Depuis le 1er janvier 2016, il devrait être possible d’acheter une moto de plus de 100 cv en toute légalité en France.

Hors le décret d’application de cette réglementation (qui met fin à 30 ans d’idiotie motophobe ) n’est à ce jour toujours pas publié.

Cela emmerde le monde motard dans sa totalité.

Les concessionnaires qui ne peuvent livrer les motos neuves.

Les acheteurs potentiels qui hésitent.

Les autres qui voudraient savoir ce qu’il advient du rétrofit.

Tout le monde attend le bon vouloir de nos « gouvernants » qui trouvent plus urgent de faire changer les normes de pollution de voitures (afin qu’elles rentrent dans le cadre vertueux de l’écologie restrictive) que de ce mettre en conformité avec la réglementation Européenne.

J’en profite pour exprimer ma colère au sujet de cette modification des normes de pollution des voitures.

Nos  » gouvernants » (principalement les maires des grandes villes de France) veulent limiter nos droits à nous déplacer ou et comme bon nous semble dans les centres villes sous prétexte de pollution. Et on double le droit à polluer des voitures neuves !!! De qui se moque-t-on ???

Si vous voulez participer au combat, voici un moyen simple :

écrivez votre colère au ministère de « l’écologie » sois disant responsable de ce dossier.

Pour cela :

1/ rendez vous sur le site du ministere http://www.developpement-durable.gouv.fr/

2/complètement en bas de la page cliquez sur coordonnées

3/renseignez votre adresse mail, vous allez recevoir un mail de confirmation

4/remplissez les cases et écrivez votre colère, vous trouverez plus bas la façon dont j’ai respectueusement exprimer la mienne

Vos actions feront bouger les choses ,car plus nombreux, plus forts

 

 

Bonjour
Je suis sur le point de commander une moto chez mon concessionnaire.
Mais avant je voudrais être certain de pouvoir disposer de mon véhicule en version 2016 c’est à dire libérer de la contrainte du bridage à 106 chevaux.
Je sais que depuis le 1er janvier 2016, c’est possible, mais vos services tardent à publier le décret d’application qui permettra enfin de rouler comme tous les Européens.
Quand est-il de la publication de ce décret que le monde motard attend avec une impatience légitime ?

Et ci dessous la suite de l’histoire

 

Je viens de recevoir une réponse au mail envoyer hier au ministère de l »écologie ».

Ils se foutent de notre gueule. Des copains qui ont commandé des motos chez BMW modèle 2016 sont toujours dans l’attente des papiers permettant l’immatriculation de leur motos.

Le constructeur n’a rien lui permettant de référencer une moto de plus de 100 cv aux services des mines ou en préfecture.

Ils annoncent une réponse dans 2/3 mois pour le rétrofit.

je crois vraiment qu’il faut agir vite et fort

voilà la réponse:

« DGEC/SCEE/SD6 (Sous-direction de la sécurité et des émissions des véhicules) emis par GEHIN Murielle (Chargée de mission) – DGEC/SCEE/SD6/6C » <murielle.gehin.-.sd6.scee.dgec@developpement-durable.gouv.fr>

15:32 (Il y a 20 minutes)

À moi
Bonjour,

Le règlement UE 168/2013 du 15 janvier 2013 ne permet plus à un Etat membre de limiter la puissance des motocyclettes immatriculées sur son territoire.
La France applique cette disposition et les quelques modèles de motocyclettes aujourd’hui réceptionnés selon ce règlement sont immatriculés en France même si leur puissance est supérieure à 100Cv.

Cela ne concerne pas les motocyclettes neuves ou usagées homologuées selon les directives 92/61/CE ou 2002/24/CE pour lesquelles la France peut légalement en limiter la puissance.
Pour autant et suite à la demande des professionnels et des utilisateurs, les autorités françaises ont travaillé sur un projet de texte qui permettrait de débrider les motocyclettes équipées d’un ABS et ont engagé la modification du code de la route.

Compte tenu de l’avancement de ce dossier, il est raisonnable de prévoir un délai de 2 à 3 mois.

