Petit billet d’humeur aujourd’hui sur le thème très actuel de la pollution. Il fut un temps où l’homme créa le moteur à explosion. Après les moteurs à vapeur, l’homme inventa le moteur à essence et gazole. Aujourd’hui, chaque type de moteur a ses adeptes et ses détracteurs. Quand le moteur essence est présenté comme performant, le moteur diesel est présenté comme plus économique (avec la même quantité de carburant, nous pouvons faire plus de trajet à un coût moins élevé, même avec l’ajout d’un turbo depuis quelques années, installation qui vient gonfler les performances de notre moteur de tracteur). Conséquences malgré tout ? Le moteur diesel ne brûle pas complétement le carburant comme un moteur essence, et rejette des particules fines malgré la bonne volonté des constructeurs. Pour pallier à cela, on a inventé la vanne EGR pour récupérer une partie des gaz non brûlés pour les réinjecter dans l’arrivée d’air. Problème : la vanne s’encrasse et vous êtes bons pour la changer tous les 60 000 kilomètres voir moins si vous ne roulez pas assez. Le filtre à particules a ensuite été mis en place pour filtrer les gazs et récupérer ces particules fines. Bilan, si vous ne roulez pas assez non plus, il faut changer le filtre. Chacun de ces remplacements vous coûtera environ 800 EUR (sauf erreur).

Le problème du moteur diesel, c’est aussi que sa pollution est visible. Le moteur essence pollue aussi même si on ne voit rien sortir du pot d’échappement, car lui rejette de l’azote dans l’air ce qui n’est pas mieux (gaz à effet de serre)… bref, aucun moteur n’est parfait !

Petite question : qui rejette des particules fines ? on a vu qu’il y a les moteurs diesel, mais il y a la combustion de bois (cheminées personnelles ou industrielles), et les systèmes de freinages des véhicules ! un métro ou un RER, bien que véhicules électriques, émettent des particules fines à cause de leur système de freinage ! (pareil que la Zoe de Renault 100% électrique).

Alors oui, le moteur essence a subi une grosse transformation depuis les années 80, il est passé au 4 temps ! adieu le mélange d’huile à 3% comme je le fais dans mon Solex, adieu les fumées. Est-ce suffisant ? non a priori, car Mme Hildago, avec l’aide de Mme Royal, a mis en place la vignette crit’air ! Qu’est donc que cette vignette ? un moyen de stigmatiser la population, afin d’écarter les véhicules les plus polluants (et par la même occasion les travailleurs qui ne pourraient pas se payer un nouveau véhicule) des zones de circulation réduites (exemple : Paris du lundi au vendredi de 8h à 20h). Sanction en cas de non-respect ? 135 EUR. Ceci est cependant à relativiser, car quand une 2cv est interdite car trop ancienne, un 4×4 récent qui pollue plus sera autorisé car plus récent. On voit donc la stupidité de cette mesure.

Ce qui est embêtant, c’est que nous nous sommes aperçus fin 2016 que la pollution en région parisienne ne provenait pas de la France, mais des pays de l’est. Les vents nous les ont gentiment apportés, et les conditions météo les ont bloqué sur le bassin parisien. Bref, circulation alternée et mise en place de Crit’air à cause des autres ^^. Ce qui est plutôt rigolo, c’est que nous sommes en hiver, période relativement froide (-6 pour cette semaine) et que EDF a mis 5 centrales électriques en maintenance (les vedettes). Le bilan ? les français vont devoir se chauffer, et la France ne peut pas fournir assez d’électricité, nous allons donc devoir en acheter aux pays de l’est (pour le nord de la France) car l’éolien n’est pas suffisant pour nous aider (il y a d’ailleurs 30% du parc éolien non utilisé, mais c’est un autre sujet). Comment les pays de l’est fabriquent leur électricité? Grâce à des centrales à charbon ou au gazoil (EDF en a aussi, mais ne communique pas trop dessus pour leur image de marque). Nous avons vu plus haut que la combustion de bois/gazoil entraînent l’émission de particules fines… s’il a du vent en Europe, ça va nous revenir dessus, merci EDF !

