffre de « la fameuse dette publique »…Devinez qui au final va payer ?
On a pas encore tout vu !
Renault et d’autres constructeurs…Général Motors en particulier planchent sur « la voiture jetable » SI SI !
Pour GM, c’est une « voiture » à 1100$
L’Indien TATA annonce une voiture à 2200$
Jusqu’à l’aberration
De qualité médiocre on s’en doute, aucun entretien, tu la balanceras à la ferraille à fin de la première vidange ou si tu as les freins ou pneus à changer…pour caricaturer, « Lorsque le cendrier sera plein », l’exemple ci dessous témoigne de ce qui nous attend !
Trouvé sur le net (un internaute)
« En recherchant des pièces moteur d’occasion pour ma Mégane 1.5dci 105 de 2006 sur le net, je tombe sur des internautes qui vendent leur Mégane en pièces uniquement parce que le moteur est HS. Parfois des modèle 2006 voire 2007!!!
Chercher vous verrez que je n’invente pas.
Pourquoi ne pas remplacer le moteur plutôt que de les vendre en pièces?
Supposons mon turbo lâche et provoque un emballement moteur jusqu’à destruction (en général un bielle finit par passer au travers du carter). Bien sur hors garantie !!!
Je cherche un moteur d’occasion sur le Net et dans les casses : néant, voiture trop récentes ou moteur HS.
Je m’informe des prix chez Renault et là tout devient plus clair :
Il n’existe ni moteur ni turbo en échange standard pour ce type de moteur k9k732.
Moteur neuf: 4500€ HT
Turbo neuf : 1400 HT
Le tout posé vous revient au bas mot à 8000/9000€ TTC
C’est plus cher que le prix de la voiture!!!
Résultat j’achète une Mégane équivalente d’occasion (6000/7000€) et je mets en vente la première pour pièces. Vu qu’il y en a beaucoup à vendre pour pièces (pour les mêmes raisons que la mienne), les pièces se vendent très mal donc très peu cher; on trouve des phares à 30€ et des pare-chocs avant à 50€!!!
En sachant qu’il n’y a que cela qui se vend, votre voiture ne vaut plus rien…vous la jetez!
Une voiture (Une Renault) de 2006 qui n’a pas encore 3 ans!!!
Elle est belle la société de consommation… »
Et dire qu’ils nous culpabilisent (la pub et les « infaux »)… Nous ferions trop de déchets ?
frico
REVUE DE PRESSE #336
VOTRE SUPPORT POUR LA DIFFUSION DES VALEURS DE LA FFMC
ACTUALITÉS PERMIS : L’EXAMEN THÉORIQUE DÉLÉGUÉ AU SECTEUR PRIVÉ page 8
ENDURANCE : 24 HEURES DU MANS ET INTERVIEW DE MIKE DI MEGLIO page 12
GRAND-PRIX : DES PILOTES FRANÇAIS POUR NOUS FAIRE VIBRER page 15
ESSAIS NOUVEAUTÉS TRIUMPH STREET TRIPLE RS page 30 YAMAHA MT-10 SP page 37
HONDA X-ADV page 43 YAMAHA TMAX SX page 48
DUCATI SUPERSPORT page 52
KTM 1290 SUPER ADVENTURE S & 1090 ADVENTURE page 56
MATCHS KAWASAKI Z 650 CONTRE YAMAHA MT-07 page 62
HARLEY-DAVIDSON STREET GLIDE SPECIAL CONTRE INDIAN CHIEFTAIN page 76
ENQUÊTE VOITURES-RADAR PRIVATISÉES : UN SCANDALE D’ÉTAT page 90
TESTS ÉQUIPEMENTS 9 CASQUES INTÉGRAUX AUTOUR DE 150 € page 100
les produits du mois page 111
REPORTAGE LA MALAISIE : L’AUTRE PAYS DE LA MOTO page 116
NOSTALGIE HONDA XL 600 TRANSALP : ELLE A 30 ANS ! page 126 PRATIQUE MÉCANIQUE : LA CYLINDRÉE D’UNE MOTO page 132
VOS DROITS : NOUVELLES PLAQUES, LA MESURE EST-ELLE BIEN RÉTROACTIVE ? page 135
La sophrologie est une méthode psychocorporelle travaillant positivement sur le corps et le mental pour retrouver un équilibre, un mieux être au quotidien.