Cordialement

La sous-direction « sécurité et émissions des véhicules »

Le 04/02/2016 14:58, « Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie (par Intranet, dépôt depot-sve.medd-mletr.csexterne2@developpement-durable.gouv.fr) » a écrit :
> Bonjour,
>
> Ci dessous détails d’une nouvelle demande :
>
> Mode de réponse : Courrier électronique
> Nom : Ecochard
> Prénom : Michel
> Courriel : mecocoche@gmail.com
> Adresse : 1878 chemin du mas cottier
> Code postal : 01370
> Ville : TREFFORT CUISIAT
> Pays : France
> Thème : Transports – Réglementation technique des véhicules
> Zone géographique : France
>
> Texte du message de l’usager : Bonjour
> Je suis sur le point de commander une moto chez mon concessionnaire.
> Mais avant je voudrais être certain de pouvoir disposer de mon véhicule
> en version 2016 c’est à dire libérer de la contrainte du bridage à 106
> chevaux.
> Je sais que depuis le 1er janvier 2016, c’est possible, mais vos services
> tardent à publier le décret d’application qui permettra enfin de rouler
> comme tous les Européens.
> Quand est-il de la publication de ce décret que le monde motard attend
> avec une impatience légitime ?

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Encore un machin inventé par notre gouvernement pour surveiller l’état des routes ????

Non, non je ne rigole pas, Valls vient d’inventer un truc qui va permettre de voir si nos routes sont ou pas en bon état !!!

Ce bidule va coûter du pognon, alors qu’il lui suffirait :

Soit de prendre la route normalement ,et pas entre quelques motards qui ouvrent la route au lieu de s’occuper des délinquants.

Soit de demander aux usagers (les motards par exemple) pour savoir ou et quand faire des travaux sur nos routes.

Pour plus d’info, motomag.com

Ne rigolez pas , c’est vos impôts qui partent en conneries.

C’est là ou on peut juger des « compétences » de nos dirigeants.

Bon , on se bouge quand ???????

Le 2 octobre 2015, lors d’un Conseil Interministériel à la Sécurité Routière, Manuel Valls a annoncé vouloir imposer un contrôle technique à la revente pour les deux-roues motorisés (2RM) sous prétexte de faire baisser la mortalité routière.

Une mesure sans lien avec la sécurité routière Calée sur ce qui existe déjà pour les voitures de plus de 4 ans, la mesure n’a pas vocation à protéger le conducteur de 2 ou 3 RM en tant qu’usager de la route mais simplement en tant qu’acheteur d’un véhicule.

On est alors très loin des objectifs affichés par le gouvernement au point de se demander ce qui a motivé une telle décision. La question est d’autant plus légitime que la présentation de cette mesure ne s’est accompagnée d’aucun élément concret, d’aucune statistique, qui aurait permis d’en comprendre l’intérêt. Pour la FFMC, ce contrôle technique à la revente n’a aucun sens puisqu’il se bornera à effectuer, contre rémunération, une vérification visuelle des éléments de sécurité du véhicule que l’usager un peu informé peut tout à fait réaliser lui-même, gratuitement.

Il apparait clairement que cette mesure vient satisfaire l’appétit des enseignes de contrôle technique qui lorgnent depuis 10 ans sur l’importante source de profit que représenteraient les 3 millions de 2 et 3 RM aujourd’hui en circulation.

Une mesure qui cache un futur contrôle technique périodique Il y a fort à parier que, dès que le réseau de centres de contrôle sera en place, ce même lobby obtiendra, toujours au prétexte de la sécurité routière, l’instauration du contrôle technique périodique pour le rentabiliser.

C’est aussi contre ce futur contrôle technique périodique que la FFMC se mobilise dès à présent en refusant ce qui en est les prémisses : le contrôle technique à la revente.

Par le passé, elle a déjà démontré que le contrôle technique périodique des 2 et 3 RM serait sans effet sur leur accidentalité. Le rapport MAIDS (Motorcycle Accident In Depth Study), publié en 2005 après une étude approfondie de près de 1000 accidents de 2RM dans 5 pays d’Europe, a clairement établi que seul 0.7% de ces accidents avaient été directement causés par une défaillance technique du véhicule. En 2007, le Conseil général des Ponts et Chaussées reconnaissait également, dans un rapport officiel sur le contrôle technique des 2RM, qu’il était « difficile d’établir une corrélation entre l’état du véhicule et la survenance des accidents ». Au contraire, les chiffres de l’ONISR (Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière) établissent que ce sont les véhicules les plus récents, et donc ceux qui sont en bon état, qui sont les plus impliqués dans les accidents de la circulation. Cela n’a rien d’étonnant lorsqu’on sait que la majorité des accidents impliquant des 2RM ont pour origine des défaillances humaines.