Alors existe-il des solutions ? mais bien sûr que oui ! je vais commencer par les voitures électriques, tellement plébiscité en ce moment ! si on remonte dans les années 90, Général Motor avait inventé la meilleure : l’EV1 (https://www.youtube.com/watch?v=fLknNrrL6QU). Allez voir son histoire ! Tellement d’engouement que pour limiter sa production, elle était uniquement disponible en crédit-bail, et qu’elle a terminé sa vie à la casse à cause des lobbies du pétrole. Et pour le diesel ? regardez YouTube, ça regorge d’idée, comme le moteur pantone (http://www.moteurpantone.net/ : https://www.youtube.com/watch?v=Lq9TtZD9a9Y) qui installe un simple bidon à eau sous le capot, et qui permet d’économiser du carburant et de diminuer les rejets toxiques dans l’air ! ou encore le carburant issu d’algues (voir « Algocarburant » : https://www.youtube.com/watch?v=K1wIbxXU8UQ) qui permet de réduire considérablement les rejets toxiques. Alors pourquoi l’état ne met rien en place ? pourquoi rien n’est exploité ? à croire que les pouvoirs publics préfèrent avoir des coupables et des payeurs au lieu de trouver des solutions. Si nous parlons moteurs diesel, je pense donc qu’il faudrait revoir le moyen de propulsion de tous les navires commerciaux, de tous les navires de guerre car à eux seuls, ils doivent polluer plus que toutes les voitures réunies. Cependant, il faudrait aller encore plus loin ? pourquoi a-t-on laissé les constructeurs fabriquer des moteurs polluants ? on se rend compte en 2016 que le cahier des charges pour les moteurs est une aberration ! ils respectent tous les normes, mais pas dans des conditions normales d’utilisation ! si la norme dit qu’il faut rejeter moins de 120g de co2 sur une distance de 2 kilomètres pour une vitesse de 13km/h, c’est respecté ! mais qui roule à 13km/h ? tout le système est pourri depuis des années. Mais que dire face aux lobbies encore une fois ? le président Hollande est allé en Afrique pour montrer sa détermination d’apporter l’électricité, et c’est très noble de sa part, mais il a gentiment imposé Total sur le marché africain, car Total a des champs de panneau solaire dans le désert depuis des années. Il fallait trouver un marché, il l’a trouvé ! mais plus proche de nous, Total continue de vendre du carburant polluant en France, mais ces ventes rapportent des taxes (revenus) à l’Etat. On voit la limite de l’exercice, et on voit que le changement aura du mal à se faire tans qu’il y aura des copinages au plus haut de l’Etat. Qui peut lutter contre ça ?

Aller, une dernière info, avez-vous déjà entendu parler du moteur Stirling ? je vous invite à regarder cette vidéo, car on aurait pu éviter de passer des dizaines d’années à polluer notre planète si il y avait eu la volonté de porter le projet plus loin que dans un labo : https://www.youtube.com/watch?v=b9ue52PaMtw

Pour les 2RM, je n’ai qu’une seule chose à dire : en région parisienne, ça fluidifie la circulation. Je ne sais pas si c’est mieux d’obliger les gens à changer leur véhicule, car ça mettrait les véhicules sur le marché de l’occasion, et déplacerai le problème dans d’autres régions. C’est facile de « refiler » le bébé ailleurs !

Que faire ? se réunir auprès de la FFMC comme lors de la manifestation du lundi 16 janvier 2016 par exemple. De mon côté, n’ayant pas pu aller sur paris ce lundi 16, j’ai fait un logo tout simple que j’ai collé sur mon cask’ de « rebelle-de-la-vie ». Parti d’une blague potache, elle résume ma pensée sur cette vignette Crit’air. Attention caricature, parce que la France c’est aussi le pays de la libre expression (au moins 160 partages sur fb depuis le 16/01… je vois qu’il y a pas mal de monde qui ressentent la même chose que moi) :

Article vu sur le blog: http://lesblogs.motomag.com/jlaumaillerphotos/

Anais ,étudiante en BTS Tourisme réalise une étude sur le tourisme moto elle vous propose de répondre à son questionnaire

y répondre prend peu de temps

https://docs.google.com/forms/d/1PC9_uW4w9xr6q0iPQesg7JYi4SB2I5CtOAVAW856ppc/viewform?edit_requested=true

Le ministre de l’Intérieur a installé un Conseil national de la sécurité routière rénové, le 23 janvier 2017. Et conforté l’objectif de parvenir à 2 000 tués en 2020. Doit-on s’attendre à de nouvelles mesures répressives ? Motomag fait le point.

