La mairie de Paris, vient de lancer aujourd’hui son enquête publique sur les ZCR. Nous pouvons y répondre jusqu’au 10 janvier !!!

A n’en pas douter, les écolos et autres nuisibles, vont rameuter en masse dans leurs réseaux pour obtenir le maximum d’avis positifs.

Nous en appelons à tous les adhérents du mouvement FFMC et à tous ceux qui ne veulent pas se retrouver avec ces ZRC qui vont fleurir partout en France pour utiliser tous les moyens de communication à leur disposition, afin de diffuser très largement dans les réseaux motards et autres

Nous ne pouvons pas manquer cette occasion de nous exprimer et de rejeter les ZCR de la mairie de Paris !!!

Merci de bien vouloir lancer ce lien sur tous vos face book, twitter, sites, news letter, etc… http://www.paris.fr/stoppollution

Qui ose vaincra !!!

La Mairie de Paris lance une consultation publique sur son site internet dans le but de boucler son dossier de Zone à circulation restreinte. C’est le moment d’exprimer son désaccord face à cette politique d’écologie punitive

La Mairie de Paris a fait installer les panneaux ZCR aux entrées de la ville en juillet 2016. La ZCR ne pourra pourtant être officiellement créée qu’après consultation publique, mi-janvier 2017 !

La mairie de Paris lance, du 19 décembre 2016 au 10 janvier 2017, une consultation publique sur la Zone à circulation restreinte (ZCR) qu’elle met en place à partir du 15 janvier 2017. L’antenne parisienne de la Fédération française des motards en colère (FFMC-PPC) et la Fédération française des automobilistes citoyens (FFAC), qui ont partagé le bitume lors des Nuits 2-roues et manifestations à Paris, appellent leurs adhérents et sympathisants à y répondre nombreux afin de défendre la voix des conducteurs lésés par les interdictions.

Grands débuts de la ZCR à Paris le 15 janvier 2017
La Mairie de Paris entend mettre en place une ZCR à compter du 15 janvier 2017 qui interdira la circulation entre 8 heures et 20 heures, sauf les week-ends et jours fériés :

 aux automobiles essence et diesel antérieures au 1er janvier …….
la suite c’est ici : http://www.motomag.com/Interdiction-de-circulation-a-Paris-participez-a-la-consultation-publique.html#.WFqpkGciw6Y

PAR Clémence Dupont Mis à jour le 13/12/2016 à 15:40

Publié le 23/12/2016 à 07:00 VAR MATIN

La Fédération française des motards en colère a introduit un recours auprès du tribunal administratif pour obtenir la destruction ou mise aux normes des ralentisseurs installés à La Garde. Une première étape.