De fait, un contrôle périodique de l’état des 2 et 3 RM s’avèrerait complètement inutile du point de vue de la sécurité routière. Ce serait une mauvaise réponse à une question qui ne se pose même pas !

Mobilisons-nous ! Dans un contexte économique de plus en plus difficile, les usagers de 2 et 3 RM refusent de payer, même quelques dizaines d’euros, une prestation dont ils n’ont pas besoin pour assurer leur sécurité. Et si le contrôle technique devait maintenir l’activité, et donc la rentabilité, des grandes enseignes de contrôle, elle condamnerait à terme celle de tous les préparateurs et accessoiristes moto puisque leurs clients ne pourraient plus « personnaliser » leur véhicule, même pour lui apporter des améliorations, qu’elles soient techniques ou esthétiques.

Ce serait alors la fin de la « culture moto » telle qu’on la connait depuis toujours. Pour qu’elle survive, mobilisons-nous, en signant la pétition et diffusant notre message sur les réseaux sociaux : stop au contrôle technique !

Rappelez vous  il n’y a pas si longtemps, les motards était la honte du pays , responsables d’une hausse inadmissible des accidents de la route à tel point qu’on osait plus bouger une oreille, et bien au vu des dernières statistiques c’est la queue que nous pouvons remuer et dans tous les sens, car non , nous ne sommes pas coupables verdict qui avait été rendu avant jugement et qui nous apportait les foudres de la répression: un  C.T. et des gants qui doivent nous sauver à tout prix, c’est pour notre bien, nous dit on , on vous sauvera malgré vous envers et contre tout

Une chose est sur, la multiplication des radars  CA MARCHE PAS en Angleterre ils les enlèvent, en Allemagne la vitesse est moins limité que chez nous et eux ils affichent de bons résultats, reste une chose à tester, le port des gants homologués aux conducteurs d’automobiles

mercredi 27 janvier 2016, Bernard CAZENEUVE, ministre de l’Intérieur, a annoncé dans le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France le bilan de la Sécurité routière pour l’année 2015.

L’ONISR* constate une augmentation de 2,4% de la mortalité par rapport à 2014, portant ainsi à 3 464 le nombre de personnes tuées sur les routes françaises. Alors que le Gouvernement met en cause « des vitesses excessives », l’association « 40 millions d’automobilistes » met en exergue que la seule augmentation du nombre d’accidents dus aux stupéfiants et à l’alcool explique la hausse de la mortalité en 2015. Les stupéfiants et l’alcool, les deux principales causes des accidents

L’année 2015 s’est clôturée, selon le bilan provisoire de l’ONISR, sur une hausse du nombre de tués sur les routes : 3 464 usagers ont trouvé la mort, soit 80 de plus qu’en 2014.

Ce bilan – inacceptable – est cependant à mettre en regard des événements survenus au cours de l’année, tel l’accident de Puisseguin, dans lequel 43 personnes avaient péri. Un accident, certes dramatique, mais qui reste exceptionnel et qui compte malgré tout pour plus de la moitié de la hausse constatée l’an passée.

Pour le reste, la Sécurité routière et le ministre de l’Intérieur n’accusent qu’un mal : « le relâchement sur la vitesse ». Et, en toute logique, ne proposent qu’une solution : « une stratégie radar forte », alors que des radars supplémentaires avaient déjà été implantés en 2014 et 2015.

Pour « 40 millions d’automobilistes », c’est omettre volontairement les deux principales causes d’accidentalité sur la route : les stupéfiants et l’alcool au volant.

L’ONISR précise que ces facteurs ont augmenté respectivement de 22 à 25% et de 28 à 30% dans les accidents mortels.

Une fois de plus, on ne s’attaque pas au fond du problème :

en quoi le radar sauvera-t-il la vie de celui qui a trop bu ou qui roule sous l’influence de psychotropes ?

Il est temps pour le Gouvernement de se montrer honnête et d’apporter des réponses plausibles aux véritables causes des accidents.

Mais qui aura le courage de prendre à bras le corps ces problématiques, qui nécessitent bien plus que de poser une boîte métallique sur le bord de la route ?