http://www.motomag.com/Nouveau-CNSR-quel-impact-sur-les-motards.html#.WIxzTGciw6Z

France Wolf, déléguée du bureau national de la Fédération française des motards en colère (FFMC), siège au nouveau Conseil national de sécurité routière. Elle explique pourquoi, et quelles sont les attentes de l’association d’usagers.

http://www.motomag.com/Nous-portons-la-voix-des-motards.html#.WIxyMmciw6Z

INCROYABLE

Une preuve de plus que la voiture pollue tout jusqu’à l’intelligence humaine, les constructeurs de 2 roues motorisés seraient ‘ils moins bêtes ?

Les constructeurs automobiles mettent chaque année sur le marché un nombre supérieur de nouvelles voitures par rapport à la demande réelle des consommateurs, créant un surplus difficiles à gérer.

Mais alors où finissent ces voitures excédentaires ? Il y a partout dans le monde de vrais « cimetières à voiture »… Les photos sont impressionnantes et ne peuvent que nous faire réfléchir sur les déchets de notre société.

http://www.curioctopus.fr/read/9008/ou-finissent-les-voitures-invendues–voici-les-images-impressionnantes-des-cimetieres-de-voitures

L’abrasion des pneus, du revêtement routier et des freins est responsable de 41 % des particules fines en suspension émises par le trafic routier francilien


les moteurs ne sont pas seuls en cause dans la pollution liée au trafic automobile.

Selon l’Observatoire de la qualité de l’air en Ile-de-France, 41 % des particules fines en suspension (PM10) émises par le trafic routier francilien viennent de l’abrasion des pneus, du revêtement routier et des freins. Au cours d’une table ronde sur les effets du diesel sur la santé et l’environnement, organisée le 14 janvier par la commission du développement durable du Sénat.

la question des émissions de particules générées par l’abrasion a fait irruption dans le débat, à la surprise de bien des présents qui découvraient cette source de pollution pourtant bien réelle.

Le freinage responsable de 20 % des particules du trafic routier

Selon une évaluation réalisée en Allemagne par l’Institut de génie de l’environnement de l’université technique de Berlin, la seule usure des plaquettes de freins représenterait 20 % de l’ensemble des particules émises par le trafic routier. A chaque fois que l’on presse la pédale de frein, les frottements entre les plaquettes et le disque rejettent une importante quantité de particules fines. L’Institut de sciences appliquées (INSA) de Lyon estime que l’usure des plaquettes produit 20 000 tonnes de poussières par an en France.

Pour un véhicule type Renault Scénic, le freinage engendre une production d’environ 30 milligrammes (mg) de particules par kilomètre parcouru. A titre de comparaison, la norme Euro 6, qui s’appliquera à tous les véhicules neufs à compter du 1er septembre 2015, limitera à 5 mg/km la masse de particules émises par les diesels, et 4,5 mg/km celle des moteurs essence, soit six fois moins. Même les voitures électriques ne peuvent être considérées comme propres : sur ce type de véhicule, les freins sont certes moins sollicités, mais ils libèrent eux aussi des particules.


Effets nocifs sur la santé

Ainsi paradoxalement, si l’usure des plaquettes de freins, indispensable à un freinage de qualité, est un gage de sécurité, elle peut aussi avoir des effets nocifs sur la santé. D’autant que les poussières issues du freinage sont au moins aussi dangereuses que celles des particules issues des pots d’échappement. Principalement constituées de noir de carbone et de métaux lourds hautement toxiques − cuivre, cadmium, baryum, nickel, chrome, manganèse, plomb, zinc…−, elles peuvent engendrer des inflammations, des crises d’asthme, des bronchites chroniques, voire sur le long terme des cancers.

