Certains annonçaient sa disparition, il n’en est rien, le numéro 334 vient de paraître .

Encore plus incisif, toujours instructif concernant cette mise au banc que l’ on nous promet tous les jours

Des essais, des comparatifs, des idées d’évasion  ….

Rdv chez votre dealer habituel sans tarder pour rester informé

Non MOTOMAGAZINE n’est pas mort, il bande encore

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Le transport maritime dans le monde

L’OMI (Organisation maritime internationale) estime que les émissions de CO2 du transport maritime international ont atteint 1120 millions de tonnes de CO2 en 2007.

Les 50 000 navires de transport de haute mer transporte 90% du commerce mondial de marchandises.

La marine marchande et les navires circulant sur les mers et océans du globe émettent l’équivalent de 35 500 kilos de CO2 par seconde.

Au total 400 000 tankers parcourent les eaux du globe pour transporter des marchandises.

Le transport maritime représente 90 % des échanges mondiaux de marchandises en volume se font par voie maritime. Le transport par bateaux émet moins de carbone par kilomètre et par tonne transportée que le rail, la route ou l’aviation.

Les bateaux rejettent 20 000 tonnes d’eau de ballast par an dans les mers, déversant ainsi des quantités d’organismes étrangers aux océans

Le chargement d’un seul conteneur de taille moyenne représente l’équivalent de l’envoi de 1000 avions Airbus A380 ou de 6 000 camions semi-remorques.

Il coûte aussi cher de transporter un conteneur de Shanghai à Anvers que de Marseille à Dijon.

Le transport maritime représente 543 Mt de CO2 en 2008 selon l’AIE et les estimations de l’Organisation maritime internationale situent la réalité au double de ce chiffre, provenant en très grande majorité des cargos.

L’ensemble du commerce maritime a doublé entre 1985 et 2007 et devrait au moins tripler d’ici à 2020, ayant d’importantes répercussions sur les émissions de CO2.

Sur la même période, le trafic de porte-conteneurs devrait être multiplié par six alors que ce type de navires présente des puissances parmi les plus élevées et donc des niveaux d’émission en conséquence.

La réduction de la vitesse permettrait de réduire les consommations. Mais cela va à l’encontre de la dynamique récente (25 noeuds contre 21 noeuds dans les années 90) et de la logique du monde actuel : raccourcissement des délais et trajets de plus en plus fréquents.

L’amélioration des navires est la deuxième source de gain de la consommation. Un perfectionnement des coques permettrait d’optimiser la pénétration dans l’eau. De nouvelles hélices maximiseraient la puissance fournie par les moteurs. Au niveau des motorisations, si des bateaux à piles à combustibles ne sont pas prêts de voir le jour avant quelques décennies, hormis dans des applications plus ciblées (cabotage, fluvial), les biocarburants pourraient trouver dans ce secteur une nouvelle application. Néanmoins, quelques problèmes techniques restent à résoudre afin d’assurer une fiabilité qui est de mise dans le monde de la mer

. (source : www.ifpenergiesnouvelles.fr/content/download/67679/1470174/‎)

Les impacts sanitaires des émissions du transport maritime
Bien que le secteur maritime soit comparativement assez efficace en termes d’émissions de CO2, il constitue une source majeure et en constante augmentation de pollution atmosphérique en Europe. Si aucune action n’est prise pour réduire ses émissions, les émissions d’oxydes de soufre (SOx) et d’oxydes d’azote du transport maritime pourraient dépasser dans les dix prochaines années toutes les émissions terrestres (transport routier, industrie, agriculture, etc.).

L’impact sanitaire de ces émissions est considérable. Il est évalué annuellement à près de 50 000 décès prématurés en Europe1. La réduction de la pollution atmosphérique à la source, comme le transport maritime, constitue dès lors un objectif politique majeur notamment dans le contexte de l’Année 2013 de l’Air.

Un processus engagé depuis 2008 au niveau international

En révisant sa réglementation sur la teneur en soufre des combustibles marine, l’Union européenne n’agit pas de manière isolée. En effet, les dispositions réglementaires de la nouvelle directive sont largement basées sur celles de l’annexe VI de la convention MARPOL telle que modifiée en 2008 par l’OMI. Ainsi, non seulement les valeurs limites mais aussi le calendrier de mise en application sont connus déjà depuis plus de cinq ans. Suffisamment de temps a déjà été donné aux différents acteurs pour préparer leur mise en conformité; au final, il y a aura eu entre sept et douze ans entre l’établissement des valeurs limites par l’OMI et leur mise en œuvre par les Etats membres.