Une baisse spectaculaire de la mortalité routière en 2013 L’association rappelle également que si l’on ne peut nier cette hausse de la mortalité depuis deux ans, il est bon de se souvenir que la baisse enregistrée en 2013 était à ce point spectaculaire (-11% par rapport à l’année précédente) qu’elle impliquait malheureusement une légère augmentation des chiffres les années suivantes.

Malgré cette hausse de 2,4% par rapport à 2014, l’année 2015 porte de meilleurs résultats en termes de sécurité routière que l’année 2012, et même que l’année 2013, si l’on regarde les statistiques de l’accidentalité corporelle : le nombre de blessés et de personnes hospitalisées suite à un accident de la route sont en effet – et c’est un facteur encourageant – en nette diminution cette année (-3,6% par rapport à 2014).

Notons enfin que, selon un rapport du Sénat**, 47% des accidents de la route mettent en cause la qualité ou l’entretien des infrastructures routières. Difficile donc pour l’État d’imposer aux usagers français un objectif ambitieux de moins de 2 000 tués sur les routes en 2020 lorsqu’il se désengage lui-même de la sécurité de ses citoyens en réduisant d’année en année les moyens financiers accordés à l’entretien du réseau sur lequel ils circulent…

Pour dénoncer cet état de fait, « 40 millions d’automobilistes » a mis en ligne à la fin novembre 2015 un site internet dédié au signalement des routes les plus délabrées de France : www.jaimalamaroute.com.

* Observatoire national interministériel de la Sécurité routière

** Selon le Projet de loi relatif à la sécurité des infrastructures et systèmes de transport.

La question des politiciens qui nous demandent de nous expliquer sur nos propositions en matière de 2RM et de solutions aux problèmes de pollution revient de façon récurrente.

La réponse est simple : l’usage d’un 2RM en ville est déjà une solution et ça fait des années qu’on la met en œuvre.

· Les 2RM sont fluides en ville et favorisent le trafic (et c’est mieux pour les automobilistes aussi)

· Les 2RM mettent deux à trois fois moins de temps qu’une auto à accomplir un trajet domicile/travail

· Les 2RM sont une alternative à la sursaturation automobile en ville

· Les 2RM présentent un taux d’occupation de 50% quand une voiture de 5 places est souvent utilisée par une seule personne, soit un taux d’occupation de 1/5.

· En cycle urbain, un 2RM consomme deux fois moins de carburant qu’une automobile moyenne

· Quatre 2RM peuvent stationner sur la même surface que celle requise pour UNE automobile

· Un 2RM dans la circulation = une voiture en moins = un usager en moins dans les transports en communs déjà saturés

· Il n’y a pas de 2RM à motorisation diesel

· Par leur poids cinq à six fois inférieur à une automobile moyenne, les 2RM n’ont qu’une très faible incidence sur la durabilité des chaussées

Donc, choisir un 2RM comme mode de transport quotidien pour aller travailler en milieu urbain est déjà une solution mise en réalisation. Et cette solution que nous défendons et que nous refusons d’abandonner.

Et remplacer un vieux 2RM par un neuf, ça ne résout pas la pollution de façon globale, ça ne fait que la déplacer : le vieux 2RM devient un déchet à recycler et le 2RM neuf a produit de la pollution pour sa fabrication. Si la lutte contre la pollution passe par une durabilité des objets et contre l’obsolescence programmée, pourquoi pousser à la casse des véhicules qui fonctionnent bien et rendent services à leurs propriétaires ?

Quant à la question des zones à circulation restreinte ailleurs en Europe, les 2RM y sont autorisés à circuler, à l’exception des vieux scooters à moteur 2T dans les centres historiques de quelques villes italiennes.

La question française est un peu particulière car c’est un des rares pays où ceux qui se proclament les défenseurs de l’Environnement fabriquent exprès des embouteillages dans l’espoir de dégouter les gens d’utiliser un véhicule… la contrainte la plus forte portant sur les voitures particulières, ça entraine une report d’usage sur le 2RM.

L’association 40 millions d’automobilistes sort une étude sur l’utilisation de l’argent des contraventions, soit 1,671 milliards d’euros. Excusez du peu !!!!

Vous pouvez lire la totalité de l’étude sur le site :

http://www.40millionsdautomobilistes.com/publications-nos-enquetes/718#

Mais pour les fainéants qui n’ont pas le temps, je résume.