Thierry Modolo, quinquagénaire domicilié à Solliès-Ville et dont l’épouse est installée à La Garde, s’est lancé dans une lutte acharnée contre les ralentisseurs illégaux. Ce Varois est à l’initiative d’une pétition, « Pour que les maires respectent la loi sur les ralentisseurs », qui a recueilli près de 8.000 soutiens sur la plateforme change.org. Il a aussi créé une page Facebook, « Mon maire est autophobe », une communauté de près de 1.300 abonnés, où les exemples de ralentisseurs varois, présentés comme illégaux, se multiplient.
La raison d’un tel combat se trouve dans la passion de Thierry Modolo, ancien instructeur pilote, pour l’automobile. « J’ai été obligé de vendre ma voiture de sports, à force de la voir endommagée par les dos d’âne. C’était un véritable enfer », explique-t-il.
Rien dans ces ouvrages ne trouve grâce aux yeux de ce banquier. Ils seraient générateurs, à la fois, d’une « surconsommation de carburant due à la ré-accélération », d’une « pollution aux particules fines causée par l’usure des plaquettes de frein », de « nombreux problèmes mécaniques pour les véhicules (usure prématurée des organes d’amortissement, de freinage, déformation des châssis etc.) », de « danger pour les motards » et de maux pour la colonne vertébrale des automobilistes.
« A chaque passage sur un dos d’âne, le passager reçoit deux chocs verticaux. C’est encore pire pour les enfants, qui n’anticipent pas le choc », argue-t-il. La liste des griefs ne s’arrête pas là. Thierry Modolo pointe les retards causés aux véhicules de secours et aux forces de l’ordre, et évoque aussi le calvaire des conducteurs de bus de l’agglomération. « Un chauffeur de la ligne 98 passe 272 fois par jour sur un dos d’âne. Soit environ 59.000 fois par an!, aurait calculé l’un d’eux. Imaginez ce qu’il subit, ainsi que les usagers! ».
« De Sanary à Bandol, aucun n’est légal » Il met aussi en avant des situations ubuesques, comme celle de ce minibus, à La Valette, resté coincé, à cheval, sur un dos d’âne trop haut.
Le minibus nouvelle génération de la ligne 121 ne peut franchir le ralentisseur de l’avenue Sainte-Cécile, entre l’arrêt Minimes et le carrefour à La Valette Son action ne se base cependant pas sur cette liste de reproches.
Thierry Modolo s’accommoderait sûrement des ralentisseurs s’ils respectaient la loi, qui réglemente à la fois leur hauteur et leur lieu d’implantation. « C’est simple, de Sanary à Hyères, aucun ralentisseur n’est légal. Ils ont tous au moins en commun le fait d’être trop hauts.
A cela s’ajoute, pour certains, le fait d’être implantés dans une zone limitée à 50 km/h, ou d’être installés dans un virage, des pratiques interdites ».
Il affirme avoir vérifié lui-même quarante ralentisseurs construits (de type dos d’âne ou de type trapézoïdal, excluant les coussins berlinois) à La Garde, La Crau, Hyères et Toulon. Sa conclusion? « Ils mesurent entre 18 et 25 centimètres, au lieu de 10 ».
Le Varois accuse les élus de multiplier les ralentisseurs illégaux, « en toute connaissance de cause, pour répondre aux demandes des riverains qui se plaignent de la vitesse, sans penser aux conséquences ».
Quid des impératifs de sécurité routière? « C’est comme les radars.
Leur utilité est prouvée aux abords des écoles et des points dangereux.
A force d’en mettre partout, les gens freinent fort avant et redémarrent fort après ».
Le combat de Thierry Modolo a notamment trouvé écho auprès de Bernard Darniche, grand pilote français de rallyes automobiles, et de la Fédération des motards en colère du Var (FFMC83).
L’association a introduit un recours auprès du tribunal administratif de Toulon.