Ces particules fines ou très fines – leur taille pouvant aller jusqu’à quelques nanomètres –, peuvent en effet pénétrer en toute aisance dans les alvéoles pulmonaires et les bronches. « Les particules de freins peuvent se montrer très agressives. Elles accroissent le phénomène inflammatoire des bronches et endommagent leur revêtement cellulaire intérieur, explique Michaël Riediker, directeur du groupe Particules et santé à l’Institut universitaire romand de santé au travail (IST) de Lausanne (Suisse), qui a mené des études sur les effets cardiovasculaires des particules selon leur source. La paroi interne des poumons est constituée d’un épithélium, c’est-à-dire d’un tissu composé de cellules étroitement jointes, à l’image d’un dallage. Or les particules de freins provoquent un phénomène oxydatif qui va rompre l’étanchéité entre ces cellules. »

Sujet émergent en Europe et en France

Les Etats-Unis ont commencé à prendre la question en main, et six Etats – Californie, New-York, Washington, Rhode Island, Oregon et Hawaï – ont adopté une loi qui limitera à compter de 2020 à 5 % maximum le taux de cuivre dans les plaquettes de frein, et programme sa disparition pour 2025. En Europe, le sujet commence à peine à émerger. Dans le cadre de son programme de recherche 2014-2015, baptisé Horizon 2020, la Commission européenne a lancé un appel à projets dans le domaine des « transports intelligents, écologiques et intégrés » pour développer des méthodes de limitation de ces émissions issues de l’abrasion, avec un objectif de réduction de 50 %.

En France, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a elle aussi inscrit la question des particules hors pot d’échappement dans son appel à projets Cortea 2015 sur la connaissance, la réduction à la source et le traitement des émissions dans l’air. Cet appel à projets comporte notamment un volet de recherche de solutions technologiques pour réduire les émissions liées au freinage ou les rendre moins nocives. Une première PME, Tallano Technologie, vient même de lui soumettre une solution : celle-ci a mis au point une miniturbine aspirante qui collecte les particules de freins sortant des plaquettes.

Néanmoins, pour les pouvoirs publics, « les gaz d’échappement demeurent la question prioritaire », reconnaît Gilles Aymoz, responsable du service qualité de l’air à l’Ademe.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/01/19/le-diesel-n-est-pas-seul-responsable-de-la-pollution-automobile_4558887_3244.html#PP0Fc701Mivf4AbQ.99

La ffmc présente au nouveau conseil national de la sécurité routière pour mieux nous défendre


Le nouveau-futur-ex-ministre de l’intérieur, Bruno Leroux, vient d’installer officiellement le nouveau Conseil national de la sécurité routière (CNSR), qui sera présidé pendant trois ans par le député de l’Orne Yves Goasdoué. Présentations.

C’est donc Yves Goasdoué, député (PS) de l’Orne (61), qui présidera le nouveau Conseil national de la sécurité routière (CNSR), rénové en application du Comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015. Proche de Jean-Pierre Chevènement dans les années 1980 , M. Goasdoué se définit lui-même comme « un gars de la Manche (nul n’est parfait) élevé dans une cité HLM de la petite ville de Périers » (50). Agé de 57 ans, il est titulaire d’un DEA de droit public et d’un DESS de gestion des collectivités.
•Dossier spécial MNC : CISR du 2 octobre 2015 et nouvelles mesures gouvernementales

Le CNSR, « instance de concertation et de propositions créée en 2001, est confortée dans son rôle de conseil du gouvernement et voit son indépendance encore renforcée », assure le gouvernement. Le CNSR compte désormais 67 membres titulaires et 44 membres suppléants, avec « un panel élargi des acteurs de la sécurité routière (personnalités qualifiées, élus nationaux et locaux, représentants de l’Etat, représentants d’associations, représentants des professions médicales, représentants des gestionnaires de voirie, représentants des entreprises et institutions intéressées par la sécurité routière) », conformément à l’appel à candidatures lancé fin 2016.

67 titulaires et 44 suppléants, de la FFMC à la LCVR…

« Organe essentiel dans la définition des politiques publiques en matière de sécurité routière, il aura pour objectif de formuler des avis et des recommandations au gouvernement, à l’heure de la transformation numérique, de l’apparition du véhicule autonome et du vieillissement de la population », souligne la Sécurité routière.

•MNC du 2 octobre 2015 : Manuel Valls annonce 22 nouvelles mesures pour endormir les Français

On y retrouve notamment l’ancien délégué interministériel sarkozyste Frédéric Péchenard en tant que membre titulaire en qualité de représentants des régions, Thierry Archambault et Annick Ducrocq de la Chambre syndicale internationale de l’automobile et du motocycle (CSIAM), Nadine Annelot et Alain Clerc de la Fédération nationale du commerce et de la réparation du cycle et du motocycle (FNCRM, qui vient de fusionner avec le CNPA), le président de la Mutuelle des Motards Patrick Jacquot et de nombreux représentants d’associations oeuvrant dans le domaine de la sécurité routière : FFMC (France Wolf et Marc Bertrand), FFM (Philippe Thiebaut et Floriane Lamarra), Prévention routière, 40 millions d’automobilistes, l’inamovible Chantal Perrichon de la Ligue contre la violence routière, etc.