La directive européenne n’a pas outre mesure modifié le calendrier adopté par l’OMI pour l’entrée en vigueur progressive des valeurs limites : en 2015 pour les zones de contrôle d’émissions puis en 2020 pour l’ensemble des mers européennes. La seule différence notable entre les deux textes réglementaires est la clarification qui a été apportée en Europe quant à l’entrée en vigueur du standard « global » de 0,5% en 2020.

Par ailleurs, il est important de noter que le non-respect de ces dispositions règlementaires ne constituerait pas uniquement une infraction à la législation européenne mais également un manquement à la mise en œuvre d’une convention internationale dont la France est signataire. (source : France Nature Environnement)

Et pendant s’temps là on veut plus que je prenne ma moto parce qu’elle pollue
ben voyons, 2 poids 2 mesures lui il engrange des dollars et moi je casque

C’est quand même grave, pas un jour sans que l’on ne nous montre du doigt les décès sur nos routes

et pourtant l’alcool semble être le dernier des soucis de notre état ultra protecteur

Un rapport de la Cour des Comptes pointe du doigt la complaisance et l’immobilisme de l’État français en matière de consommation de boissons alcoolisées : « l’État ne se donn[e] pas les moyens d’infléchir les comportements à risques en n’agissant qu’imparfaitement sur les leviers disponibles », parmi lesquels la prévention des risques liés à l’alcool au volant ou les contrôles d’alcoolémie sur les routes .

Nous savons pourtant tous que l’alcoolémie au volant reste la première cause de mortalité sur les routes françaises, plus de 1000 décès chaque année.

Ce texte écrit par un avocat (voir fin d’article) devrait (enfin j’espère) vous permettre de voir la nullité des gens (politiques et haut fonctionnaires) qui nous gouvernent.

Moi j’ai rien compris !!!! alors les percepteurs en uniformes ???

Vignette Crit’Air à Paris : dans quels cas risque-t-on une amende ?

AUTOMOBILE – A partir de ce lundi 16 janvier 2017, il faudra avoir une vignette Crit’air pour rouler dans Paris. Pastille obligatoire ou pas ? PV ou pas ? Quid du stationnement ? Maître Jean-Baptiste le Dall nous éclaire sur ces autocollants et sur les lacunes du dispositif.
16 janv 08:00Maître Jean-Baptiste le Dall (édité par L.V.)
Les automobilistes franciliens la découvrent petit à petit : la vignette Crit’air permettra aux véhicules de se déplacer dans l’agglomération parisienne à compter du 15 janvier 2017 (ndlr : la mesure, qui entre en vigueur le dimanche 15 janvier, ne s’applique pas le week-end et sera donc effective lundi 16). Mais, selon les textes en vigueur, pendant quelques semaines encore, l’apposition sur le pare-brise de cet autocollant n’est obligatoire que pour stationner dans les zones à circulation restreinte mais pas pour y circuler ! De futurs textes vont donner l’occasion au gouvernement de revoir sa copie et rendre l’apposition de la vignette incontournable. Explications.
En vidéo
La vignette anti-pollution Crit’air devient obligatoire à Paris

Amende et immobilisation pour le véhicule en infraction
Le conducteur qui circulerait, à Paris, avec un véhicule non autorisé, en semaine, risque la verbalisation. C’est ce que précise l’article R411-19-1 du Code de la route :

« Le fait, pour un conducteur, de circuler en violation des restrictions d’une zone à circulation restreinte, instituée en application de l’article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales, est puni de l’amende prévue pour les contraventions : 1) De la quatrième classe, lorsque le véhicule relève des catégories M2, M3, N2 ou N3 définies à l’article R. 311-1 ; 2) De la troisième classe, lorsque le véhicule relève des catégories M1, N1 ou L. »

C’est-à-dire, une amende de 135 euros (minorée à 90 euros) pour les bus et poids lourds et une amende de 68 euros (minorée à 45 euros) pour les véhicules de particulier et les camionnettes de moins de 3,5 tonnes. Il est également signalé que le véhicule peut être immobilisé.

Vignette Crit’Air obligatoire lundi à Paris : 8 points pour tout comprendre
Mais au-delà de la sanction, la lecture de ce texte montre que l’infraction qui peut être reprochée au conducteur ne réside pas dans l’absence de vignette Crit’air mais dans la violation éventuelle de la restriction à la circulation qui elle est édictée en fonction du certificat qualité de l’air autrement dit de la vignette Crit’air. Pour être plus clair, rien, aujourd’hui, n’oblige à apposer la vignette sur son pare-brise si l’on souhaite circuler à Paris.