30% vont à la sécurité (il faudrait voir en détails comment l’argent est utilisé )

25 % vont au désendettement de l’état

Le reste sert à entretenir les radars et surtout à en racheter d’autres, c’est à dire vous piquer encore plus de pognons l’année prochaine.

 Merci à nos gouvernants si  » prévoyants »

« Saint Denis les Bourg (01) 2 piétons fauchés par une voiture alors qu’ils traversaient sur le passage dit protégé ( que le nom ?). vite vite une campagne en 4 x 3 d’affiches sur la vitesse l’alcool et les drogues !! et tant qu’on y est, puisque que c’est la seule solution que l’on connaisse en France il faut sans attendre installer un radar pour les piétons pour les obliger à traverser plus vite sinon !!! si la connerie tuait on aurai plus de gouvernement ? »

Excellente initiative prise par l’association 40 millions d’automobilistes, face à ce qu’une majorité de conducteurs pensent .

Par contre la réponse pourrait venir de Bercy et reprendre la célèbre réplique de F. Blanche dans les tontons flingueurs

Touches pas au grisbi salope !!!

Pour commencer l’année avec une mesure forte en faveur des automobilistes,  » 40 millions d’automobilistes  » est à l’initiative d’une proposition de loi visant à faire supprimer l’amende pour les petits excès de vitesse, soutenue et déposée au Sénat par Alain Fouché, sénateur de la Vienne.

Ce nouveau texte de loi tend à introduire davantage d’équité dans la répression des excès de vitesse inférieurs ou égaux à 10 km/h en supprimant l’amende encourue par les contrevenants.  » 40 millions d’automobilistes  » remercie le Sénateur pour son engagement dans la protection des automobilistes.

L’association espère vivement que cette impulsion sera suivie par une majorité d’élus parlementaires et appellent les automobilistes à soutenir le projet en signant la pétition en ligne sur http://petitions.40ma.org/radar-pv/.

Le constat Depuis la mise en place du permis à points en France en 1992, les excès de vitesse sont sévèrement sanctionnés à la fois par un retrait de point(s) et une amende pécuniaire, croissants en fonction de la gravité de l’infraction.

Chaque année, ce sont près de 800 millions d’euros qui entrent dans les caisses de l’État grâce à la répression des excès de vitesse. Or, 90% de ces infractions sont en fait constitués par des excès de vitesse inférieurs à 20 km/h, c’est-à-dire – dans la majorité des cas – des excès de vitesse involontaires.

Cette répression à outrance n’a fait que provoquer le rejet du système tout entier par les Français, qui parlent désormais de  » pompes à fric  » ou de  » tirelires  » pour désigner les radars.  » La solution Pour réhabiliter l’image des radars et réconcilier les Français avec la politique de sécurité routière, il est donc urgent de modifier le système :  » Puisque le Gouvernement prétend que la verbalisation et la sanction des excès de vitesse sont nécessaires, non pas pour permettre à l’État de récupérer de l’argent, mais pour améliorer la sécurité des usagers de la route, nous proposons que, pour les petits excès de vitesse, les contrevenants n’aient plus à payer d’amende « , explique le Sénateur Alain Fouché.

Pour  » 40 millions d’automobilistes « , le radar est devenu le symbole de la taxe. Demandez à un automobiliste s’il considère que le radar favorise la sécurité routière ; il vous répondra qu’il ne sert que la rentabilité routière. Pourtant, il a effectivement permis de réduire considérablement le nombre des grands excès de vitesse, véritablement dangereux. Il est donc impératif maintenant pour le Gouvernement de démontrer que la multiplication des radars est bien une question de sécurité et non d’argent facile pour rembourser la dette de l’État. Quelle meilleure preuve alors que de supprimer l’amende pour les petits excès de vitesse ? De nombreux pays européens, tels l’Angleterre, l’Allemagne ou l’Espagne, ne sanctionnent pas les petits excès de vitesse et enregistrent de meilleurs résultats en termes d’accidentalité routière que la France.

 » 40 millions d’automobilistes  » et le sénateur Alain Fouché appellent tous les automobilistes favorables à ce projet à signer la pétition en ligne sur la page http://petitions.40ma.org/radar-pv/.

Pour consulter le texte de la proposition de loi, suivez le lien :

http://petitions.40ma.org/radar-pv/ppl.pdf