Elle permet de gérer le stress des émotions :
– Préparer des examens, des entretiens, des projets
– Soulager ou vivre autrement les douleurs chroniques , les acouphènes
– Travailler sur les addictions au sens large
-…
En association avec Audrey NUGIER, diététicienne, nous travaillons sur la gestion du poids ensemble .
Votre verre est il à moitié plein ou à moitié vide ?
Appréhendez la vie autrement
-Diplôme RNCP Sophrologue
-Diplôme d’Etat d’Infirmière
-Adultes, Enfants
-Groupes, Ateliers, Individuel
Sur Rendez-Vous au 06 25 78 33 87
8 rue du Lycée (RDC)
01000 Bourg en Bresse
La pastille Crit’Air est-elle vraiment sécurisée et infalsifiable? Pour le savoir, certains petits malins ont tenté de la pirater. Y sont-ils parvenus? Verdict!
Présenté comme un document « sécurisé qui permet de limiter tous types de fraude », le fameux certificat qualité de l’air est – ça ne vous a pas manqué – doté d’un flashcode. Sa vocation ? Tout simplement permettre aux forces de l’ordre de valider l’authenticité du document.
Or, aussi étonnant que ça puisse paraître, ce « tag » peut-être lu par n’importe quel smartphone équipé d’une application (gratuite) permettant de le scanner ! Nous avons tenté l’expérience avec 100 % de réussite : à tous les coups, est apparue une suite de caractères cabalistiques que nous avons pu (en partie) décoder.
Un flashcode carrément indiscret
Concrètement, n’importe qui peut consulter, en quelques secondes, l’immatriculation, la marque, le modèle, le numéro de châssis, le carburant et la catégorie de vignette de n’importe quel véhicule ! Anodin ? Oui pour certaines infos. En revanche, le numéro de châssis, lui, peut être considéré comme une donnée sensible. Pas pour les marques françaises, qui l’inscrivent systématiquement en bas des parebrises, mais pour Audi, BMW, Fiat ou encore Mercedes, qui l’ont retiré depuis longtemps, probablement par peur des usurpations !
Alors, oui, ce numéro est également présent sur le macaron du contrôle technique. Mais pour qui voudrait le dissimuler aux yeux de tous (rappelons que l’affichage du macaron « CT » n’est pas obligatoire), c’est raté : en quelque secondes, la vignette Crit’Air révèle l’information.
Falsifiable l’écopastille ?
Plus problématique, des petits malins se vantent d’avoir trouvé la faille pour se fabriquer une pastille « maison » plus avantageuse que celle à laquelle ils ont droit. Sans révéler leur « truc », disons qu’ils ont réussi à générer un flashcode bidon, qui leur permet de choisir la classe Crit’Air qui les arrange. Cela étant fait, il leur reste juste à fabriquer une fausse vignette, à y coller ce code bidouillé, et hop, emballé c’est pesé : en cas de contrôle, les forces de l’ordre n’y verront, a priori, que du feu.
Raté ! Le document est bel et bien sécurisé
Gare à vous, hackers du dimanche ! Contrairement aux apparences, le tag en question n’est pas un flashcode comme les autres : il s’agit en fait d’un code-barres « 2D-Doc » doté d’un cryptage asymétrique complexe. En clair, une protection (également présente sur les courriers de retrait de points) qui rend toute falsification impossible. Mais au fait, comment les forces de l’ordre pourront-elles authentifier ce 2D-Doc ?
Tout simplement grâce à l’appli 2D-DocReader (photo), qui décode les informations inscrites dans le cryptogramme et repère illico les faux. Essayez-la, elle est gratuite sur Android et iOs
François Tarrain / auto plus
La maintenance opérationnelle des radars automatiques est un élément essentiel de la chaine du contrôle sanction automatisé (CSA) puisqu’elle permet de maintenir en état de fonctionnement les différents radars.
Jusqu’à ces derniers jours, la maintenance opérationnelle des radars automatiques fixes était encore réalisée dans le cadre de deux marchés public attribués à deux entreprises différentes: SPIE et le groupement SATELEC/INEO. Alors que SPIE est l’opérateur historique de la maintenance opérationnelle depuis la mise en service des premiers radars automatiques en 2003, SATELEC/INEO l’avait en partie remplacé depuis 2013. Un changement de prestataire mal préparé qui avait entrainé une forte baisse de la disponibilité des radars et du nombre de flashs enregistrés en 2013.
Mais cette cohabitation est désormais terminée puisque depuis le 15 mars 2017, la maintenance opérationnelle de tous les radars automatiques fixes en France métropolitaine et dans les Départements et Régions d’Outre-Mer (DROM) est désormais regroupée dans un seul marché public afin d’optimiser les ressources utilisées et leur efficacité.