En pratique, l’attribution d’une classe de vignette découle d’une motorisation essence, diesel, électrique et du respect d’une norme euro 2, 3, 4, 5 ou 6 classant les véhicules selon leurs niveau d’émissions de gaz polluants. Autant dire que même un vendeur de véhicule d’occasion ne pourrait pas identifier au premier coup d’œil une voiture ayant le droit de rouler ou pas.

Les forces de l’ordre ne pourront, donc, que se fier à la vignette. Et si le véhicule en est dépourvu, le conducteur risque fort de se faire contrôler. Outre la perte de temps, le risque de se faire verbaliser pour une autre infraction qui du coup aura pu être constatée par les agents devrait inciter les automobilistes à adopter la fameuse vignette.
La vignette n’est donc pas obligatoire pour circuler mais elle l’est pour stationner
Il est évident que la rédaction des textes n’obéit à aucune logique d’ordre écologique mais le constat est bien là : on ne pourra pas, par exemple, verbaliser le diesel qui roule, mais on pourra dresser un avis de contravention s’il se stationne alors qu’il a cessé tout rejet polluant.

Le même article R411-19-1 du Code de la route prévoit, en effet, qu’est puni de l’amende prévue pour les contraventions de troisième classe, pour les véhicules de particuliers et les camionnettes, le fait de stationner dans le périmètre de la zone à circulation restreinte lorsque le véhicule n’est pas identifié avec sa vignette ou lorsque l’accès de ce véhicule à la zone de circulation restreinte est interdit en permanence.
Pas d’amende au stationnement pour les véhicules de plus de 20 ans
Là encore, la stricte lecture du texte peut faire sourire. Les véhicules les plus anciens (antérieurs à 1997) ne pouvant prétendre à la délivrance d’aucune vignette, ne sont pas concernés par l’obligation de s’identifier par une vignette. Et comme les zones de circulation restreinte ne le sont pas en permanence (tous les véhicules sans distinction peuvent circuler le week-end), il en sera déduit que les véhicules les plus anciens n’auront pas à craindre la verbalisation au stationnement même en l’absence de vignette.

Le dispositif présente, donc, encore aujourd’hui de nombreuses incongruités, mais quoi de plus logique lorsque l’on réalise que les restrictions à la circulation barrent la route à une petite citadine certes un peu ancienne mais pas forcément très polluante mais ouvre ses portes à un énorme SUV diesel dont on n’est jamais certain de la véracité des données constructeurs en termes de consommation et de pollution.
Une remise à niveau des textes en perspective
Sans doute alertée des incohérences du dispositif actuel et de ces vides juridiques, la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal a d’ores et déjà annoncé l’arrivée d’un futur décret visant à rendre l’apposition de la vignette obligatoire dans les zones à circulation restreinte (ZCR). Aux conducteurs qui se rassurent en pensant que le dispositif est exclusivement parisien, on rappellera que 25 villes seront bientôt également concernées par ces ZCR…

L’arrivée des vignettes Crit’air permettra, également, d’abandonner le système arbitraire de la circulation alternée au profit d’une interdiction de circuler plus ciblée à destination prioritairement des véhicules les plus polluants. Les préfets devraient être sensibilisés à l’intérêt de prévoir dans leurs arrêtés l’obligation d’apposition sur le pare-brise de l’autocollant pour circuler lors des pics de pollution.

Maître Le Dall, docteur en droit et vice-président de l’Automobile Club des Avocats

Trente-sept après sa création, quand elle appelait à boycotter une vignette fiscale à l’époque de Giscard d’Estaing, la Fédération française des motards en colère appelle à boycotter les vignettes Crit’Air de madame Royal.
L’appel est lancé aux usagers en deux-roues motorisés, aux automobilistes, à nos adhérents, à nos sympathisants et plus généralement à tous les usagers de la route lassés d’être traités comme les boucs émissaires des gabegies de nos dirigeants gouvernementaux pas du tout responsables.