Décret officiel di 21 janvier 2017


JORF n°0018 du 21 janvier 2017
texte n° 76

Décret du 20 janvier 2017 portant nomination du président et des membres du Conseil national de la sécurité routière

NOR: INTS1632578D
ELI: Non disponible

Par décret en date du 20 janvier 2017, M. Yves GOASDOUE est nommé président du Conseil national de la sécurité routière.
Sont nommés membres du Conseil national de la sécurité routière :

1° En qualité de personnalités désignées en raison de leurs compétences en matière de sécurité routière

M. Antonio AVENOSO, Mme Barbara CHARBOTEL, Mme Elisabeth DUPONT-KERLAN, M. Jean-Paul GAILLY, Mme Anne GUILLAUME et M. Jean TODT.

2° En qualité de membres du Sénat

Mme Lana TETUANUI et M. Louis-Jean NICOLAY

3° En qualité de membres de l’Assemblée nationale

M. Yves GOASDOUE et Mme Valérie LACROUTE.

4° En qualité de membre du Conseil économique, social et environnemental

M. Jean-Claude DELAGE, membre titulaire.

5° En qualité de représentants des régions

M. Frédéric PECHENARD, membre titulaire.

6° En qualité de représentants des départements

M. Marcel CANNAT, membre titulaire, et Mme Laurence LAMY, membre suppléant.

7° En qualité de représentant des communes ou des groupements de communes

M. Jean-Luc RIGAUT, membre titulaire.

8° En qualité de représentants des personnes morales et gestionnaires de la voirie publique

Mme Annie CANNEL, membre titulaire, et M. Arnaud QUEMARD, membre suppléant, représentant l’Association des sociétés françaises d’autoroute ;
M. Patrick LAFONT, membre titulaire, et Mme Sophie BANETTE-COX, membre suppléant, représentant l’Association des ingénieurs territoriaux de France ;
M. Claude LASHERMES, membre titulaire, et Mme Céline BIBARD, membre suppléant, représentant l’Association des directeurs des services techniques départementaux.

9° En qualité de représentants des entreprises et institutions intéressées par la sécurité routière

M. Christian PEUGEOT, membre titulaire, et Mme Stéphanie de SAINT-GERMAIN, membre suppléant, représentant le Comité des constructeurs français d’automobiles ;
M. Patrick BESSONNE, membre titulaire, et M. Fabrice CESBRON, membre suppléant, représentant le Conseil national des professions de l’automobile ;
M. Thierry ARCHAMBAULT, membre titulaire, et Mme Annick DUCROCQ, membre suppléant, représentant la Chambre syndicale internationale de l’automobile et du motocycle ;
Mme Nadine ANNELOT, membre titulaire, et M. Alain CLERC, membre suppléant, représentant la Fédération nationale du commerce et de la réparation du cycle et du motocycle ;
M. Philippe OUVRARD, membre titulaire, et M. Pascal JUSSELME, membre suppléant, représentant la Confédération française des experts en automobile ;
Mme Bénédicte BARBRY, membre titulaire, et M. Matthieu FOUCART, membre suppléant, représentant le groupe Mobivia ;
Mme Claire DORLAND-CLAUZEL, membre titulaire, et M. Emmanuel PUVIS DE CHAVANNES, membre suppléant, représentant la société MICHELIN ;
Mme Ludivine DANIEL, M. Patrick JACQUOT, membres titulaires, et M. Alexis MERKLING, Mme Nathalie IRISSON, membres suppléants, représentant la Fédération française de l’assurance
M. Gérard ACOURT, membre titulaire, et M. Bruno GARANCHER, membre suppléant, représentant le groupe Ecole de conduite française-International (federation of safety networks) ;
Mme Elisabeth CHARRIER, membre titulaire, et M. Benoît DALY, membre suppléant, représentant la Fédération nationale des transporteurs routiers ;
Mme Marine JEANTET, membre titulaire, et M. Thierry FASSENOT, membre suppléant, représentant la Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés ;
M. Jean-Claude ROBERT, membre titulaire, et M. Stéphane PENET, membre suppléant, représentant le groupe Promotion et suivi de la sécurité routière en entreprises ;
M. Jean-Yves BIGNON, membre titulaire, et Mme Myriam HAIOUN, membre suppléant, représentant le groupe Colas s.a ;
M. Jean-Louis PERALTA, membre titulaire, et M. Alain DUNEUFJARDIN, membre suppléant, représentant le Groupement des préventeurs du risque routier.