Objectif: obtenir la destruction de tous les ouvrages non conformes à La Garde, et la mise aux normes de ceux installés aux abords des écoles ou des lieux touristiques.
S’il obtient gain de cause, José Loubry, coordinateur de la FFMC83, n’exclut pas de s’attaquer aux autres communes, à l’agglomération TPM (Toulon-Provence-Méditerranée), et au Département…
« Nous avons ouvert le dialogue avec M. Haslin, qui n’a rien voulu savoir. Nous sommes obligés d’en arriver là, regrette-t-il.
On demande aux usagers de respecter le code de la route, quand les élus se permettent de ne pas respecter la réglementation ».
Un précédent existe en la matière. La Fédération des motards en colère de l’Hérault avait obtenu satisfaction auprès du tribunal administratif de Montpellier, qui, par un arrêt en date du 21 juin 2013, avait renvoyé la commune de Saint-Drézery à ses responsabilités sur la mise aux normes des ralentisseurs.
Le décret n°94-447 du 27 mai 1994 réglemente les caractéristiques et conditions de réalisation des ralentisseurs de type dos d’âne ou de type trapézoïdal.
Le recours s’appuie sur ces normes pour mettre en cause les ralentisseurs de La Garde. Ils seraient construits: « Largement au-delà de la norme de hauteur de 10 cm maximum ».
« Sans aucun respect de la norme de longueur de 2,5 à 4 m maximum ». « Dans des zones à 50 km/h » « Dans des zones à 30 km/h à peine plus longues que les ralentisseurs et inventées spécialement pour l’implantation de ces derniers »  »
En entrée et sortie de rond-point ce qui constitue une installation en virage et dont l’intérêt reste à démontrer »  »
Dans des zones desservant des services d’intervention d’urgence (pompiers et police) et sans leur autorisation préalable » « Dans des zones desservies par des transports en communs et sans leur autorisation préalable. »
Il est à noter que la responsabilité d’une collectivité locale peut être engagée (article 223-1 du code pénal), en cas d’accident sur la voie publique dû à un ouvrage.
« Ils ont été rabotés » Jean-Pierre Haslin, premier adjoint à la mairie de La Garde, assure que le bureau municipal a pris la décision de ramener les ouvrages aux normes.
« Tous les ralentisseurs ont été rabotés ces six derniers mois ». Il n’y aurait donc plus lieu à engager un recours, ce que réfute sans hésiter Thierry Modolo: « Ils ont seulement allongé les rampants de quelques ralentisseurs, ce qui ne change absolument pas le problème de respect de la loi ».
S’il assure que la situation est aujourd’hui régularisée, l’élu assume avoir opté pour des ralentisseurs hors-normes pendant des années.
Un choix dicté par des impératifs de sécurité routière, en réponse aux demandes des habitants, et qui aurait prouvé son efficacité avec une « baisse de 67% de l’accidentologie en 15 ans ».
« Il y a quinze ans, on a multiplié les signalétiques, sans résultat. On a ensuite installé des plateaux « aux normes », sans résultat.
Leur installation plus élevée s’est révélée d’une efficacité flagrante pour baisser la vitesse », explique le premier adjoint.
C’est ainsi que la loi aurait été délibérément bafouée. « Dépenser 20.000€ dans un plateau aux normes de seulement 10 centimètres, ça ne sert à rien », justifie encore Jean-Pierre Haslin, qui appelle à revoir les normes légales. « On peut faire procédure sur procédure, mais le résultat est là: depuis que les ralentisseurs ont été rabotés, on constate une augmentation de la vitesse, et les habitants s’en plaignent. C’est regrettable », fustige-t-il.

ci dessous le lien du reportage de TF1 (aller à 10ml20 ou chapitre 7)

http://www.tf1.fr/tf1/jt-13h/videos/13-heures-28-decembre-2016.html

le 19/12/2016

Dès avril 2017, les nouveaux sociétaires de la Mutuelle des Motards pourront, s’ils le souhaitent, devenir membres de droit de la Fédération Française des Motards en Colère. Entretien croisé avec France Wolf, coordinatrice du bureau national de la FFMC, et Alain Borie, vice-président du conseil d’administration de la Mutuelle, pour cerner les enjeux de cette invitation pas comme les autres.

Suite à la proposition faite par Patrick Jacquot, PDG de la Mutuelle, d’ « amener les sociétaires à devenir adhérents de la Fédération Française des Motards en Colère », ces derniers seront invités à découvrir les actions du Mouvement, qui sont d’intérêt général, en leur permettant d’acquérir la qualité de membre de droit FFMC pour une période d’une année sans avoir à s’acquitter d’une cotisation. […]

Découvrez la suite de l’article sur Commuters ! http://commuters.mutuelledesmotards.fr/index.html#18

Bonjour, à tous


Bonjour, suite au message concernant le peu de prise en compte de nos revendications par nos élus, responsables sécurité routières, etc.

Nous vous proposons un petit challenge, en fait non ! Deux !

Le premier, va concerner une action anti Contrôle Technique pour la revente des deux roues motorisées.

Le challenge, imprimer la pièce jointe sur le sujet (challenge CT,pdf), faire une photo ou un selfie avec l’affiche devant une enseigne de CT (dekra, autovision, sécuritest, ………..).

Doivent être visible sur la photo, l’affiche, l’enseigne et vous si vou le souhaitez (aucune obligation).

Vous placez ensuite l’affiche dans la boite à lettre de l’enseigne.
La photo vous la postez avec l’adresse de l’enseigne et le hashtag #challenge-CT sur le/les réseaux sociaux.

Pour ceux n’ayant pas de compte sur un de ces réseaux, vous pouvez nous envoyer par mail à la boite antenne la photo et les informations de lieu, nous la posterons à votre place.