 

Voilà trois décennies que nos dirigeants de tous bords ont poussé à la diésélisation du parc auto, encouragé la SNCF a abandonner son réseau ferré de proximité, à favoriser le fret routier, à déréguler tous les modes de transport, fait fermer des services publics de proximité désormais regroupés en ville (maternités, bureaux de poste, écoles, tribunaux, gendarmeries…), accordé des visas d’exploitations à des usines d’élevages intensifs (comme la « ferme des 1000 vaches »), à des hypermarchés, bref à porter atteinte à la Nature et à tout faire pour que l’usage d’un véhicule à moteur soit indispensable et maintenant, le gouvernement impose une vignette discriminante qui dira qui peut circuler et qui doit rester dans son ghetto.
C’est tout simplement inacceptable et il est temps que les gens se remettent à réfléchir au-delà des slogans des marchands d’apocalypse qu’on nous rabâche à longueur de journées dans les journaux télévisés. Ca fait d’ailleurs des semaines que les médias répètent à tort que cette vignette était obligatoire alors qu’on nous annonce qu’elle ne le serait vraiment qu’à partir d’aujourd’hui… et encore, pas tout-à-fait selon les cas (pas le week-end, pas pour les véhicules de +20 ans déjà interdits dans les zones à circulation restreintes, pas pour les véhicules en stationnement…). De plus, elle n’est disponible que par Internet… et avoir un compte Internet n’est pas encore obligatoire.
En appelant à refuser d’acheter et d’arborer cette vignette qui ne résoudra pas les problèmes de pollution, les Motards en colère refusent de se soumettre à cette nouvelle restriction et ce d’autant plus que l’usage des deux-roues motorisés (2RM, dont aucun ne fonctionne au gasoil) contribue au désengorgement du trafic routier dans les agglomérations et qu’ils en améliorent la fluidité.

Les deux-roues motorisés sont une solution pour peu de pollution

Un 2RM avec son conducteur seul, c’est déjà un véhicule utilisé à 50% de sa capacité contre la plupart des voitures de cinq places occupées par une seule personne et qui encombrent pourtant autant que quatre motos. Et ce avec deux, voire trois fois moins de carburant pour une moto de cylindrée moyenne. Plutôt que d’interdire ou de restreindre l’usage des 2RM en ville, il vaudrait mieux accélérer leur évolution vers des motorisations encore plus économes en carburant tout en contenant davantage leurs émissions d’échappement. C’est possible et facile à faire, avec un gros potentiel d’évolution dans les moyennes cylindrées… une telle démarche serait vraiment du développement durable !

En attendant, la FFMC appellent les insoumis à cette nouvelle règle à boycotter la vignette Crit’Air, à éviter autant que possible la surveillance des agents de la force publique qui ont bien d’autres soucis et à contester systématiquement devant les tribunaux les verbalisations que cette nouvelle réglementation arbitraire va entrainer en transformant des gens jusqu’ici en règle en illégaux.

 

Face aux mesures prises par nos élus pour réglementer la circulation des citoyens avec leur véhicule particulier en fonction de l’âge de ce dernier, des citoyens attachés aux principes d’égalité, liberté, fraternité et à celui d’une écologie constructive, ont décidé de s’unir en créant le 21 juin 2016 la :

Fédération française des automobilistes citoyens .

Issue des groupes Facebook “L es Bannies du 1er juillet ” et “P arispourtous” , regroupant à eux deux plus de 10 000 personnes, et forte du soutien d’une pétition lancée sur change.org atteignant 20 000 soutiens, la F FAC poursuit un seul objectif clair et simple :

permettre à tout citoyen, usager de la route, de circuler librement sur tout le territoire national avec le véhicule homologué dont il est propriétaire, sans interdiction ni restriction d’aucune sorte, en opposition totale aux politiques actuellement mises en place par les Pouvoirs publics, et notamment au 1er juiller 2016 par la Ville de Paris, puis par 22 villes et agglomérations françaises .

Elle rejoint sur le terrain de la contestation citoyenne, les autres associations qui se sont engagées sur le sujet, parfois depuis plusieurs années comme la
FFMC, pour les citoyens en moto, 4 0 Millions d’automobilistes, parfois depuis peu comme la nouvelle association UDELCIM .

Sous couvert d’une législation européenne qu’ils ont contribué à élaborer, l es Pouvoirs publics sont en train de rompre le principe d’égalité et de fraternité, constitutionnels de notre République, e n créant de fait artificiellement, pour la première fois en France, une discrimination sociale et financière pour conserver la liberté de circuler dans le véhicule de votre choix et relatif à vos moyens financiers comme à vos contraintes.

Ces Pouvoirs publics rompent par là l’autre principe fondateur de notre démocratie, celui de la liberté des citoyens, sans pour autant démontrer ni garantir que la privation de ces libertés individuelles aura en contrepartie l’effet recherché sur la santé publique et la protection de l’environnement, mis en avant comme des justificatifs non discutables appuyés sur des données la plupart du temps biaisées et détournées de leur sens initial (cf. les
42000 décès par an liés à la pollution automobile cités par Mme Hidalgo à Paris).
Fédération Française des Automobilistes Citoyens 46
boulevard de Magenta 75010 Paris
Contact : ffacparis@gmail.com ou via les groupes facebooks cités

http://www.lesbannies.fr/

Tous les ans, chaque antenne départementale de la Fédération Française des Motards en Colère organise son assemblée générale. Saisissez cette occasion pour découvrir les actions de la FFMC et partager avec des adhérents passionnés.