10° En qualité de représentants d’associations agissant dans le domaine de la sécurité routière

Mme Anne LAVAUD, membre titulaire, et, M. Stéphane DAESCHNER, membre suppléant, représentant l’association Prévention routière ;
Mme Céline KASTNER, membre titulaire, et M. Didier BOLLECKER, membre suppléant, représentant l’Automobile club association ;
M. Philippe LAUWICK, membre titulaire, et Mme Marie-Thérèse GIORGIO, membre suppléant, représentant l’Automobile club médical de France ;
M. Daniel QUERO, membre titulaire, et Mme Laetitia HOOGHIEMSTRA, membre suppléant, représentant l’association 40 millions d’automobilistes ;
M. Philippe THIEBAUT, membre titulaire, et Mme Floriane LAMARRA, membre suppléant, représentant la Fédération française de motocyclisme ;
M. Serge MORELLI, membre titulaire, et M. Hervé GICQUEL, membre suppléant, représentant l’association Club 14 ;
Mme France WOLF, membre titulaire, et M. Marc BERTRAND, membre suppléant, représentant la Fédération française des motards en colère ;

M. Olivier SCHNEIDER, membre titulaire, et Mme Geneviève LAFERRERE, membre suppléant, représentant la Fédération française des usagers de la bicyclette ;
Mme Anne FAURE, membre titulaire, et M François PROCHASSON, membre suppléant, représentant l’association Rue de l’avenir.
Mme Chantal PERRICHON, membre titulaire, et M. Michel TERNIER, membre suppléant, représentant la Ligue contre la violence routière.
M. Julien THIBAULT, membre titulaire, et Mme Stéphanie VINSOT, membre suppléant, représentant l’association Victimes et citoyens.
M. , Serge DEXET, membre titulaire, et Mme Sylvie MOUCHARD, membre suppléant, représentant l’Association des paralysés de France.
Mme Marie-Christine CAZALS, membre titulaire, et M. Philippe VIMONT, membre suppléant, représentant l’Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens.
Mme Florence GILBERT, membre titulaire, et Mme Hélène EXBRAYAT, membre suppléant, représentant l’association Wimoov ;
M. Denis ASTAGNEAU, membre titulaire, et M. Alexandre GUILLET, membre suppléant, représentant l’Association nationale de la presse automobile ;
Mme Martine DUVAL, membre titulaire, et M Christophe TREBOSC, membre suppléant, représentant l’Association nationale pour les transports éducatifs de l’enseignement public ;
Mme Christiane THERRY, membre titulaire, et M. Stéphane BERNARDELLI, membre suppléant, représentant l’Union nationale des associations familiales ;
Mme Yvette TRIMAILLE, membre titulaire, et M. Olivier BLOT, membre suppléant, représentant l’association Familles rurales ;
Mme Florence URVOIS, membre titulaire, et M. Renaud BOUTHIER, membre suppléant, représentant l’association Avenir santé France.

10° En qualité de représentants des professions médicales et des associations et fondations oeuvrant dans le domaine de l’hospitalisation ou de la santé publique ou du secours aux victimes

Mme Céline GUILBERT, membre titulaire, et M. Eric FAURE, membre suppléant, représentant la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France ;
M. Olivier LANGERON, membre titulaire, et M. Marc FREYSZ, membre suppléant, représentant l’association Samu-urgences de France ;
M. Régis GONTHIER, membre titulaire, et Mme Sylvie BONIN-GUILLAUME, membre suppléant, professeurs en gériatrie ;
M. Patrick DAIME, membre titulaire, et Mme Catherine SIMON, membre suppléant, représentant l’Association nationale de prévention en alcoologie.