Le Ministère de l’Intérieur a attribué le marché au groupement SATELEC/INEO pour un montant de 62 millions d’euros.
Le contrat est conclu pour une période de 24 mois et pourra être reconduit deux fois pour une période de 1 an.
Les prestations de maintenance
La maintenance opérationnelle des radars automatiques comporte trois axes principaux: la maintenance de terrain, la télémaintenance et l’installation des cabines.
1- La maintenance de terrain
radar fixe dégradé
La maintenance de terrain comprend la maintenance préventive (remplacement des pièces soumises à vérification réglementaire et des pièces d’usure, nettoyage des équipements) mais également la maintenance corrective dont le remplacement des pièces défaillantes ou encore remise en état suite à dégradations (nettoyage, remplacement de vitres, etc) et le stockage des pièces nécessaires pour assurer la maintenance de niveau de terrain.
2- La télémaintenance
Centre National de Traitement Rennes
La télémaintenance est effectuée à distance depuis le Centre National de Traitement de Rennes. Elle permet la détection des défaillances ou des dégradations sur les équipements à l’aide de plusieurs sources (signalement à la permanence téléphonique, remontée et analyse des alarmes, analyse des MIF produits par les équipements, etc.). Les divers outils de télémaintenance et de supervision sont également utilisés pour le diagnostic des défaillances et le dépannage à distance des équipements.
3- L’installation des cabines
remplacement radar fixe
En plus des travaux de maintenance, le marché public comprend également les tâches d’installation, de dépose ou de remplacement de radars dans le cadre d’opérations de vie du parc mais également l’entretien des équipements associés (barrière de sécurité, poteau d’installation, etc).
Les radars concernés en métropole
Les prestations de maintenance opérationnelle sont différentes en fonction du type de radar concerné et de sa localisation géographique. En effet, dans tous les DROM, la maintenance opérationnelle concerne l’ensemble du parc de radars automatiques alors que dans les autres départements, la maintenance opérationnelle ne concerne que les différents modèles de radars fixes et feux rouges.
Voici dans le détail les types des radars concernés en métropole et les opérations de vie du parc prévues dans le cadre du marché public entre 2017 et 2020.
1- Les radars fixes de type MESTA
Le marché comporte la maintenance opérationnelle de tous les radars fixes de type MESTA, c’est à dire les MESTA 210, les MESTA 210C et les MESTA 210D. La zone concernée est la France Métropolitaine et les DROM.
En 2017 est prévu le remplacement de 50 radars fixes par des radars double sens.
En 2017 et en 2018 est prévu le remplacement de 200 MESTA 210 par des MESTA 210C.
2- Les radars fixes de type LYNX
Le marché comporte la maintenance opérationnelle des radars fixes de type PARIFEX LYNX, c’est à dire les 36 radars installés sous le tunnel duplex de l’A86.
En 2020 est prévu le démontage de l’ensemble des 36 radars PARIFEX LYNX du tunnel duplex de l’A86.
3- Les radars fixes de type FALCO
radar discriminant
Le marché comporte la maintenance opérationnelle des radars discriminants de type PARIFEX FALCO. Ces radars sont installés uniquement en France Métropolitaine hors Corse.
Au cours du marché, une nouvelle version du PARIFEX FALCO sera mise en service, il s’agit des radars double face.
En 2018 sont prévus le remplacement de 100 radars fixes par des radars double face et la modernisation de 150 radars discriminants en radars double face.
En 2019 est prévu la modernisation de 150 radars discriminants en radars double face.
4- Les radars feux rouges
Le marché comporte la maintenance opérationnelle des trois modèle de radars feux rouges et des radars passages à niveau. Ces radars sont installés uniquement en France Métropolitaine hors Corse.
En 2018 et en 2019 sont prévus le démontage de tous les radars feux rouges et leur remplacement par les radars multifonctions MESTA FUSION de type tourelle.
5- Les radars tronçons
Le marché comporte la maintenance opérationnelle des radars tronçons. Ces radars sont installés uniquement en France Métropolitaine hors Corse.
En 2019 et en 2020 est prévu l’installation de 50 radars tronçons de nouvelle génération adaptés à des tronçons multiples.
En 2020 est prévu le remplacement de 50 radars tronçons par des modèles de nouvelle génération.