Le second, concernera une action anti-ZRC (Zone de Restriction de Circulation, Paris, Lyon, Grenoble en ce moment).

De même que pour le CT, imprimer la pièce jointe contre le CT (challenge ZRC,pdf), faire une photo ou un selfie devant la mairie, la permanence d’un député, d’un sénateur, ……
Le bâtiment et l’affiche doivent être visibles sur la photo, vous si vous le souhaitez.

Placez l’affiche dans la boite à lettre du bâtiment ou bureau que vous venez de photographier.

La photo vous la postez sur les réseaux sociaux avec les informations de lieux et le hashtag #challenge-ZRC.

De même que précédemment, si vous n’avez pas de compte sur les réseaux sociaux, vous pouvez nous faire parvenir les photos avec indication de lieu.

Il est évident que l’objectif est pour chacun des participants de faire le plus possible de selfies ou de photos sur des lieux différents, que ce soit pour le CT ou la ZRC et si vous êtes nombreux pour chaque enseigne ou pour chaque mairie/bureau, tant mieux, l’impact n’en sera que plus important.

N’oubliez pas les hashtag #challenge-CT ou #challenge-ZRC lors de vos posts sur réseaux sociaux, cela nous permettra de les suivre au mieux.

La clôture des challenges aura lieu le 15 mars 2017 date de notre réunion plénière, un bilan sera fait lors de cette réunion et le/les gagnant(s) seront désignés.

Si vous avez des connaissances qui souhaitent participer ils sont les bienvenus !

Le bureau FFMC Val d’Oise


Fait rarissime, un motard a obtenu la condamnation d’un département, le Finistère, après avoir chuté sur la route à cause d’une ornière. Avec une grosse indemnité à la clé.

Le département du Finistère a été condamné par le tribunal administratif de Rennes, mardi 13 décembre 2016, à verser près de 50 000 euros à un motard victime d’une chute, a révélé l’Agence France Presse (AFP). Une grosse indemnisation, suffisamment rare pour être soulignée, qui correspond à un préjudice physique conséquent.

Le motard de 60 ans avait chuté, le 16 octobre 2011, sur une route départementale au lieu-dit Pen Ar Hars dans le Finistère. Il a perdu 25 % de ses capacités physiques dans l’accident.

Entaille dans la chaussée
« La chute de l’intéressé résulte d’une entaille dans la chaussée d’une hauteur moyenne de 6 centimètres, appelée engravure, et destinée à préparer des travaux de goudronnage sur une portion de route qui faisait l’objet de travaux, explique le tribunal administratif. Une telle différence de niveau entre les deux chaussées présentait un …….
la suite c’est ici : http://www.motomag.com/Departementale-le-Finistere-condamne-apres-la-chute-d-un-motard.html#.WFkXDmciw6Y

Durant les pics de pollution, la moto est une alternative

Non à la circulation alternée pour les deux-roues motorisés


vendredi 16 décembre 2016

La « punition alternée » lors des pics de pollution est une mesure arbitraire qui ne tient pas compte des spécificités de circulation des 2RM et qui ne distingue pas les motorisations. La FFMC rappelle qu’aucun 2RM ne roule au gasoil, qu’ils n’émettent pas de particules fines et que ce mode de transport économique est reconnu par l’Union Européenne comme un élément favorable à la fluidité du trafic routier et une alternative à l’automobile.

Les autorités viennent à nouveau de décréter la circulation alternée pour cause de pic de pollution aux micro- particules. Comme d’habitude, ce sont les usagers de la route qui servent de variable d’ajustement dans le viseur des purificateurs d’atmosphère.
Tant qu’à décréter des mesures élaborées dans la précipitation, va-t-on aussi vers une alternance du chauffage urbain, un jour sur deux selon le numéro de la rue ? Va- t on demander aux compagnies aériennes de faire voler leurs avions en circulation alternée ou sommer les usines de suspendre leurs activités un jour sur deux ?
« Laissez votre voiture au garage », nous dit-on… Très bien, prenons ….la suite c’est ici ..http://www.ffmc.asso.fr/spip.php?article6690