A la rencontre de la FFMC

La plupart des assemblées générales sont ouvertes aux non-adhérents, venez découvrir les actions de la FFMC et partagez avec des adhérents passionnés à l’occasion de cet évènement proche de chez vous !

Chaque antenne départementale organise une assemblée générale. Si vous ne la trouvez pas dans la liste ci-dessous, n’hésitez pas à contacter votre antenne. Chaque assemblée est unique et les animations sont, la plupart du temps, organisés à cette occasion. Rejoignez-nous et partageons ce moment de convivialité et de démocratie.

Le 04/02/17 à 16h
Restaurant le « sancho plancha » à Saint Rémy, 01310
Repas sur réservation 15€ tout compris !!!
Contact ffmc01[at]ffmc.fr

En cette année 2017, 13 salariés de Moto Magazine viennent de perdre leur emploi.
La raison?
Le magazine et les diverses productions des éditions de la FFMC, n’ont plus assez de lecteurs payants pour générer de quoi rémunérer des salairiés (journalistes et administratifs) qui se sont pourtant dévoués à l’information des motocyclistes et à la défense de leurs droits.
Alors, à vous tous , motardes et motards qui préférez vous soi-disant« informer » sans débourser un centime, via internet et des sites ou des blogs à la déontologie d’autant plus douteuse qu’ils vivent de la seule publicité, je vous le dit…
Il suffirait que chacun d’entre vous,– il y a au moins deux millions d’utilisateurs de deux roues motorisés en France parmi lesquels peut – être 500 000 véritables passionnés – achète une fois, une seule fois par an, Moto Magazine ou un de ses hors séries, soit un budget ridicule de 4,90€ (prix actuel) pour que non seulement, nous ne soyons pas licenciés, mais qu’en plus nous ayons les moyens de vous informer de manière encore plus pointue sans avoir besoin de la moindre publicité.
Vous ne l’avez pas fait pour nous, qui après vous avoir servi, comme nuls autres journalistes et employés de la presse moto ne l’ont jamais fait, allons devoir pointer au chômage sans grand espoir pour les plus anciens de retrouver un véritable emploi.
Alors, faites le pour que ceux qui restent puissent continuer à travailler pour vous, que le journal puisse réembaucher. Songez y, c’est seulement 4,90€ une fois par ans si vous ne voulez pas vous habituer ou vous abonner.

Pascal Girardin: journaliste licencié, sociétaire assuré et membre fondateur de la Mutuelle des Motards, abonné payant à Moto Magazine

Les employeurs obligés de dénoncer leurs salariés en cas d’infractions routières

par Cindy Belpalme, le 03/01/2017[News]

Depuis le 1er janvier, les employeurs n’ont plus le choix. Ils sont obligés de dénoncer leurs salariés s’ils commettent des infractions routières.

Avant le 1er janvier 2017, les employeurs avaient le choix. Si leurs salariés se faisaient flasher sans se faire arrêter sur le bord de la route, les employeurs pouvaient transmettre le nom du conducteur à l’administration. Cependant, ils n’y étaient pas forcés. Ils pouvaient également payer l’amende et dans ce cas, le salarié remboursait directement son employeur. La différence, c’est que dans ce cas là, personne ne perdait de point.

A présent, la question ne se pose plus. C’est la loi. L’employeur est obligé de dénoncer le salarié qui s’est fait flasher. Ce dernier devra donc payer l’amende et perdra également les points qui vont avec son infraction. Si l’employeur ne respecte pas la loi, il risque une amende de 750 euros.

Les employeurs obligés de dénoncer leurs salariés en cas d’infractions routières

Aucune manière d’échapper à cette nouvelle loi ?

Si, il n’y en a qu’une. Pour ne pas payer l’amende et ne pas perdre les points, l’employeur devra prouver que le véhicule a été volé. Ou bien que la plaque d’immatriculation de ce dernier a été usurpé.

Une nouvelle loi qui risque de coûter cher aux entreprises quand on sait qu’en moyenne, une entreprise de 200 véhicules reçoit en moyenne 50 amendes par mois. De plus, les informations concernant le salarié dénoncé devront être envoyées par lettre recommandée.

Moto Journal
Cindy Belpalme
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