Les prestations spécifiques dans les DROM
Les DROM sont équipés de radars automatiques mais actuellement seulement de radars fixes et de radars mobiles classiques qui seront concernés par des prestations spéciales effectuées par le titulaire du marché.
1- Les radars fixes
Au cours du marché est prévu le démontage de tous les radars fixes installés dans les DROM et leur remplacement par des radars tourelles en multipliant le nombre d’emplacements par un facteur de 3 à 5. Les remplacements sont prévus au cours des années 2018 et 2019.
Lorsque les remplacements et les nouvelles installations seront effectués, le titulaire du marché devra également assuré le déplacement des radars entre les différentes tourelles.
2- Les radars mobiles
Au cours du marché est prévu le remplacement de tous les radars mobiles classiques type MESTA 210C par le nouveau radar mobile dénommé Equipement de Terrain des Forces de l’ordre. Les remplacements sont prévus au cours des années 2018 et 2019.
3- Les radars autonomes
Au cours du marché est prévu le déploiement de plusieurs radars autonomes dans les DROM ainsi qu’en Corse. Le titulaire du marché sera chargé de ce déploiement.
J’aurais juré sur la tête de n’importe lequel d’entre vous que c’était obligatoire!!! et bien non, on nous l’à simplement fait croire !!!
Ce qui fait que si tous les automobilistes, qui en ont ras la casquette d’être pris pour des vaches à lait ,des pollueurs, des assassins en puissance, etc … ( ils sont nombreux et j’en suis) enlevaient ce macaron de leur pare brise, les forces de l’ordre passeraient pas mal de temps à vérifier que le véhicule contrôlé est bien à jour de son contrôle technique
Défaut de vignette du contrôle technique = PV ?
Gare à l’absence de vignette du contrôle technique sur le pare-brise, les forces de l’ordre ont l’ œil et vous risqueriez de vous faire « allumer » bêtement…
Qu’importe qu’un agent vous menace de vous verbaliser pour absence de vignette de contrôle technique (CT) sur le pare-brise. Légalement, vous ne risquez rien à ne pas l’apposer. Ce n’est pas obligatoire. Ce qui l’est en revanche, c’est d’être en règle dans vos visites. Et là, pas de quartier si vous êtes pris à défaut…
Pas de vignette = pas de PV
Si un agent zélé vous verbalisait pour absence de vignette -ça arrive bien qu’assez rare-, vous pourriez contester, l’amende étant non avenue. Dans tous les cas, le classement sans suite est assuré d’emblée.
Risque d’interpellations doublé
En réalité, le seul risque encouru à ne pas apposer la vignette, est de vous faire intercepter par les forces de l’ordre qui vérifieront si vous avez bien effectué le contrôle technique du véhicule. La vignette limite les contraintes d’une interpellation, (temps de perdu, présentation des papiers…) surtout si vous n’êtes pas en tout point en règle (papiers pas à jour, pneus et lumières non conformes…). Et d’avoir à contester un éventuel PV sur ce motif, toujours possible ne serait-ce que lors d’un stationnement.
Contrôle technique obligatoire dès les 4 ans de l’auto
Il est obligatoire d’effectuer le CT en temps et en heure. Soit la première visite aux 4 ans du véhicule, puis un contrôle périodique renouvelable tous les deux ans.. Pour les véhicules de collection (+ de 25 ans) le contrôle périodique est porté à 5 ans.
Des délais à respecter impérativement
Vous bénéficiez d’un délai de 6 mois avant chaque date d’anniversaire pour vous mettre à jour. Un oubli ou report et vous courez le risque d’un PV. En réalité, vous êtes passible d’une amende dès le lendemain de la date d’anniversaire, la date limite extrême. Idem si vous n’avez pas effectué la contre-visite dans les deux mois suivant le premier contrôle lorsque des réparations obligatoires sont prévues.
Pas en règle avec le CT, amende assurée
A défaut de ne pas être en conformité avec la loi, la sanction est la même dans les deux cas de figure : 135 € minorés à 90 €, ainsi que l’obligation de se mettre en règle dans les sept jours et d’en apporter la preuve. L’immobilisation du véhicule est aussi possible, quoique rare à moins qu’il ne soit jugé dangereux ou polluant.
L’amende est pour le conducteur…
Si vous n’êtes pas à jour, dépêchez-vous. Coût de l’opération entre 55 et 70 € selon que vous êtes en province ou région parisienne. Et attention, c’est le conducteur qui est verbalisable, pas le titulaire du certificat d’immatriculation !
Crédit photo : NICOLAS SOLER/AUTO PLUS